Mais où commence l'adultère ? Au premier regard ? Au premier baiser ? A la première caresse ?L'adultère commence au premier regard, en effet : celui que votre mari ne vous accorde plus
Ainsi, à chaque naissance, il y aurait un homme et une femme qui seraient prédestinés l'un à l'autre. Et tout le problème est de savoir qui est le compagnon de son âme.
Mais où commence l'adultère ? Au premier regard ? Au premier baiser ? A la première caresse ? Ne l'étais je pas déjà ? L'adultère commence au premier regard, en effet : celui que votre mari ne vous accorde plus.
Car le désir naît, vit et meurt, s'il n'est pas entretenu par le manque.
Mais où commence l'adultère ? Au premier regard ? Au premier baiser ? A la première caresse ? ne l'étais je pas déjà ? l'adultère commence au premier regard, en effet : celui que votre mari ne vous accorde plus
Car la vraie liberté s'ignore. Elle semble aller de soi. On n'en prend conscience que lorsqu'on la perd ; et dès qu'on en prend conscience, c'est qu'on l'a perdue.
"Tous les mois, pendant la période de ses menstruations, à laquelle s'ajoutaient sept jours, la femme était interdite à son mari. Les douze jours écoulés, elle devait s'immerger dans le bain rituel, à l'issue duquel elle lui était à nouveau permise. Ainsi, avait expliqué le rabbin, la loi organisait-elle la séparation nécessaire à l'ardeur du désir. Car le désir naît, vit et meurt, s'il n'est pas entretenu par le manque." p.24
un livre intéressant qui permet de s'ouvrir sur les pratiques de la religion juive, méconnue des non initiés : le pouvoir absolu pour un homme de donner le guet à son ex épouse, c'est à dire , permettre la dissolution des liens du mariage religieux quand le divorce civil a déjà séparé un couple uni maritalement...
mais un livre qui ne rassure pas sur les contraintes qu'imposent les religions aux femmes et comment elles continuent à les emprisonner et les maintenir sous le pouvoir absolu des hommes..
l'histoire d'amour qui vient se greffer sur cette narration passe du stade de pleine d'espoir à tragique ..
instructif mais désespérant au XXième siècle
Le désir que j'avais de lui ne cessait de croître : plus il me comblait et plus j'étais en manque de lui, plus il me désaltérait et plus j'avais soif, plus il m'assouvissait et plus je le voulais. Je n'avais jamais assez de sa présence.
Est-il possible que deux êtres soient faits l'un pour l'autre, qu'ils s'aiment profondément, et que toujours la vie les sépare ?