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3,06

sur 140 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Quête de l'amour au pays des geishas.
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Bravo à l'auteure qui vient d'écrire là son premier roman.
L'histoire de deux jeunes gens français, élevés à la génération de la télé de RécréA2 (Dorothééééée!) - la mienne également - qui vivent à travers un personnage.
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Non ce n'est pas du cosplay (qui pourrait s'apparenter à un déguisement physique) mais bien un personnage à part entière .
Pamela (génération Les Feux de l'amour) venant de la banlieue parisienne a décidé de vivre comme une geisha. Une fascination japonaise qu'elle a développé lors de sa jeunesse (Yoko Tsuno en BD). Un choix audacieux, à contre-courant de tout ce qui existait autour d'elle.
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Elle travaille à Paris, dans une boutique de bonsais, tenue par un Japonais, qui l'entretient (un peu justement à la manière d'un "dana" envers sa geisha).
Thad (un Breton pure souche) élévé aux mangas télé et voulant devenir samourai rencontre Pam dans la boutique.
Une passion naît entre ces deux que le Japon réunit. Une liaison torride mais brêve. Et qui se rompt à la suite d'une quête d'identité pour l'un.
C'est un voyage initiatique qui nous mènera au Japon où chacun des protagonistes va trouver sa Voie.
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Une belle histoire d'amour et aussi identitaire au pays du Soleil Levant.
L'auteure n'y a jamais mis les pieds et c'est bluffant.
Le récit est écrit tout en subtilité et poésie.
Certes, l'intrigue est cousue de fil blanc, on devine le dénouement.
Beaucoup de facilité prise dans les actions mais j'ai adhéré à l'aventure. Un voyage avec Pam et Thad dans la culture nippone.
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La télé et les séries des années 80 ont fait beaucoup de dégâts dans les familles françaises : non seulement elles ont doté une génération de prénoms improbables, mais elles leur ont également fourni des ambitions professionnelles parfois incongrues...
Pamela, qui a manqué de peu se prénommer Sue Ellen (Dallas, 1978, 8 saisons), ambitionne ainsi de devenir geisha... un débouché plutôt rare à Melan-Sénart... Mais c'est sans compter sur le destin qui mettra sur sa route le docteur Atsura, un riche Japonais désireux d'aider la jeune fille à approfondir son potentiel...
Devenue vendeuse à la Petite Boutique japonaise, Pamela peut se consacrer à l'apprentissage des multiples talents d'une véritable geisha, jusqu'à ce que Thad (Hannah, Paul-Loup Sulitzer, 1985), apprenti samouraï originaire de Bretagne, franchisse le seuil de la boutique.
Ayant trouvé leur alter ego, nos deux doux rêveurs pourraient cheminer ensemble, en générique de fin, vers le soleil levant... mais Thad disparaît mystérieusement. Une évidence s'impose alors à Pamela : partir le retrouver au Japon, elle qui n'est jamais allée plus loin que le terminus de la ligne D du RER.

