AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,27

sur 685 notes
5
91 avis
4
51 avis
3
6 avis
2
1 avis
1
0 avis
Le roman est captivant MAIS ALORS QUELLE MAUVAISE TRADUCTION. !!! Genre "petitoune, petitous, " répétés à l'envie tout le long du roman !!!N'est-il pas plus stylé d'utiliser simplement quand j'étais "petite", quand nous étions "petits" plutôt que ce PETITOU/S qui finit par vraiment irriter.
Commenter  J’apprécie          00
Viola Ardonne structure son roman de la même manière que son précédent livre. Elle s'inspire d'un fait historique ou réel caractéristique de l'histoire de l'Italie, en l'occurrence la loi du "mariage de réparation". Elle nous parle à hauteur d'enfant  avec parfois des répétitions abusives d'expressions naïves (mon ventre s'alanguissait) et elle y évoque la fin de l'enfance de Oliva qui à bientôt 16 ans doit être mariée. Enfin le roman se compose de 4 parties différentes - la dernière partie se situant de nombreuses décennies après "l'événement " tragique  et forme ainsi une certaine analyse de la situation sous un regard plus distancié. Elle prend la forme d'un dialogue silencieux entre la fille et le père.

Page 136, le personnage de Magdalena, figure communiste engagée dans différentes luttes, est un petit clin d'oeil direct au  livre "le train des enfants".

Je découvre que ce livre s'inspire de l'histoire de Franca Viola, la figure emblématique du féminisme en Italie, qui, grâce à  son refus du mariage forcé et au procès intenté contre son violeur, a été à l'origine d'une loi en 1981 abrogeant cette loi inique du mariage réparateur. Abrogation tardive, mais à la même époque en France on luttait pour que viol soit reconnu comme un crime et non un délit jugé en correctionnelle. (Dans les faits aujourd'hui les moyens budgétaires insuffisants de la justice conduisent souvent à une correctionalisation du viol, ce qui amoindrit la portée de la condamnation).

L'histoire que nous conte Viola Ardonne met en scène des personnages intéressants, vivant dans un village reculé de Sicile où les mentalités sont encore très archaïques dans les années 1960. le contexte d'un village, milieu clos, est évidemment propice au maintien des traditions, même les plus iniques.

La mère est soucieuse de toujours répondre aux règles de la bienséance. Règles innombrables qui asservissent toujours plus les filles. Elle agit ainsi pour se fondre dans le moule et être acceptée puisqu'elle-même vient d'une autre bourgade qu'elle a fuit. Elle agit pour le bien de ses filles, même si cela aboutit au mariage désastreux de sa fille aînée Fortunata avec quelqu'un qui la maltraite. Dans l'éducation différenciée quelle donne à ses enfants (2 filles et un garçon) elle transmet le poids des interdits adressés aux filles, lesquelles ne sont "rien au singulier". Les filles sont sous la tutelle d'un père, la surveillance d'un frère ou la coupe d'un mari dont elles seront la bonne à tout faire. Une fille seule n'existe pas ou alors est une dévergondée. C'est ainsi que l'institutrice est vue par les femmes du village. D'ailleurs pourquoi instruire les filles puisqu'elle sont inscrites dans la répétition de ce rôle attendu de femme au foyer et mère de famille et cela dès 16 ans. C'est vrai que les femmes ont toujours eu un rôle important dans la transmission des archaïsmes et qu'en élevant différemment les garçons et les filles elles contribuent à maintenir le poids du patriarcat. Cette femme reproche souvent à son mari de ne pas etre suffisamment vindicatif et donc  de ne pas répondre à l'image autoritaire attendue d'un homme. Ce n'est que tardivement qu'elle ouvre les yeux et enfin s'oppose aux langues vipérines.

