AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,78

sur 561 notes
5
26 avis
4
56 avis
3
26 avis
2
6 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Eliot est architecte et vit à New-York depuis des années. Un jour, il apprend que sa fille qui étudiait en Grèce, le pays de ses ancêtres, est morte dans un accident. Il y retourne pour l'enterrement et décide finalement d'y rester. Là-bas, il fait la connaissance de Maraki, une jeune mère qui élève quasiment seule son fils Yannis, autiste, fasciné par les chiffres et l'ordre du monde. C'est l'histoire de ces trois solitudes qui s'apprivoisent, l'histoire de cette île de Kalamakis qui fait front à la crise économique, la pauvreté et voit s'annoncer enfin des projets d'avenir.

J'ai entrepris cette lecture persuadée d'avoir à nouveau un coup de coeur comme bien souvent avec Metin Arditi, l'un de mes auteurs préférés.
Hélas, rien n'a fonctionné pour moi cette fois-ci. Cette histoire m'a profondément ennuyée. Je ne sais si j'ai lu un livre sur l'autisme où un livre sur la crise économique qui peut ravager un pays.
En de courts chapitres, l'auteur nous ballote d'un problème à l'autre, sans grande conviction.
Les personnages, bien qu'attachants manquent à mon sens de profondeur psychologique.

Je suis sévère, j'en suis consciente, mais ma déception n'a d'égale que l'admiration que je porte à l'auteur depuis une dizaine d'années.
Je range ce livre dans la rubrique des « Rendez-vous manqués », pour mieux vous retrouver, Cher Monsieur Arditi. Soyez assuré que je vous conserve toute ma fidélité de lectrice.
Commenter  J’apprécie          301
Il y a longtemps que je voulais lire Metin Arditi, suite à beaucoup d'articles élogieux sur ses livres. Manifestement, je n'ai pas choisi le bon titre, parce que je m'y ennuie ferme. Les personnages sont intéressants, les paysages itou, mais le tout traîne en longueurs... le romancier tourne en rond et fait tourner ses héros de la même manière -ce qui est fort logique, me direz-vous car tourner en carré, ce n'est guère aisé. Je ne parviens pas à m'intéresser aux vies décrites, ni aux relations entre les protagonistes, ni au pays et aux modes de vie, ni même à l'écriture de Metin Arditi que je trouve classique -pour ne pas dire banale-, sans profondeur. Rien, absolument rien ne me retient dans cet ouvrage. Dommage, mais je n'ai pas dit mon dernier mot avec cet auteur.
Lien : http://www.lyvres.fr
Commenter  J’apprécie          40
J'ai posé ce livre avant de l'avoir fini quand je me suis rendue compte que je lisais les pages en diagonale, et que j'avais beaucoup de mal à le reprendre une fois posé.

Je n'ai pas du tout accroché à cette histoire où les personnages manquent de force et de caractère. Beaucoup trop de descriptions à rallonge qui n'amènent rien au récit. Il manque de plus un liant à tous ces personnages qui se croisent autour d'histoires de projets immobiliers devant permettre à cette cité de retrouver un soi-disant essor Un méli-mélo trop diversifié pour tenir la route sur les seules épaules de ce petit garçon autiste, dont on aurait pu croire qu'il puisse être la flamme de ce récit.
Commenter  J’apprécie          40
Même si le sujet est intéressant et qu'il est question de philosophie et d'autisme sur fond de solidarité et de crise économique, je me suis profondément ennuyée dans cette histoire. Je n'ai pas vraiment réussi à entrer dans le roman, à me passionner pour les situations ni à m'attacher aux personnages. C'est long, on tourne en rond, la théorie du nombre d'or et tous ces calculs d'apothicaire ont achevé de perdre complètement la réfractaire en mathématiques que je suis. Reste une belle description de la Grèce avec sa mythologie si riche.
Commenter  J’apprécie          30
livre agréable à lire mais qui manque de puissance et d'engagement .Je n'ai pas eu cette vibration que j aime lorsque je ferme lelivre la lectue achevée. Demain je l'aurai oublié
Commenter  J’apprécie          10
Une déception...le sujet, les personnages, le lieu, les sujets traités, tout annoncé de belles promesses. Or, je suis resté sur ma faim. Je n'ai pas réussi à entrer dans l'intimité des personnages notamment du trio Maraki, Yannis et Eliot. Trop de sujets tuent les sujets...En effet, ce roman traite à la fois des difficultés économiques de la Grèce, de l'autisme, du deuil sans approfondir aucun d'entre eux. Dommage ! Il faut que je persiste avec Metin Arditi pour ne pas rester sur cet déception.
Commenter  J’apprécie          00


Lecteurs (1198) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (2 - littérature francophone )

Françoise Sagan : "Le miroir ***"

brisé
fendu
égaré
perdu

20 questions
3680 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , littérature française , littérature francophoneCréer un quiz sur ce livre

{* *}