Ekhö monde miroir, tome 10 : Un fantôme à Pékin

Fourmille et Yuri partent en Chine à la recherche d'artistes pour Broadway, avec budget illimité ! Ils ciblent donc les meilleurs, qui seraient semble-t-il les shaolins du papillon de jade. La jeune artiste Petit-Serpent-Tombé-Du-Nid, qui ne laisse pas Yuri indifférent, va les guider à travers les paysages chinois jusqu'à destination.

S'il y a bien un fantôme, pas de meurtre à élucider dans ce tome. On se contente d'une histoire un peu convenue, avec une dose d'humour potache d'un Arleston pas très inspiré : quelques clichés sur les Chinois, une blague Covid sortie de nulle part en passant par Wuhan, et multiples galipettes et jalousies. On serait en droit d'en attendre plus, après des premiers tomes qui semblent maintenant bien lointains.

Malgré quelques sourires et des dessins toujours au top, ce sera une lecture express et jetable : un tome vite lu, et sans doute vite oublié.

Le nouveau périple de nos héros en Chine.
Fourmille toujours aussi pétillante. Yuri se detzche de sa belle Fourmille pour un rapprochement coquin avec la somptueuse "petit serpent tombe du nid"

très bon tome. aussi frais et captivant que toute la série. hâte de lire le tome 11

Mais que s'est-il passé ?!

Je reste complètement sur ma faim avec cet album, dixième aventure des aventures de Fourmille et Yuri. Au-delà du fait que les mystères autour des Preshauns sont au point mort dans cet album, j'ai eu un problème avec l'humour parfois à la limite du... racisme (et cette blague sur les masques et la ville de Wuhan, vraiment ?)

Au-delà de l'histoire qui ne m'a pas embarqué malgré un désir de se renouveler (cette fois Fourmille reste consciente lorsqu'un esprit prend possession d'elle), j'ai eu un souci avec les graphismes qui m'ont paru en dessous de ce à quoi on nous avait habitué. Les visages de Fourmilles sont "vite-fait" sur bien des cases lorsqu'elle apparaît en second plan, et les décors qui ne font pas beaucoup voyager restent trop souvent dans le cliché.

Je ne vais évidement pas arrêter de lire cette série que j'adore, mais j'espère que les auteurs pourront prendre plus de temps sur le prochain tome car je ne peux m'empêcher de penser que celui-ci a été fait "à la va-vite", ou en tous cas pas avec les mêmes moyens que d'habitude. le contexte actuel n'y est peut-être pas pour rien...

Je ne sais même pas pourquoi je m'acharne à continuer cette série. Les 5-6 premiers tomes étaient excellents, le scénario original et intéressant. Les dessins sont toujours magnifiques mais le scénario perd en profondeur. Ce tome n'a aucune saveur, on jongle de cliché en cliché sans aucune subtilité. Il y a quelques cases intéressantes où se cache des références historiques mais rien de transcendent. La relation entre Gratule et Yuri reste en mode suis moi je te fuis, fuis moi je te suis. Il est grand temps d'avancer dans cette partie de l'histoire. Les enquêtes des premiers tomes me manquent, on ne mise plus que sur un humour potache et ridicule.

Ce coup-ci Fourmillement et Yuri partent pour la Chine pour y trouver une troupe d'acrobates. Bien entendu tout va déraper avec un monastère hanté ^^

Cette série reste toujours aussi amusante à lire : il y a des clins d'oeil à l'actualité, des piques sur notre société de consommation et un fantôme plus coquin que terrifiant.

Le dessin ? C'est toujours aussi jolie, détaillé sans tomber dans l'illisible. Bref c'est magnifique !

Ce tome est un sans faute dans une série pleine de fraîcheur et d'humour !

Encore un tome assurant l'aventure et le dépaysement !
Mais il est dommage qu'on tombe toujours dans les mêmes travers avec des histoires de coucherie qui n'apportent rien à l'intrigue et qui donnent la sensation que chaque nouveau personnage (de préférence féminin) doit terminer dans un lit, que ce soit dans celui de Fourmille ou du très lourd Yuri.
Par contre, encore un sans faute au niveau de l'ambiance graphique et des superbes illustrations, qui sont une pure merveille.
On appréciera également le petit clin d'oeil à l'actualité et à une certaine pandémie mondiale que tout le monde a en tête...