Le père est un taiseux, mais pour autant pas indifférent. Il aura du mal, lui aussi à se défaire du poids des traditions. D'autant plus que la situation sociale de sa famille ne lui permet pas de s'affirmer. Il est intéressant que le personnage du père ne soit pas un archétype de virilité. Par le passé il a su mettre fin à une dette d'honneur qui en Sicile se dénoue à coup de "lupara " et décime des familles entières.  Il est pourtant pris dans une nasse, mais voit bien que le bonheur de ses filles n'est pas dans la vie qu'on leur impose. Et c'est ça qui compte, il saura donc, comme tout bon jardinier, apporter le soutien nécessaire.

Oliva est une gamine qui aime la liberté et rêve un peu. Mais elle est éloignée des préoccupations de ses camarades qu'on prépare très jeunes  à un mariage arrangé. le mariage est l'union de deux familles, alors on peut marier une fille à quelqu'un qu'elle n'aura jamais vu ! Oliva, est courtisée de façon arrogante par le fils du pâtissier. Et malgré l'absence de réponse à ses avances, il s'arroge tous les droits sur Oliva jusqu'à commettre un enlèvement et un viol. Pour lui, il lui offre une situation et ne conçoit pas qu'on puisse lui dire non. C'est un homme arrogant, sûr de son fait et qui n'aspire qu'à dominer. Alors une femme qui résiste c'est inconcevable.
 Le frère jumeau, Lilialia l'amie qui aspire a faire de la politique pour changer l'ordre établi qui asservit les femmes, Saro l'ami d'enfance, amoureux bienveillant.... Tous ces proches apportent leur soutien à Oliva dans sa lutte contre l'hypocrisie. Ce roseau qui plie dans la tempête mais résiste, c'est une Oliva qui peut afficher son honneur : celui d'une femme libre de ses choix.


 

Commenter  J’apprécie          100
Oliva grandit entre le silence bienveillant de son père et les injonctions de sa mère pour qui l'essentiel est de ne pas être "une carafe cassée", une de ces filles salies qu'aucune homme ne voudra épouser. Il faut dire que dans un village de Sicile au début des années 60 il est difficile d'être une fille. En tout cas difficile d'être une fille "au singulier" dans un univers où les femmes n'existent pas par elles mêmes mais au travers des hommes ou de leurs enfants.
Oliva, brillante élève, obéit à sa mère et ne regarde pas les garçons dans les yeux, ne bombe pas la poitrine quand elle les croise et ne regarde même pas son reflet dans un miroir. Mais cela ne suffit pas à la préserver. Un jour sa vie se brise et les réparations proposées par cette société traditionnelle ne sont pas de celles qui peuvent la reconstruire. Alors Oliva choisit sa propre voie.
Aux côtés d'Oliva, Viola Ardone dresse toute une série de portraits touchants dans une écriture simple et juste qui nous plonge dans les sentiments et émotions d'Oliva. Et si le sujet central est celui de la place de la femme, elle traite aussi de la place de l'homme imposée par la société traditionnelle, des relations filiales, de la justice et de la façon de la faire évoluer. Elle nous parle aussi avec beaucoup de tendresse de l'enfance et du passage à l'âge adulte, et du conformisme social sans pour autant tomber dans des stéreotypes ni dans un manichéisme simpliste.
C'est juste, tendre, et ça touche au coeur.
Commenter  J’apprécie          91
Roman à la croisée de plusieurs genre : drame sur fond historique, féminisme militant, sociologique.
C'est avant tout un "roman pour se sentir bien", qui m'a un peu fait penser à celui de J.B Andrea, "Veiller sur elle", en moins grandiloquent.
Pas de figure mythique, de simples villageois de Sicile dans les années soixante, pris dans les filets de la pauvreté et de la tradition qui l'accompagne bien souvent.
Facile donc pour un simple lecteur d'éprouver de l'empathie pour cette héroïne féminine avant d'être féministe qu'est Oliva.
Les petits clins d'oeil ici et là à l'histoire contemporaine, comme le rôle décisif de sa maîtresse d'école, Madame Rosaria, dans son parcours d'émancipation participent au réalisme du roman.
Les caractères des personnages aussi, celui de la mère méditerranéenne, du père taiseux, du carabinier pragmatique, créent cette atmosphère propice à l'immersion.
Un bon roman moins manichéen que le titre ne le laissait supposer.
Commenter  J’apprécie          330
Dans les années 60 en Sicile, la vie d'une fille n'est pas simple ....

