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3,6

sur 425 notes
C'est un thriller très bien documenté qui parle de fait réel sous fond de meurtres. L'auteur nous parle d'enjeux politique, économique et écologique.
J'ai eu beaucoup d'affection et d'empathie pour chacun des personnages, car leurs fêlures et leurs blessures y sont très bien exploitées.
Ce roman et très addictif car nous sommes dans des contrées sauvages, impitoyables et très rudes de l'Arctique où hommes et animaux doivent cohabiter, ce qui n'est pas toujours évident.
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Oui on meurt quand même à Longyearbyen ; de mort violente toujours.
L'auteur Morgan AUDIC nous emmène sur les terres du grand Nord, en Norvège à la frontière de la Russie.
Dans cette nuit polaire, cette nuit éternelle qui en est le personnage principal.
La nuit, dans un endroit glacé, les choses prennent une autre dimension.
C'est précisément en ces lieux qu'ours blancs, bélugas, baleines et orques règnent en maîtres.
Vivre ici comporte des risques, il faut les accepter et s'en accommoder.
Ici, c'est la terre des ours, pas celle des hommes.
Deux femmes décédées à plusieurs kilomètres de distance dans cet univers glacé.
Deux défenderesses du monde Animal, deux passionnées, Asa et Aneta, de la protection des espèces marines.
Deux femmes aux profils bien différents, animées par la même passion et qui vont le payer de leur vie.
Un suicide, une attaque d'ours tout le laisse croire ; et pourtant !
Mais l'animal le plus dangereux de la planète n'est-il pas l'homme ?
L'enquête est conduite par un journaliste « Ramus » et une policière « Lotie ».
Deux personnages complexes, avec une confrontation psychologique sur la définition de refuge ou de prison, mais déterminés à la recherche de la vérité.
Mais est-elle vraiment ce que vous pressentez ?
« Aujourd'hui les gens passent leur temps devant les écrans à regarder la vie des autres au lieu de vivre la leur ».
Dans ce roman Morgan AUDIC, dans un travail approfondi et fouillé retranscrit au plus près les sensations, le froid qui vient vous mordre les sens et la nuit qui vient réveiller vos angoisses.
Le narrateur soulève des problématiques liées aux animaux, comme la chasse qui fait partie de ces pratiques ancestrales. Ainsi la majorité des réflexions du roman concerne le mal que l'homme fait aux animaux plus ou moins volontairement.
Ce roman de fiction, est un ethno-polar qui divertit autant qu'il instruit.
Ce récit est ponctué de personnages forts, sans concession et marqués par les épreuves.
Il y a cette ambiance agréable qui se dégage, qui oscille entre obscurité et engourdissement dû au froid saisissant.
L'auteur plonge ses personnages au coeur des enjeux géopolitiques et écologiques actuels avec la cohabitation d'une communauté russe, nostalgique du soviétisme, et les autorités norvégiennes. Chacun étant pris dans l'étau des tensions internationales.
Les thématiques abordées sont riches, intéressantes et bien menées ; et je ne vous parle pas des enquêtes…..
Cette mise en perspective de deux drames dans le cadre des tensions internationales et écologiques rend la fiction extrêmement réaliste.
Morgan AUDIC réussit à décrire avec justesse les tensions entre différentes communautés aux intérêts divergents. Il nous fait sentir toute la complexité des enjeux et de la nature humaine.
Des moments de lecture comme on les aime, même si il y a quand même une difficulté à se familiariser avec les noms norvégiens.
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Bonjour à toutes et à tous ! 👋😁

Je poste enfin la critique de ce livre que j'ai tant attendu à sa sortie .

📚En effet , j avais découvert cet auteur Français avec son polar "De bonnes raisons de mourir " , qui se déroulait à Tchernobyl , et j'avais adoré la façon dont Morgan Audic se servait du Polar pour aborder d'autres sujets .Avec une plume presque journalistique , le rendu était très immersif .
J'avais donc ensuite décider de lire son premier livre " Trop de mort aux pays de merveilles ", qui m'avait surpris en étant extrêmement différent, original.

🚢Que va donc nous proposer cette fois l'auteur - à l'exception du fait qu'il utilise encore ce mot fil rouge dans ses titres " mort/mourir "?


