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« Bonjour les Babélionautes ! Aujourd'hui, je vais vous parler d'un livre intitulé Les trois jours de Pompéi, d'Alberto Angela.

-Super. Encore un de ces bouquins dont on connaît la fin. T'as pas mieux à proposer, sérieux ?

-C'est vrai, Pompéi, tout le monde sait comment ça finit : les gens meurent à la fin, même Pline l'Ancien. Mais sais-tu ce qu'il se passait avant ladite fin, justement ? Sais-tu à quoi ressemblait le Vésuve de l'époque ? Quelles variétés de pains trouvait-on en ville et comment les fabriquait-on ? Comment décorait-on les maisons ? Et c'est quoi, une foulerie ?

-Beeeen…

-Et la date ? Tu la connais, la date ?

-Ah ça, je sais, c'est facile ! le 24 août 79 après Jésus-Christ !

-Perdu ! le 24 octobre 79. Tu pourras frimer dans tes soirées chez l'ambassadeur avec ta voix snob: « La présence de noix atteste que l'éruption s'est produite bien plus tard qu'on ne le pensait, l'automne était plus avancé. »

-Moué, bon… n'empêche qu'on sait comment ça finit.

-Tu as raison, cependant Alberto Angela choisit un angle original de reconstitution : il s'intéresse aux survivants de l'éruption. Car il y en a eu ! Pas beaucoup, mais il y en a eu. L'auteur imagine donc à quoi a pu ressembler leur dernière journée à Pompéi.

-Mais on n'est pas sûr que ce soit vrai, s'il imagine…

-Oui et non. Non, tu ne peux pas t'assurer de la véracité de tout, des flirts, du meurtre, des querelles de ménage. En revanche, tout l'aspect vie quotidienne est minutieusement détaillé et étayé par l'archéologie, l'épigraphie et les textes antiques. Et c'est là que le livre tape fort et juste !

L'auteur semble conscient qu'un fossé quasi infranchissable nous sépare de cette culture, de cette façon de vivre. Comment faire alors pour nous éclairer ? En décrivant les objets, les lieux et en les comparant avec leurs équivalents modernes. Ainsi, il parvient à donner une idée précise du mode de vie des Pompéiens et de leur environnement. Et ça marche. Instructif comme un bon documentaire Arte.

-Pourquoi tu ne mets pas toutes les étoiles, si c'est si génial que ça ?

-Parce que j'ai regretté que la narration en fasse beaucoup trop.

-C'est-à-dire ?

-Il demeure tout au long du texte une sorte de mise en scène tragique que j'ai trouvée pesante. Quand le Vésuve est personnifié, qu'on te parle de ses « mâchoires de prédateur », qu'on te répète « ce choix va sauver la vie » d'un rescapé ou que « sa décision la condamne à mort » régulièrement, cela alourdit le texte. Je sors de l'immersion et n'éprouve rien d'autre que de l'agacement devant la grossièreté du procédé.

J'ai cependant apprécié les passages appelant au respect des victimes lors des visites des ruines.

Le résultat donne un texte étrangement hybride : intelligent, érudit, précis, instructif… tout en se montrant racoleur et irritant. Mi-réussi et mi-raté en même temps.

C'est pourquoi je donne deux citations de ce texte. L'une représente, avec la personnification du volcan, cette narration très dramatique que je n'ai pas aimée, l'autre un fait culturel antique intelligemment rapporté. »
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Très bonne façon d'aborder l'archéologie : un roman documentaire, car basé sur des faits réels,qui se lit facilement et agréablement ! Je ne résumerais pas l'histoire de la fin de Pompéï, tout le monde connaît mais pas telle que racontée ici. On se rend compte que ce n'est pas juste une page d'Histoire romaine mais aussi des histoires individuelles terminées de façon brutale et précoce.

Il y a plusieurs cartes de Pompéï et Herculanum et pour se faciliter la lecture, je conseille de les photocopier. Tout le monde ne connaît pas la topographie ni n'a même visité des deux sites.

Pour notre plus grand plaisir, Pompéï et Herculanum renaissent, les couleurs flamboient et la vie reprend son cours. Il y a une partie que j'ai trouvé longuette vers le milieu du livre mais l'intérêt et la curiosité sont revenus peu après.

A l'inverse d'autres lecteurs dont j'ai lu les critiques, j'ai apprécié les exemples concrets de notre époque afin de comprendre l'usage des objets qui nous sont inconnus.

Alberto Angela sait faire monter le stress et l'angoisse au fil des heures. Même si tous les indices sont là, il faut faire abstraction de tout ce que nous savons, pour donner une réalité et une profondeur à cette période qu'il aborde d'une façon vivante.

