César tenait enfin la gloire militaire, car tout Rome retentissait de ses formidables exploits. Pour asseoir cette gloire, il écrivit un livre, "Commentaires sur la guerre des Gaules", dans un latin clair et ciselé. Il y parlait de lui à la troisième personne, et réussissait à donner un sentiment d'objectivité et d'impartialité, qui n'empêchait pourtant pas, en parcourant les pages, de mesurer toute l'étendue de son génie. C'était exactement ce qu'il voulait.
Comme on ne sait pas grand-chose des Étrusques, il est facile de sous-évaluer leur contribution à l'histoire de l'humanité.
1. Les sept rois, p. 18