Un premier roman loufoque, bourré de clins d'oeil à la culture des années 80 et qui se moque avec tendresse des clichés occidentaux, voici ce que nous propose Isabelle Artus dans La Petite Boutique japonaise. de l'art du thé à Yoko Tsuno, de Myamoto Musashi aux Sept Mercenaires, l'auteure nous ballote entre japanim et shintoïsme, entre art ancestral et cosplay.
La délicatesse et la rigueur dans le fond et la forme s'allient à l'humour et ne manqueront pas de faire sourire les lecteurs biberonnés, comme moi, au lait de Récré A2.
Le ton est volontairement naïf et léger, mais que l'on ne s'y trompe pas : la peinture de la culture asiatique proposée par Isabelle Artus, ambiguë et excentrique, est bien proche de la vérité !
Un livre bien sympathique et rafraîchissant, qui, sans se prendre au sérieux, transmet pourtant quelques enseignements sur la culture japonaise.
On regrettera peut-être une baisse de régime dans la dernière partie du roman, plus prévisible, mais l'intention est là !
La voie du samouraï est impénétrable !
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J'ai été charmée et séduite par la première partie de ce livre qui dresse dans un premier temps le joli portrait de Pamela, passionnée par le Japon et qui veut en adopter les us et les coutumes. Sa jolie histoire d'amour avec Thad est touchante et l'auteur conte son histoire en intégrant des explications érudites sur l'art de vivre au Japon. Jusque là, tout va bien. Puis, ça bascule dans le faux, l'ennui et pratiquement le soporifique. C'est un premier livre, gageons, malgré la déception ressentie, que cet auteur qui a du talent saura nous emmener dans d'autres histoires.
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Même après sa lecture, j'ai du mal à qualifier ce livre… Feel good book ? Non ! trop détaillé et travaillé, un guide du routard sur le Japon ? Non, pas vraiment et heureusement ! Roman d'amour ? Oui mais pas que … En fait ce livre est un savant mélange de tout cela.
C'est un livre qui fait du bien, mais où vous vous instruirez quand même un peu en effet vous apprendrez des choses sur la culture japonaise, et enfin un livre où vous suivrez nos deux personnages principaux Pam et Thed dans une histoire d'amour pas si simple …
Et finalement tout se tient même si les références et mots japonais sont nombreux (peut-être trop ?). On apprend beaucoup sur l'état d'esprit typiquement japonais, état d'esprit que j'ai du mal à comprendre, j'avoue… Mais cela a l'avantage de poser beaucoup d'interrogations sur par exemples les relations humaines dans ce pays ou les geishas (tradition que l'auteur définit comme une forme de résistance au changement lors de la rencontre Babelio) ou encore les Samouraï. On comprend qu'il y a eu un gros travail de documentation de la part de l'auteur qui n'a pourtant jamais visité le Japon, mais comme elle le dit elle-même toujours à la rencontre, elle a créé SON Japon.
La lecture a été plutôt agréable : je ne vous le cache pas, j'ai quand même fini le livre en deux jours. Mon plus gros bémol est plus lié aux personnages auxquels j'ai eu du mal à m'attacher : j'ai eu du mal à comprendre leurs multiples états d'âmes.
Conclusion, une belle lecture qui interpelle et que je conseille aux curieux de la terre du Soleil-Levant !
Lien : http://ideeslivres.jimdo.com..
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Pamela devait rencontrer Thad. C'était le destin choisi par les kamis qui peuplent le monde. de Melun à Paris, de Saint-Brieuc à Tokyo, les âmes soeurs vont faire un bout de chemin ensemble pour comprendre que leur destinée est celui d'être ensemble.

Isabelle Artus a mis plusieurs années à écrire ce premier roman. Comme le dit, elle l'a écrit sur son temps libre sur un « algorithme aléatoire». le livre a beaucoup évolué sauf le premier chapitre qui n'a pas changé. Ce n'est pas une débutante dans l'écriture puisqu'elle a été pendant 19 ans journaliste de presse écrite. Fascinée par la question de l'identité et par le Japon, elle décide de faire un mix des deux pour écrire cette histoire d'amour entre Pam et Thad.

Pamela doit son prénom à une série américaine que sa mère regardait. Thad lui doit son prénom à un roman de Paul-Lou Soulitzer qui a bouleversé sa mère. Elle a été totalement influencée par la lecture de « Mémoires d'une geisha » de Youki Inoue et lui par la série Kung Fu. Leur destin se traçait à ce moment. Quand elle sera plus grande, elle deviendra une vraie geisha et lui un vrai samouraï. Au quotidien, chacun essai d'appliquer ce qu'il imagine vouloir être.