Olivia a une soeur aînée et un frère jumeau, ce qu'elle aimerait s'est d'être un garçon, être libre comme son frère .
Elle adore aller à la chasse aux escargots avec son père mais d'après la mère ce n'est pas une activité pour les filles, celles ci sont faites pour être mariées , avoir des enfants et s'occuper de la maison. Mais Olivia ne l'entend pas de cette oreille !!!!! Elle veut faire des études pour acquérir son indépendance.

Une histoire sur l'émancipation de la femme.

Une histoire poignante avec ses traditions, ses mariages arrangés et les qu'en dira-t-on.

Une histoire de courage pour se faire respecter et que le NON au féminin existe.

Une histoire qui démarrage lentement, l'auteure prend son temps pour nous dévoiler ses personnages puis la révolte d'Oliva donne du punch au récit .

Note : 4 / 5
Commenter  J’apprécie          90
Très surpris par le fait qu'en Italie, ce ne fut qu'en 1981 qu'a été abrogé un article du code pénal, qui permettait à un violeur d'échapper à la prison s'il épousait sa victime !
Oliva, victime d'un viol par le fils du boulanger du village qui souhaite l'épouser,refuse de se soumettre à cette loi inique et malgré l'opposition de ses parents porte plainte contre son violeur.
Le style rend la lecture fluide et immersive.
Un très bon moment de lecture en une traite.
Commenter  J’apprécie          80
Dans les années 60, Oliva Denaro est une jeune adolescente qui vit à Martorana, un petit village de Sicile. Sa famille est modeste, la mère coud et brode pour les autres, le père cultive son jardin potager et possède quelques poules. Ils vont aussi attraper des grenouilles et ramasser des escargots pour les vendre.
Elle aime courir sur les sentiers avec son frère jumeau Cosimimo, rire et jouer avec Saro, son jeune voisin, et passer du temps avec lui à regarder les nuages et à leur donner des noms. Ce qu'elle aime avant toute chose, c'est aller à l'école car elle adore Mlle Rosaria, sa maîtresse. Oliva rêve de vivre ses rêves et de poursuivre ses études. Elle cache derrière son lit des photos de stars qu'elle découpe dans des magazines que lui donne en cachette son amie Liliana, fille de communiste, éduquée plus librement.
Sa mère, très intégrée dans le village et ses coutumes, lui impose des règles pour tout.
Mais le jour où la jeune fille grandit, a ses "cardinales" (entendez ses règles) la réalité devient terrible, son statut change et elle ne doit plus sortir de la maison sans un protecteur. L'attitude de son frère jumeau change aussi, il s'éloigne d'elle tout comme Saro, son ami d'enfance. Sa mère lui impose des contraintes de plus en plus étouffantes et lui déconseille de fréquenter Liliana.
Heureusement son père, bien que taiseux, n'est pas d'accord avec cette époque. Il sait que Fortunata, sa fille ainée, n'est pas heureuse en ménage. Il a été obligé de la marier à celui qui l'avait mise enceinte. Elle a ensuite perdu le bébé sous ses coups. Il voudrait le meilleur pour sa cadette. Il l'observe, la voit grandir, et tente de continuer à la guider le mieux possible, avec douceur et bienveillance.
Mais voilà que le fils du boulanger, Pino Paternò, véritable petit caïd revenu depuis peu au village, a des vues sur elle, il est beau, toutes les jeunes filles rêvent de l'épouser mais pas Oliva, qui bien qu'elle soit troublée par ses regards, se refuse à lui, le repoussant et par cela même touchant à son orgueil de mâle. Voilà qu'il décide alors de la faire enlever et de la violer. Ainsi pense-t-il, comme c'était l'usage à l'époque dans ses contrées siciliennes reculées, elle sera obligée de l'épouser pour sauver son honneur.
Mais la jeune fille, bien que détruite, se refuse à lui et sa famille va la soutenir (y compris sa mère) face à un combat qui va les faire tous souffrir et modifier leur destin. Elle ne veut pas de ce mariage "réparateur" comme la loi le prévoyait. Elle veut avoir le choix, porter plainte et le poursuivre en justice...