CHALLENGE MULTI-DÉFIS 2020
CHALLENGE PAVÉS 2020
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J'avais lu avec beaucoup de plaisir Empire, du même auteur, et son style m'avait séduit instantanément.
C'est donc sur les conseils de Sebthos, merci à lui ;), que je me suis plongé dans Les trois jours de Pompéi.
Alberto Angela remonte le temps, jusqu'en 79 de notre ère, pour nous raconter les heures précédant l'éruption qui détruisit Pompéi. Par la même occasion, il en profite pour reprendre les recettes de son précédent ouvrage.
En premier lieu, j'ai donc eu droit à une dissection et un examen complet de la vie dans la cité de Pompéi et de ses alentours à la fin du Ier siècle. Encore une fois, j'ai été bluffé par la manière qu'à l'auteur de nous décrire l'existence et les soucis des Romains de cette époque, qu'ils soient riches ou pauvres, femmes ou hommes, en les mettant en scène de façon romanesque. C'est un véritable plaisir, qui rend la lecture très fluide, et qui permet d'affiner ses connaissances sur la société romaine antique.
La seconde partie est bien plus tragique, car c'est le moment où l'éruption se produit et détruit une grande majorité des personnages suivis auparavant. de façon progressive mais implacable, le volcan crache sa colère sur les habitants de Pompéi...
J'ai énormément aimé le fait que l'auteur recourt à des inscriptions des murs de la ville ou à des sources directes, comme la lettre de Pline le Jeune à Tacite. En effet, l'utilisation des sources antiques rend encore plus crédible et vivant son propos.
En bref, un ouvrage de vulgarisation historique qui se situe dans le haut du panier.
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Les trois jours de Pompei est le quatrième ouvrage que je lis d'Alberto Angela et il est probablement son plus réussi. le plus simple serait de le classer comme docu-fiction : il ne s'agit pas d'un ouvrage scientifique proprement dit mais d'un récit fictif dans lequel l'auteur met en scène des personnages ayant réellement existé et il les fait vivre sous sa plume. Il agrémente ensuite son récit d'explications scientifiques se reposant sur diverses sources historiques, archéologiques ou géologiques.

De mon côté, j'ai trouvé cet ouvrage, certes très dense, mais il aborde tous les aspects de la vie quotidienne à Pompei et à Herculanum au regard des dernières trouvailles archéologiques datant d'une dizaine d'années (depuis la parution de ce livre, il y en a d'autres, notamment la découverte d'une date au charbon qui confirme la thèse de l'éruption, en automne). J'ai trouvé aussi cet ouvrage très émouvant car immersif. Et j'ai appris quelques petites choses : je ne savais pas, par exemple, que les militaires romains communiquaient grâce à un signal lumineux au moyen de torches ou que les rues de Pompei avaient été creusées pour que les chariots puissent s'orienter dans la nuit (il ne s'agirait donc pas de traces d'usure).

Bref, j'ai eu un coup de coeur pour ce livre.
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Tout le monde a déjà entendu parler de Pompéi et de son extraordinaire destin tragique. L'éruption du Vésuve (ou plutôt du Vesuvius) en 79 de notre ère a fait entrer cette paisible bourgade dans l'histoire. On en garde la mémoire de ces monuments si bien conservés du moins en rez-de-chaussée, de ces fresques magnifiques, des nombreux objets de la vie quotidienne qui nous renseignent sur un art de vivre et surtout sur ces moulages de corps, témoins tragiques et émouvants des événements.


Alberto Angela nous entraîne à la suite d'une galerie de personnages, représentants toutes les couches de la société romaine, dans une visite guidée de la citée campanienne et de ses voisines quelques heures avant l'éruption mais aussi au coeur même de ce cataclysme et de ces différentes phases. Pour avoir visité Pompéi et Herculanum il y a quelques années maintenant, j'ai pu ramener à la vie mes souvenirs des vestiges grâce à une écriture fluide et une profusion de détails sur la vie d'une cité romaine. L'ajout des personnages permet de mieux ancrer le récit dans la vie quotidienne, de se projeter plus aisément dans les rues et les bâtiments, de vraiment vivre l'histoire plutôt que de la subir dans une énumération de faits comme souvent on peut le rencontrer dans les ouvrages historiques. En ce sens, cet ouvrage est une vraie réussite.


Mais, parce qu'il y a un mais (et même plusieurs en fait !), si le fond est vraiment passionnant, la forme m'a moins convaincue. D'une part l'auteur oscille constamment entre un récit purement historique, présentant les faits déduits des différentes sources, archéologiques, littéraires, épigraphiques, et un récit clairement romancé. Etait-ce vraiment nécessaire de décrire à tout prix le physique, la couleur des cheveux ou des yeux des personnages ? De détailler autant les actions de chacun quand il n'y a en réalité aucune source permettant de le faire ? Cette oscillation permanente entre documentaire et fiction peut certes rendre le récit plus vivant par endroit mais a surtout tendance à l'alourdir et finalement à s'interroger sur la véracité d'un propos par ailleurs si intéressant.