Un tome qui se détache un peu des autres dans la structure de l'histoire.
Ici pas de mort qui revient à la vie à travers Fourmille avec une mini enquête. Si c'était déjà court habituellement, je cherche encore comment résumé l'histoire. On retrouve les ingrédients habituels. Avec un univers intéressant qui reprend les monuments emblématiques de la Chine. Parfois des allusions qui arrivent un peu comme un cheveu sur la soupe, notamment avec Wuhan et les masques. Un humour potache que je n'apprécie pas plus que ça. Une représentation caricatural de la culture chinoise. Si ça rajoute de l'humour, ça ne donne pas de profondeur au récit.
Les personnages sont sans surprise et stéréotypés. Pas attachants. Pas trop agaçants pour autant. Ce n'est pas eux qui permettent de révéler le niveau.
Les dessins sont agréables, colorés et lumineux. Ils donnent un beau rendu aux paysages.
Au final on a une lecture agréable et distrayante mais manquant cruellement d'ambition.

Fourmille et Yuri se rendent en Chine pour y trouver des artistes afin de monter un spectacle. Et ce dont les moines de Shaolin qui sont les meilleurs mais leur monastère est hanté par un fantôme excentrique.

Nouvelle aventure drôle et fraîche dans le monde d'Ékho toujours servi par des dessins vifs et colorés. On passe un bon moment de lecture, le sourire aux lèvres.
La possession de Fourmille par le fantôme est cette fois un peu différente et il n'y a pas de petite enquête à résoudre afin de s'en libérer. Une avons plutôt une course poursuite à travers le pays pour rejoindre Pekin. de quoi revisiter les lieux en mode magique : des bouddhas preshauns, l'armée de terre cuite qui se réveille, la grande muraille en RER à dragons...

J'ai l'impression d'avoir commencé la série Ekhö hier… et pourtant je dois remonter à 2018 pour retrouver le dernier article dans lequel je vous ai parlés de cette superbe série.

Je vous en parlais déjà dans un article précédent, alors que j'avais déjà lu huit tomes de cette magnifique série de BD publiées chez les éditions Soleil, d'abord approchée pour ses magnifiques dessins… avant que son histoire et ses personnages ne me conquièrent à leur tour.

Mais aujourd'hui, 10 tomes sont sortis et j'ai la chance d'avoir trouvé le dixième sous le sapin. Vous vous en doutez, j'ai clairement sauté dessus et l'ai lu en un claquement de doigts.

Ekhö est une série très particulière : on y retrouve les magnifiques dessins de Alessandro Barbucci qui me plaisent tant dans la série Sky-doll dont j'attends le dénouement avec impatience, ou dans Les Soeurs Grémillet, une BD adorable dont je vous parlerais bientôt. Mais cette série, écrite par Christophe Arleston possède une histoire qui nous fait voyager. En deux tomes (depuis le précédent article), on est allés en Côte d'Ivoire, au Kenya et en Chine. J'adore découvrir de nouveaux horizons, même s'ils ne sont pas réels car dans ce monde-miroir, mais j'aime les inspirations et les ambiances que je découvre dans chaque BD.

Des dessins magnifiques aux détails amusants, des personnages farfelus et hauts-en-couleurs, une histoire haletante et intrigante dans le fameux monde-miroir et de l'humour : pour moi, c'est une bande-dessinée parfaite !

Comment choisissez-vous les BD que vous lisez ? Est-ce que ce sont les dessins qui vous orientent ou est-ce que vous vous laissez en priorité porter par l'histoire ?

Comme d'habitude, si vous l'avez lue et souhaitez échanger avec moi ou si vous voulez en savoir plus, n'hésitez pas et retrouvez-moi en commentaire ou sur Instagram !
Lien : https://leshistoiresdesolene..

Ekho est un monde miroir. On y retrouve les mêmes régions et les mêmes villes que dans la vie réelle mais tout y est différent, magique et habité par des bêtes légendaires.
Dans ce dixième album de la série, Fourmille Gratule et Yuri Prodov se trouvent en Chine pour recruter des artistes afin d'honorer la commande d'un client qui veut réaliser un spectacle à Brodway.
Cependant, un esprit va se trouver sur la route. Cela va compliquer les recherches !
Après la clôture du cycle dans l'album précédent, les auteurs Arleston et Barbucci nous emmènent en Asie en y retranscrivant quelques codes, légendes et croyances. Les auteurs font également brièvement référence aux événements que nous connaissons tous actuellement. L'action est de nouveau présente et la tension amour-haine entre Fourmille et Yuri y est à nouveau exploitée pour ajouter quelques scènes de jalousie.
Visuellement, le dessinateur nous emmène dans des lieux bien connus de la Chine revisités en "monde miroir". Une bonne aventure mais qui n'amène pas quelque chose pour d'autres suites