Voilà un roman social sur fond d'histoire des femmes, très émouvant qui sonne juste et nous emmène des décennies en arrière. le style est simple et sans fioriture. Il va bien à l'histoire d'Oliva et à celle de sa famille. L'autrice nous décrit ses personnages, leurs personnalités et les différentes coutumes et événements avec beaucoup de finesse. le poids des convenances, les rumeurs et les commérages dans le village, l'église et la justice archaïque de l'époque, qui donnent toujours raison aux hommes, tout est décrit avec beaucoup de réalisme.
Le roman se divise en quatre parties.
Dans la première (1960) Oliva n'est qu'une enfant et le lecteur prend le temps de la connaître et de faire connaissance avec ses parents, ses amis et surtout ses rêves. Oliva avec sa naïveté liste toutes les règles imposées par sa mère qui veille à son éducation.
La seconde, la même année, se termine par le drame, le lecteur découvre le poids des traditions ancestrales et le destin de la plupart des jeunes filles à cette époque.
Dans la troisième partie, la même année encore, Oliva tente de se reconstruire en attendant le procès.
Dans la quatrième on se retrouve en 1981, année de l'abrogation des lois sur le mariage réparateur, lois qui avaient été instaurées par les fascistes. Les années ont passé et chacun a repris sa vie mais le combat des femmes n'est pas resté vain, les lois vont changer la société. le récit alterne alors la voix d'Oliva et celle de son père qui semble se répondre, la dernière phrase d'un chapitre prononcée par l'un, débutant celle du suivant, prononcée par l'autre.
L'autrice ne nous donne pas de leçons. le lecteur apprend tout ce qu'il a à savoir à travers le récit d'Oliva. Faire son propre choix, bâtir son avenir comme on le désire, être indépendante sans avoir besoin d'un homme pour subvenir à ses besoins, tout cela est un combat de tous les instants et rien ne sera facile pour elle.
Ce roman est un bel hommage à toutes les femmes qui ont osé dire NON et qui en faisant cela, ont permis de faire évoluer les idées et la société.
En parallèle, grâce aux aides qu'elle reçoit des communistes, le lecteur prend connaissance des combats menés par les militants pour changer les lois ancestrales et faire évoluer la condition des femmes. C'est donc aussi un roman qui replace l'histoire d'Oliva dans le contexte historique du pays dans les années 60-80.
J'apprends en rédigeant ces lignes que l'autrice s'est inspirée d'une histoire vraie, celle de Franca Viola, une jeune fille du sud de l'Italie, devenue un symbole, car elle a été la première à refuser un mariage pour réparation dans les années 60, une affaire qui avait été fortement médiatisée à l'époque et dont on a même fait un film. Je n'en avais jamais entendu parler !
Lien : https://www.bulledemanou.com..
Commenter  J’apprécie          70
Rien de bien nouveau sous le soleil brulant de Sicile, où il n'est pas facile de naître fille, surtout dans les années 1960.
Oliva est la deuxième fille de Salvo et Amalia. Sa mère l'éduque suivant les préceptes qu'elle a elle même merveilleusement bien intégrés: il y a une règle pour tout: une pour le dimanche à l'église, une pour la promenade dominicale, une pour la façon de se tenir à l'école...

Et toujours cette petite phrase qui ouvre d'ailleurs le livre et sera le fil rouge de tout le texte: "une fille c'est comme une carafe, qui la casse la ramasse".