Ensuite, deux tics d'écriture m'ont vraiment dérangé. L'auteur use et abuse des "nous le verrons plus tard", "comme nous le verrons", "nous y reviendrons"... Ce procédé devient très vite agaçant et me semble en réalité peu utile. De même, Alberto Angela semble avoir constamment besoin de rappeler au lecteur qu'une catastrophe va se produire (au cas ou ce dernier ne serait pas au courant ou l'aurait déjà oublié ?). De nombreuses formules nous rappellent ainsi que l'éruption est à venir ("provoquera très bientôt mort et destruction", "elle vit ses dernières heures", "cette décision lui sera fatale"....), ce que l'on se doute sans qu'il ne soit nécessaire de le signaler à intervalle régulier !


Enfin, un dernier petit point négatif également sur la forme. Plusieurs notions sont abordées dans chaque chapitre. Par exemple, dans le chapitre intitulé "Un hôtel à Pompéi", il est en effet question d'hôtel mais aussi du réseau routier, de la présence des juifs dans la cité, de la peinture, de la médecine.... La présence d'un index ou au moins d'une table des matières plus développée, incluant les titres des différents paragraphes d'un même chapitre notamment, permettraient de retrouver plus aisément les informations, ce qui est impossible avec le titre du chapitre seul.


Malgré ses quelques défauts, Les Trois derniers jours de Pompéi reste un ouvrage passionnant qui nous fait revivre la vie quotidienne d'une cité romaine dans tous ses aspects mais aussi et surtout le déroulé de l'éruption tragique du 24 octobre (selon l'auteur) 79 comme si nous y étions. Il redonne une vie et une âme à ce qui n'est plus aujourd'hui qu'une collection de ruines remarquablement conservées envahies de touristes.
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Ce roman nous offre une description fouillée et richement documentée des derniers jours de Pompéï, Herculanum et d'autres endroits habités, victimes du déchaînement volcanique du vésuvius en 79 après JC. Nous découvrons les lieux avec les déambulations romanesques d' habitants qui nous font découvrir le contexte historique, économique et social. En complément, l'oeil de l'archéologue vient décrypter pour nous la richesse des découvertes scientifiques obtenues en soulevant le couvercle protecteur des matériaux qui ont figé des tranches de vie pendant 2000 ans. On apprend beaucoup de choses, dont des remises en cause de dates de survenance et de pseudo reconstitutions historiques ne rendant pas compte de la réalité (en particulier, le cône du volcan ne ressemblait pas du tout au cône actuel qui s'est constitué au fil des ans après l'éruption de 79 après JC.)L'aspect romanesque du livre est mineur, il n'est que le vecteur d'un récit centré sur l'histoire, la géologie et l'archéologie. L'appui des écrits de Pline le jeune, décrivant l'intervention malheureuse de son oncle, Pline l'ancien, apporte une caution déterminante à l'évènement.
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Alberto Angela nous offre ici un récit vivant des derniers ment de Pompéi et de sa région. S'appuyant sur les dernières découvertes de l'archéologie, il reconstitué très fidèlement la vie de la région avant la catastrophe et nous explique clairement et sans détour le déroulement de cette dernière. On sent chez lui une véritable compassion pour les victimes qu'il aimerait communiquer à ses lecteurs et aux futurs visiteurs des sites archéologiques....une lecture passionnante! Vivement la parution de son troisième ouvrage en France ( en 2020)...
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Les trois jours de Pompéi (2017) s'est vendu a plus de 200 000 exemplaires en Italie, un énorme succès pour ce livre reconstituant la vie à Pompéi et alentours, quelques heures avant le cataclysme de l'année 79 de notre ère. Ce drame tellurique aurait eu lieu en octobre et non au mois d'août comme cela a été évoqué le plus souvent. Aussi, ce n'est pas le volcan Vesube qui serait à l'origine de l'éruption mais le volcan Somma qui était bien camouflé dans le relief. Autrement dit, les pompéiens ne savaient pas qu'ils étaient au pied d'un volcan mais ils le voyaient comme un simple mont, même si les signes avant coureurs d'une explosion étaient nombreux.

Déjà en l'an 62 de notre ère, un autre tremblement de terre avait touché cette région de la Campanie, à tel point que beaucoup d'habitants avaient déserté le lieu et vendu leur logement principalement aux nouveaux riches de l'époque, les affranchis.

