Citations sur Le sommeil des justes, tome 9 : Une ombre au tableau (56)
Ces gens s’attendaient à voir des curieux et l’ignoreraient probablement. Il y avait une piste d’atterrissage pour hélicoptères sur les deux bateaux, avec des engins qui brillaient au soleil comme des guêpes métalliques géantes.
Tout le monde craquait sous la torture. L’essentiel était de gagner suffisamment de temps pour que des mesures de protection appropriées puissent être mises en place afin d’atténuer les dommages potentiels.
— Je t’aime.
Les plus beaux mots dans toutes les langues. Alex résista à l’envie de lui répondre. Il avait un rôle à jouer et ce rôle était celui d’un homme marié et heureux.
Il ne pouvait plus porter de jugement ou exécuter une sentence pour les méfaits des autres. Pas à moins que quelqu’un ne lui force la main.
Elle était réservée. Alex était réservé, lui aussi. Les gens avec des secrets l’étaient généralement. Lincoln Frazer et elle allaient parfaitement ensemble.
C’est un électron libre. Garde-la sous contrôle, même si tu dois l’enchaîner au lit.
Ils avaient tous les deux été piégés pour faire quelque chose qu’ils détestaient et avaient gardé leur douleur secrète. Il n’était plus cette personne. Il ne voulait plus la détester.
Quand vous les tenez dans vos bras, quand vous sentez le parfum de leur peau et que vous regardez dans leurs yeux confiants. Ils vous sourient, et c’est comme si un autre univers s’ouvrait.
Sa richesse est l’une des principales choses qui m’ont attirée vers lui. Donc, c’est de ma faute. Ne dit-on pas que les gens qui se marient pour l’argent doivent en gagner chaque centime ?
C’était un moyen de tenir le monde à distance. De cacher sa douleur et de protéger son corps.