Jour après jour, Pam apprend à se maquiller, s'habiller en kimono, à marcher avec des sandales en bois. Thad apprend le calme, le sérieux, la distance et se spécialise dans le meurtre et la torture. Cette motivation va leur permettre de rencontrer des gens qui vont les guider vers leurs voies. D'un côté, un dana qui lui apprend l'art de faire l'amour à Pam aidé de son épouse pour l'ikebana et la calligraphie, sur Paris. Et de l'autre, Nobu, un japonais qui a grandi entouré de geishas, qui n'a pas son pareil pour faire taire ceux qui ne doivent plus jamais parler.

Leur rencontre va se faire dans la petite boutique de bonsaïs dont s'occupe Pam. Thad va discuter avec le vieux bonzaï, compagnon de Pam puis va tomber sous le charme atypique de cette française habillée en geisha. Quelque chose se passe lorsqu'ils sont ensemble. Puis l'un va devenir l'essence de l'autre, jusqu'au final les perdre. Thad ne peut plus supporter ce bouleversement intérieur alors il quitte Pam et va se réfugier au Japon aux côtés de son ami, Nobu. Pam qui n'a jamais voyagé va alors partir le chercher au pays du soleil levant, alors direction Tokyo. Mais la ville est gigantesque. Son imagination va prendre en plein fouet la réalité d'une société réelle.

Aidée par son dana, elle va apprendre à devenir une vraie geisha dans un lieu fait à cet effet. L'apprentissage est long et délicat. Elle va s'y appliquer patiemment et avec sagesse. Mais lorsque Keiko, la fille de son dana, vient lui dire au revoir, va suivre une discussion qui va la bouleverser et tout remettre en question. Très vite, elle prend sa décision et décide de partir en France. Mais avant, sa grande-soeur de formation, Mitsuko l'invite à découvrir un temple. Une surprise est à l'intérieur. Elle va retrouver son amour, ils vont discuter et….

L'écriture est légère et très agréable. Les pages se tournent avec facilité et avec un certain plaisir, ce qui m'a permis de lire le roman en trois jours. Mais pourtant, je n'ai pas été totalement séduite par l'histoire. Il manquait un je ne sais quoi d'aventure, de passion, d'une tension qui m'aurait fait dévorer le livre pour que je ne le lâche pas jusqu'à la fin. Tout est très lent, calme et si gentillet. Thad, il tue des gens mais c'est très élégamment dit et on ne s'étale pas dessus, pas plus que sur la boutique de bonsaïs où travaille Pam ou autres d'ailleurs. J'aurais voulu retrouver le bonsaï qui lit dans les pensées, savoir ce que devient Keiko, les parents des uns et des autres, le dana… Je me suis attachée à tout le monde.

Une légèreté qui me fait penser un peu au shintoïsme japonais avec sa quiétude et le fait de toujours avancer. Mais là, c'est un roman, une fiction alors j'avais envie d'un petit plus que je ne pourrais définir. Aimant beaucoup la culture japonaise dans toutes ces contradictions, j'avais envie d'en savoir plus. L'auteure a inventé une partie des rituels décrits soit pour les geishas ou samouraïs, ce qui est bien dommage. Je sais, nous sommes dans une fiction. Et je n'ai pas retrouvé Tokyo que j'ai vu dans la description qui une capitale extraordinaire et étrange à la fois. L'auteure n'y a jamais été alors elle a présenté le Japon de son imagination. D'ailleurs, peut-on voir de façon unique une ville ? Une description imaginaire construite de lecture et de visionnage a-t-elle moins de valeur qu'un vécu ?