🐾Sachez tout d'abord que malgré mes attentes très élevés, j'ai adoré cette lecture.
Bien sûr, j ai lu certaines critiques qui étaient « déçu » par rapport à son prédécesseur. Je les trouve un peu durs , même si je comprend .Plus les attentes sont grandes , plus le jugement sera rude.
C'est pourquoi je me suis plongé dedans en n'en attendant rien de spécial, en me laissant porté et ça a fonctionné .D'autres ont jugés peu original le scénario au vu du nombres de polars nordique .Moi, je l'ai tout de même trouvé différent et ce n'est pas parce qu'il est nordique qu'il est déjà vu .

🐳Encore une fois, j'ai retrouvé ce que j'avais apprécié chez l'auteur : la structure qu'est le polar, sert le propos de l'auteur. C'est toujours satisfaisant de lire plus qu'une enquête. Certains s'essaye à cet exercice mais ce n'est pas toujours fructueux .
Comme pour ma lecture précédente de l'auteur, j'ai beaucoup appris, et j'ai été parfaitement immergé dans l'atmosphère et l'ambiance des lieux .
Peut-être, en effet, que j'ai eu moins de surprises , niveau informations ,que dans l'autre .Cependant, je pense aussi que l'on est globalement plus informé de ce qu'il se passe au niveau écologique et ça reste une lecture riche.

🌏Morgan Audic va vous plonger donc dans un contexte politique & environnemental, de façon à la fois accessible et dense.
J'ai trouvé l'équilibre bon pour un polar dont on veut intensément tourner les pages . Plus de densité aurait peut être nuit à son efficacité et à sa portée au niveau du public , moins et il aurait été un polar parmi tant d'autres . 🤔Bien sûr, si l'auteur décide d'aller encore plus loin dans ses sujets pour le prochain , j'en serais la première ravie .

🩸Les Seuls petits point négatif que je relèverais seront minimes .

-🔹Premièrement, les personnages sont , pour moi, un peu plus clichés que dans la précédente lecture de ce dernier .Ça ne m'a je crois, pas vraiment gêné car le reste de l'oeuvre ne l'est pas du tout , bien au contraire .La densité ,les sujets abordés ,..compensent largement ce petit couac .Attention cependant pour les prochains à ne pas réitérer ce détail . Que l'auteur se fasse confiance sans avoir besoin de nous servir des personnages attendu, et ce sera parfait ! (facile à dire, ..oui je sais ! 😉 )

-🔹Ensuite, j'aimerais relever un point qui n'a été abordé que par un personnage mauvais et antipathique qui s'en servait d'excuse .Ça m'a gêné car ça coupait la porté du message selon moi, et c'est un point qu'il faut garder en tête : le tourisme peut être aussi un facteur environnemental néfaste !
En effet si vous avez besoin de partir sur un gros bateau bien polluant pour observer les baleines , même si vous sensibiliser le public à leurs causes , vous leur faites aussi oublier qu'il s'agit d'une expédition qui n'a rien de positifs sur leurs écosystème .C'est un tourisme polluant .
Je pense que de rajouter cette contrebalance à l'histoire aurait eu un effet un peu plus intéressant, et moins manichéen sur l'oeuvre globale .Mais on ne peut pas dire que l'auteur ne l'a pas relevé non plus .

✅En bref , ⬇
🧊Vous l'aurez compris, j'ai globalement énormément apprécié la lecture de cet auteur français qui nous gâte par son investissement dans ses oeuvres.
On sent les nombreuses recherches approfondis, on apprécie l'implication sur des sujets forts, on se réjouit de ne pas lire qu'un polar. On est satisfait de ne pas découvrir une recette recyclé de l'auteur .
Il faut avoir une grande richesse pour proposer des oeuvres très diverses les unes des autres et je salue cela .

Encore une fois , ce n'est que mon avis très subjectif .

N'hésitez pas à vous faire votre propre opinion et pourquoi pas ,échanger nos ressentis .D'accord ou pas, c'est toujours intéressant .

Prenez du plaisir à lire !👍😉📙


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Un bon policier du froid ! On se trouve en Norvège dans le grand nord et l'histoire est intéressante sur les animaux marins utilisés à des fins particulières… J'ai bien aimé, un bon suspense, des bons personnages, deux histoires qui se regroupent , on passe un bon moment, allez-y
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Un thriller que j'ai écouté en version audio et qui m'a fait sortir de ma zone de confort car c'est mon premier polar artique.
Tout d'abord un petit retour sur les livres audios : j'ai commencé à en écouter il y a moins d'un an et aujourd'hui je ne pourrais plus m'en passer ! Une expérience vraiment positive qui me permet de me sentir moins frustrée quand je n'ai pas le temps de me poser avec un livre, ainsi j'ai toujours deux lectures en parallèle, mon livre « papier » et mon livre audio.

