Après l'orage

Un garage au milieu de nulle part dans la pampa argentine. El Gringo s'y affaire, au milieu d'une casse hébergeant des voitures accidentées, données ou vendues par la police locale.

Il y vit avec ses chiens et son fils, Tapioca, enfin son fils supposé abandonné un jour par sa mère qui allait faire sa vie dans une grande ville ... 

Tombés en panne à quelques kilomètres de là, le révérend Pearson et sa fille Lila y débarquent un jour. Ils partagent leur vie d'errance de prêches en prêches depuis qu'ils ont abandonné la mère de Lila ... 

Huis clos de plus en plus lourd entre ces pères qui à leur manière vont se partager un enfant. Séduction. Envie d'ailleurs....

Un orage terrifiant les aidera à prendre une décision que je n'imaginais pas .

Un livre très court, 133 pages, d'une écriture sèche et précise qui rend prégnante la chaleur excessive aux herbes qui crépitent et blessent les jambes et qui accompagne l'orage libérateur et dévastateur ... 

Un auteur découvert par hasard sue les rayons de la médiathèque du village voisin, masi dont je rechercherai d'autres ouvrages.  
Lien : http://les.lectures.de.bill...

A plus de la moitié du livre je n'y arrive plus ce n'est pas mon univers de lecture. Il est bien écrit mais l'histoire ne m'a pas du tout plu.

Poétique, superbement bien écrit mais je dois admettre qu'a un moment donné je me suis demandé où l'histoire voulait m'emmener...
On reste sur sa faim/fin

Déjà je tenais à dire un grand merci à Babelio ainsi qu'aux éditions Métailié pour avoir reçu cet ouvrage. Ce fut une découverte à 100% comme je ne connaissais pas du tout l'existence de ce roman avant de voir la liste des titres proposés lors de la sélection.

Le dernier roman que j'ai lu de chez "Métailié" était "Excursion" et j'avais bien aimé. Avec celui-ci, j'ai moins aimé. En lisant le résumé, on est vraiment dans l'ignorance totale, dans le brouillard. On est pas du tout aidé sur ce qui va se passer dans l'histoire et ça c'est bien. le résumé est suffisamment clair pour être intriguant et vouloir savoir le contenu de l'histoire en la lisant. C'est un huit clos en plein désert sous une canicule. On suit le révérend Pearson qui est avec sa fille qui à 16 ans. Ils tombent en panne et ils vont chez le mécanicien El Gringo qui est avec un insistant de 16 ans. le père et la fille vont être bloqués durant plusieurs heures dans ce coin totalement perdu avec rien aux alentours pour se distraire. Alors ils vont faire plus amples connaissances avec les deux habitants de ce lieu, en attendant à ce que le véhicule soit réparé. Les chapitres sont très courts, entre 2 et 10 pages. On fera des bons dans leurs passés pour en savoir un peu plus sur eux. le père n'est pas un révérend pour rien. Dans chaque discussions, il ne peut pas se retenir de mettre Dieu partout. Il est d'ailleurs un poil énervant. Il aura un nouveau but à accomplir une fois qu'il est dans cet endroit. Il faut savoir que la religion est le gros sujet de ce roman. Chose qu'on n'est pas du tout au courant en lisant le résumé. Vous voilà averties, si vous aimez bien ce sujet ou pas. Il y à quelques chapitres qui sont écris sous un caractère différent. le texte écrit dans ces chapitres sont très beaux. Ça parle de l'homme et de Dieu. de notre corps à chacun. Des morales aussi. 

Quand j'ai lu le résumé pour la première fois avant de lire cet ouvrage et une fois que je l'ai terminé de le lire au complet, je dois dire que je ne m'attendais pas du tout à ça. Je m'attendais à uns histoire glauque entre les personnages. Qu'à force d'être coincés ensemble avec des inconnus, que la tension allait venir petit à petit, des règlements de comptes. Vous voyez le topo ? Et on se retrouve avec une histoire qui n'a rien à voir, en fin de compte. Alors "Après l'orage" n'est pas un mauvais livre pour moi mais je n'ai pas réussi à être plonger dedans. Et puis la fin est étrange. Ça n'en est pas une, je trouve. On dit au revoir beaucoup trop vite aux personnages. du fait qu'il soit court avec ses 130 pages, il en aurait fallut plus et approfondir plus l'intrigue. Mais quand je lis les critiques de la presse espagnol de la 4ème de couverture, je dois pas avoir saisis les propos de l'auteure car on est mais alors pas du tout sur la même longueur d'ondes. Ça reste une lecture sympathique avec, certes un côté poétique mais il ne restera pas dans ma mémoire.