Quand le chemin d'une geisha rencontre le chemin d'un samouraï, cela donne une rencontre dans « La petite boutique japonaise » à Paris. Une histoire qui va vous donner envie d'aimer, de voyager et d'avoir des plantes vertes. Vous ne me croyez pas ? Vous savez ce qu'il vous reste à faire pour avoir votre avis.
Lien : https://22h05ruedesdames.wor..
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Pamela (en référence à la série Dallas), qui a grandi en banlieue parisienne, est serveuse d'un restaurant japonais de Melun. Elle rêve de devenir geisha. Thad (en raison du best seller de Sulitzer adoré par sa mère), qui a vécu une enfance morose en Bretagne, est devenu homme de main. Samouraï dans l'âme, il est passionné de films et séries de kung-fu. Pamela et Thad se rencontrent à Paris dans la Petite boutique japonaise, une magasin de bonsaïs. Leur passion pour le Japon les rapproche immédiatement.
Un jour, Thad disparaît, laissant derrière quelques mots : « Je pars, pardon ». Puis une lettre énigmatique de Thad convainc Pamela, désespérée, d'aller à sa recherche au Japon.
On en apprend un peu plus sur la culture du Japon. On s'attache aux deux personnages dont la psychologie est fouillée.
Plus qu'une histoire d'amour, c'est une véritable quête de soi. Il faut parfois aller au bout du monde pour se trouver… ou se retrouver.
Lien : http://www.carnetsdeweekends..
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J'ai reçu ce livre en masse critique spéciale dans l'optique d'une rencontre avec l'auteur, organisée par Babelio et en partenariat avec la maison d'édition Flammarion, que je remercie tous deux.

On y retrouve Pamela, apprentie Geisha de Melun-Sénart, et Thad, bercé par les samouraïs toute son enfance. Quand les deux rêveurs se rencontrent, c'est l'amour fou.

Mais jusqu'à quand peut on rester dans son idéal ? A quel moment lâcher prise ?
Ce livre nous parle de l'identité, de la quête de soi à travers la quête de l'autre, de la confrontation entre les idées et la réalité, …

J'ai apprécié Pamela, personnage attachant bien qu'un peu extrême selon moi dans sa manière d'être et ses actions. Elle m'a donné envie de me pencher plus en détail sur la culture “ancienne” du Japon, et m'a permis peut être de mieux comprendre mes amis tombés dans cette lubie japonaise.
J'ai également apprécié les personnages secondaires, intéressants chacun dans leur évolution, et qui accompagnent de notre apprentie geisha dans ses questionnements.

J'ai passé une lecture agréable, originale, douce, et transportante, mais elle ne m'a pas particulièrement marquée, cela manquait peut être un peu d'action pour moi, le livre étant centré sur les personnages et non l'intrigue.
La fin m'a d'ailleurs un peu déçue, j'aurais peut être préféré quelque chose de plus ouvert.

Je trouve que c'est un bon premier roman pour cette nouvelle auteur, ancienne journaliste notamment à Psychologie Magasine, influence que l'on retrouve un peu dans ce livre plein de personnes qui s'interrogent et parfois nous interrogent avec eux.

La rencontre discussion avec l'auteur a permis un échange intéressant et un très agréable moment !

Ma note : 14/20
Lien : http://laparenthesedaxelle.b..
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J'étais curieux de lire ce livre à la couverture attrayante et agréable. Je l'ai apprécié, sans être bouleversé. L'auteure nous fait faire la connaissance de Pamela, jeune fille sympathique qui a un rêve, celui d'être une geisha. Elle construit petit à petit son image, inspirée de littérature et autres clichés sur la vie japonaise et particulièrement les rites des geishas. Elle, qui n'a jamais voyagé au pays du soleil levant, rencontre le Dr Aksura, qui deviendra son Dana, auprès de qui elle approfondira son art de la transformation et du savoir-faire…corporel.

Elle finit par rencontrer Tchad, un breton devenu samouraï – ou presque – et dont elle va finir par tomber amoureuse. Jusqu'au jour où il décide de suivre la voie du sabre. Alors sans vous en révéler plus, je dirais que c'est à partir de là que le roman devient plus accrocheur. Auparavant il n'est pas déplaisant à lire, mais j'ai eu du mal à rester captivé. Peut-être un peu trop fleur bleue.

J'ai apprécié par contre la suite du livre et surtout cette immersion dans le Japon et ses codes moraux. Etant sensible à cela j'ai plus facilement enchaîné les pages. La lecture est parsemée de notes d'humour qui donnent une impression de parodie du roman La Pierre et le Sabre en version moderne et banlieusarde.