Le livre reconstitue la vie de Pompéi et d'autres lieux proches avec une abondance de détails de tout genre, ce qui donne un aperçu très vivant de la vie avant le drame à travers divers personnages ayant existé et ayant appartenu a des différents couches sociales. Leur vie était déjà sophistiquée à cette époque avec, par exemple, l'interdiction de circuler la nuit pour les véhicules à roues, ils pouvaient circuler la nuit grâce à des rails le long de trottoirs pour ne pas gêner les piétons. La vie de tous les jours est remarquablement décrite, comme par exemple la production du pain sous forme de miches qui étaient épicées. Les blanchisseries utilisaient l'urine pour traiter le linge ce qui fait que les urines étaient ramassées gratuitement dans des amphores disponibles dans les rues avec l'inconvénient en ville de devoir supporter des odeurs fortes; c'est pour cette raison que l'empereur Vespasien a décidé de taxer l'urine utilisée par les fouleries (des esclaves foulent au pied des vêtements dans un mélange d'eau et de substances alcalines comme la soude et l'urine) et de cette époque émane la phrase célèbre de Vespasien à ceux qui rouspétaient pour la taxe « pecunia non olet » c'est à dire l'argent n'a pas d'odeur. A l'époque, la principale source d'informations en tout genre se situait au Forum, ensuite les informations circulaient dans les bars qui existaient en très grand nombre.

C'est vraiment très intéressant et facile à lire, très documenté, même si je dois avouer que le ton employé m'a quelque peu agacé car plus destiné à des élèves du secondaire qu'à des lecteurs aguerris.

Quelques informations sont précises comme par exemple la taille des gens à cette époque: les hommes mesuraient 1,66 et les femmes 1,50 avec une espérance de vie autour de 50 ans; il a fallu 2000 ans pour doubler cette espérance de vie…

La grande déflagration du 24 octobre 79 a été précédée de 43 séismes dont un fort tremblement de terre en 62, si fort que beaucoup d'habitants nantis avaient déjà abandonné les lieux, Pompéi et la campagne environnante où des somptueuses demeures existaient. Cela fait que la ville de Pompéi était partiellement en reconstruction.

Le volcan Somma a déversé en 20 heures suite à l'explosion 10 milliards de tonnes de magma sur 15 Km et sur une épaisseur de 3 mètres par endroits, avec un débit de magma de 70 000 tonnes par seconde! Cette catastrophe a fait plus de 20 000 morts, c'est inimaginable et c'était difficilement évitable. Il paraît que entre le moment de l'explosion et la fin, les gens n'avaient que très peu de temps pour échapper à la mort.

Les dégâts ont été très différents à Pompéi par rapport à Herculanum. Dans cette dernière petite ville les gens ont été tués de façon immédiate par l'onde de choc thermique qui a atteint quelques 500 degrés avec la vague silencieuse de magma qui s'est propagée en 6 couches à 100 Km/heure ! A cette température la boîte crânienne éclate et le corps est calciné de façon instantanée de telle façon que les gens ont gardé la posture qu'ils avaient à ce moment précis. Heureusement qu'ils n'ont pas eu le temps de souffrir.

Un livre saisissant qui décrit bien ce que fût l'apocalypse pour tant de gens.

Je suis toujours épatée par la facilité avec laquelle voyageaient certaines personnes dans l'Antiquité. Ils allaient d'un site à un autre avec une grande facilité essentiellement par voie de mer.
Lien : https://pasiondelalectura.wo..
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Un très bon livre très bien documenté.

L'auteur nous parle du mode de vie des Pompeiens en nous immergeant dans la ville avant l'éruption. On va le suivre dans les rues de Pompei en nous arrêtant dans une boulangerie ou un restaurant, chez un marchant ou un particulier et il nous décrira chaque lieu, chaque personne, comme lors d'une visite.
Je pense que l'auteur fait cela car il ne veut pas seulement nous parler de l'éruption, mais de la ville de Pompeï, celle de la vie avant la mort...

Il faut prendre ce livre comme un reportage. Alberto Angela est sur les lieux et nous le suivont dans sa quête de découverte, ce qui fait que le récit est lourd de détails et la lecture est dense.

Alors attention, je pense qu'elle n'est pas forcément adaptée à quelqu'un qui souhaite découvrir l'histoire de Pompeï mais plus à un lecteur aguerrie.
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J ai trouvé fabuleux et intéressant ce mélange d informations historiques, scientifiques appliqué au jour le jour à la vie de quelques personnages ! On les suit dans leur quotidien, avec les explications de leurs métiers, liaisons, traversant les classes riches , les artisans, les esclaves et les affranchis.
Pompei se prépare à la destruction, les signes sont la , mais indépendants les uns des autres personne ne comprends l urgence de la situation .
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