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EAN : 9780656916788
144 pages
Forgotten Books (31/01/2019)
3/5   1 notes
Résumé :
Récits d'Histoire Canadienne
par Édouard-Zotique Massicotte

Montréal
1913

- Mots historiques et sobriquets nationaux
- Sous la domination française
- Les Indigènes
- Races et langues
- Les Canadiens à l'étranger
- Artistes canadiens
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
JE ME SOUVIENS
M. Eugène Taché avait préparé les dessins de la façade du Palais Législatif de Québec et y avait introduit les armes de la Province avec cette devise : « Je me souviens », dont il est l'auteur, et qui était alors inconnue. Les plans et devis préparés par M. Taché, à\L J.-B. Derome et le bureau des ingénieurs du département des Travaux publics, servirent de base et furent annexés à un contrat qui fut passé le 9 février 1883, devant Cyrille Tessier, notaire... Ce contrat fut signé par M. A. Charlebois entrepreneur et, de la part du gouvernement, par l'honorable M. Elisée Dionne et M. Ernest Gagnon, le premier comme commissaire, et le second comme secrétaire du département de l'Agriculture et des Travaux publics. Les parties contractantes signèrent aussi les plans annexés au contrat sur lesquels étaient dessinées les armes de la province avec la devise : « Je me souviens ». On peut donc dire que c'est à partir du 9 février 1883, date de la signature du contrat pour la construction du Palais Législatif de Québec, que cette devise a revêtu un caractère officiel.
Bulletin des Recherches Historiques, 1896.
Ernest Gagnon
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C'EST LA FAUTE A PAPINEAU
Dans mon jeune âge, quelques vieillards chantaient encore une chanson dont le refrain fut très populaire. Je ne m'en rappelle que ce distique :
S'il y a trop de cahots
C'est la faute à Papineau.
Ce dernier vers devint presque proverbial, pendant longtemps. Il n'y a aucun doute que cette chanson n'est qu'un pastiche de celle dont monsieur Edouard Fournier, dans l'Esprit des autres, cite le couplet suivant :
S'il tombe dans le ruisseau
C'est la faute de Rousseau
Et si le voilà par terre
C'est la faute de Voltaire.
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NOUS SOMMES DES ANGLAIS PARLANT FRANÇAIS
C'est au cours d'un banquet offert à Sir Georges-Cartier et à l'honorable Langevin, par les négociants de Québec, le 23 décembre 1869, que Sir Georges Cartier prononça ce mot devenu historique. Voici l'extrait qui le contient :
« Heureusement, nous avons en nous cet esprit nouveau qui a fait du Bas-Canada une province prospère de l'Empire Britannique. Nous ne sommes plus des Français ici, mais bien des citoyens anglais, parlant le français ».
Discours de Sir Georges Cartier.
Joseph Tassé
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