Oliva a un frère jumeau Cosimino. Elle est bien plus douée que lui à l'école, mais elle n'a pas le droit de poursuivre des études, à quoi lui servirait d'être instruite? de toute façon dès que le maréchal débarque, les filles ont encore moins de liberté qu'avant d'être pubère.

C'est donc dans ce contexte extrêmement oppressant et révoltant que l'on va suivre la vie d'Oliva.

Elle aura malgré toutes ces pressions le courage de refuser le mariage auquel il était impensable qu'elle renonce.

Et grâce au procès qu'elle osera intenter pour viol en 1961 et les actions conjointes des femmes qui doucement mais sûrement se révoltent un peu partout dans le pays, les articles iniques 544 et 587 du code pénal seront définitivement abrogés. L'Italie dit adieu au mariage réparateur et au crime d'honneur.

J'ai apprécié la lecture de ce texte tout en étant vraiment révoltée, indignée, par ces textes liberticides à l'égard des femmes, et aussi en m'interrogeant sur l'avenir des femmes italiennes qui risquent actuellement, sous le joug de Giorgia Meloni de voir leurs libertés se réduire comme peau de chagrin.
Commenter  J’apprécie          60
Années 1960, Sicile
Oliva a 15 ans. Elle vit dans un petit village où les conventions ancestrales ont encore cours.
Tout le monde épie tout le monde. Et ensuite les langues coupantes bavardent.
Oliva, éprise de liberté, aimant étudier, pense pouvoir devenir institutrice grâce au soutien de son père qui, tout taiseux qu'il est, impose le silence à sa femme Amalia emplie d'amertume et de reproches.
Malheureusement pour elle, Oliva est jolie, pauvre mais jolie. Cela causera sa perte.
Quel magnifique roman qui expose les coutumes archaïques qui régissaient la vie des villages notamment celle des femmes (N'oublions pas que dans certaines régions du monde, le sort des filles est tout sauf enviable) au travers du combat de cette très jeune femme qui veut obtenir justice.
Les chapitres courts posent le contexte de cette communauté écrasée par des règles patriarcales validées légalement, transmises aux filles par leurs mères comme les sentences qu'Amélia assène à ses filles à tout heure du jour faites de « Ne… pas », « Ne… pas », « Ne …pas » jusqu'au drame.
J'ai trouvé alors que le rythme était plus rapide et si le personnage d'Oliva est attachant ce sont vraiment les parents qui m'ont conquise.
Salvo (je me suis demandé si son prénom avait un rapport avec l'idée de sauveur) semble au début très en retrait, peut-être indifférent, occupé à son potager, à sa cueillette d'escargots ou de grenouilles. Puis au fil du récit, la dimension de son personnage prend une ampleur légitime, d'une très grande intégrité.
Mais c'est l'évolution d'Amalia que j'ai trouvé la plus intéressante. Elle qui a toujours tout fait comme il fallait, comme on disait , choisit elle aussi de dire « Non ».
Commenter  J’apprécie          3510
Très beau roman qui retrace de manière poignante la condition féminine de l'Italie des années 60. Viola Ardone m avait déjà bouleversé avec son très beau roman « Le train des enfants » et là encore ce livre est bouleversant. Tant l'histoire que le style méritent le détour.
Commenter  J’apprécie          100



Autres livres de Viola Ardone (1) Voir plus

Lecteurs (1541) Voir plus



Quiz Voir plus

Grandes oeuvres littéraires italiennes

Ce roman de Dino Buzzati traite de façon suggestive et poignante de la fuite vaine du temps, de l'attente et de l'échec, sur fond d'un vieux fort militaire isolé à la frontière du « Royaume » et de « l'État du Nord ».

Si c'est un homme
Le mépris
Le désert des Tartares
Six personnages en quête d'auteur
La peau
Le prince
Gomorra
La divine comédie
Décaméron
Le Nom de la rose

10 questions
827 lecteurs ont répondu
Thèmes : italie , littérature italienneCréer un quiz sur ce livre

{* *}