Quelle que soit la pratique sociale ou l’institution considérée, il n’y a pas de formation sans une fantasmatique sous-jacente. Et de fait, lorsque l’on tente de caractériser le désir de former des êtres humains, il y est question d’amour, de plaisir et de souffrance, mais aussi de haine, de violence et de culpabilité.
Les travaux présentés ici ont en commun le souci de reconnaître à l’oeuvre – dans le projet et l’activité de former, de se former et d’être fo... >Voir plus