Ce n'est pas un roman qui va scotcher le lecteur, mais il lui fera passer un bon moment de lecture avec le sourire en coin, et même plus si vous appréciez le Japon.

Le style

Il est simple, avec beaucoup d'humour ce qui le rend attachant. le lecteur est séduit par les personnages à qui l'auteur donne une dimension romanesque.

Mon petit point positif :

Sans hésitation la couverture que je trouve très sympa et qui donne le ton du livre.
Lien : http://www.murmuresdekernach..
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Quand Jean-Christophe le Kervantec, rebaptisé Thad par sa mère -fan du personnage créé par Paul-Loup Sulitzer-, rencontre Pamela, pur fruit du fanatisme culturel américain ; on s'attend à ce que cela fasse des étincelles. D'autant plus que ces deux-là partagent une passion aussi inexplicable que dévorante pour le Japon. Alors que l'un se rêve en fier guerrier samouraï, l'autre s'invente une vie de geisha de banlieue parisienne. Chacun mène cahin-caha son existence, jusqu'au jour où la chaleur accueillante de la petite boutique japonaise va les rassembler. Alors c'est le coup de foudre, l'harmonie ultime. Qui aurait dit que ces deux-là se trouveraient dans leurs différences ?

Tout d'abord, on est charmé par ce contexte inhabituel, mais empreint de douceur et de poésie. Guidé par nos deux amoureux néo-nippons, on pénètre dans un monde d'une extrême délicatesse, dans lequel la préservation des coutumes et des savoirs, la valorisation de la lenteur et de la perfection sont d'indispensables valeurs. Au beau milieu d'un siècle caractérisé la prédominance des coutumes occidentales, on s'incline devant ces deux irréductibles, qui s'affranchissent des règles sociales pour suivre leur propre voie. Mais aussi bien sur le fond que sur la forme, on s'aperçoit bien vite que l'appropriation culturelle à ses limites.

Sous ce curieux micmac savoureusement décalé, se cache malheureusement une description un peu superficielle de la richesse culturelle Japonaise. Alors que je m'attendais à un véritable voyage au pays du soleil levant, je déplore que l'on se cantonne au niveau des personnages, biberonnés au matraquage publicitaires, soap opera et autres séries d'action des années 80. Un tout qui fait que l'on se raccroche quasi exclusivement à des références occidentales qui présentent le pays sous un angle idéalisé. On reste sur un aspect contes et légendes qui certes, fait rêver, mais qui ne nous dit rien de la construction profonde de l'identité Japonaise. Finalement, je me suis davantage attachée au personnage de Keiko qui est là pour nous rappeler la réalité. Soumis dès leur plus jeune âge à la pression sociale, les jeunes Japonais se travestissent non pas pour honorer des traditions séculaires mais pour s'évader. A mon sens, la quête identitaire des deux héros ressemble davantage à une fuite en avant orchestrée par la peur de grandir ; et je pense que l'immaturité de leurs choix aurait pu être exploitée avec plus d'éclat.

Malgré quelques dissonances au niveau du récit, le ton naïf et léger d'Isabelle Artus reste agréable à lire et m'a souvent fait penser à celui de Jonas Jonasson. En soit, j'ai apprécié son écriture, bien que je regrette de ne pas avoir perçu un style plus direct. Les quelques longueurs de la deuxième partie auront eu raison de mon enthousiasme initial. La lecture de la petite boutique japonaise était apaisante, mais de mon point de vue, le livre manque un peu de corps. Je m'attendais à une chute plus époustouflante.

MA NOTE

13/20
Lien : https://mallysbooks.blogspot..
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Au sortir de son adolescence, Pamela lit et s'imprègne de Mémoires d'une Geisha. Thad vit à Saint Brieuc depuis sa naissance et rêve de samouraï...
Isabelle Artus est une personne enthousiaste et optimiste. Elle transmet sa joie de vivre à travers son premier roman
Lien : http://bit.ly/1rWwj58
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