Revenons-en à « Personne ne meurt à Longyearbyen » de Morgan Audic, ce thriller nous fait voyager dans l'archipel du Svalbard et dans les îles du Lofoten, en plein milieu de l'artique, dans la nuit polaire. Deux mortes que des milliers de kilomètres séparent : Agneta, jeune étudiante de 26 ans préparant un doctorat en biologie et Asa, une ex-journaliste de guerre reconvertie dans le tourisme marin, à priori rien ne les relie si ce n'est leur intérêt pour les mammifères marins.
Deux enquêteurs : Lottie Sandvick, une femme flic et Nils Madsen un journaliste reporter de guerre, tous deux persuadés que ces morts sont suspectes
Et donc, deux enquêtes qui, bien entendu, vont se recouper.
Outre l'intrigue menée de main de maître par Morgan Audic et la fin tellement inattendue, j'ai été happée par la description de ces territoires du grand Nord, hostiles, froids et sombres où la vie semble si rude.
Mais « Personne ne meurt à Longyearbyen » est aussi un polar éducatif, très bien documenté au niveau politique et écologique et qui aborde de nombreux thèmes d'actualité comme les règles internationales relatives à la protection de certaines espèces comme l'ourse polaire, les massacres perpétrés par les baleiniers, la tension politique avec les russes à Svalbard, le réchauffement climatique, la cruauté humaine et les souffrances infligées aux animaux.
L'écoute de ce roman m'a fait penser à un auteur frqnçais, Caryl Férey, qui m'a transportée en Afrique avec son splendide « Okavango » et m'a donné envie de lire « Lëd » son polar qui explore la Sibérie.
C'était mon premier contact avec la plume de Morgan Audic mais nul doute que je renouvellerai l'expérience !
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J'ai reçu ce roman en cadeau pour noël. L'intention était belle connaissant ma passion pour les thrillers mais le service marketing, qui a probablement jugé plus vendeur de classer ce roman comme thriller ne m'aura pas dupé. On est en effet ici sur un polar à double enquête classique très stéréotypé, très codé, peu stylé, loin du prodige qu'on m'avait promis. Je remercie toutefois mon amie pour la louable intention.
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Personne ne meurt à Longyearbyen
Morgan Audic
Roman (3ème)
Albin Michel, 2023, 384p


Morgan Audic est un écrivain français né le 30 janvier 1980 à Saint-Malo. IL écrit des romans policiers. Il est prof d'histoire-géo.
Ce troisième roman emmène le lecteur dans l'archipel de Svalbard, on se promet des paysages grandioses du cercle polaire et de la mer de Norvège. Les îles voisines de Lofoten font rêver. Lothe est officier de police, l'héroïne vient d'Oslo, mais a passé son enfance à Longyearbyen, la ville la plus au Nord du monde. Elle a demandé à y être mutée parce que, à la suite d'une agression, elle a des crises de panique. Elle pense reprendre pied dans un environnement calme. Elle a été choisie pour ce poste parce qu'elle parle russe. Elle est mince, divorcée avec une petite fille.
A Longyearbyen, où personne ne meurt jamais, on recense plusieurs mutilations d'animaux, et on rejette la faute sur un baleinier. Un beluga s'échoue. Sur sa peau, il est écrit en runes : Je te vois, On retrouve sur la banquise un corps, celui d'une étudiante, doctorante en biologie arctique. On pense qu'elle a été lacérée par un ours, que le réchauffement climatique rapproche de la côte, et sans doute attiré par la graisse du beluga. Comment se fait-il qu'elle n'eût pas son fusil avec elle, en dépit de ce qu'elle avait pu apprendre avec son professeur doté d'une très mauvaise réputation, arrogant, dur, sans empathie ? A un millier de kilomètres de là, on retrouve un autre corps noyé. On privilégie la thèse du suicide. C'est celui d'une ex-reporter de guerre, qui organise maintenant des safaris sous-marins, et dont l'obsession est de rechercher l'auteur des mutilations.
Deux enquêtes vont s'ensuivre, celle de Lothe, dont « l'idée même que le mal puisse continuer à rôder quelque part dans l'archipel lui donnait la nausée », et celle d'un très cher ami de la victime, un ex-amant, qui ne croit pas à la thèse du suicide. On suivra deux pistes, celle du trappeur qui pleure la mort de l'étudiante, et celle du fils du baleinier, un rustaud dur à la peine, un tatoué satanique. Au cours de ces enquêtes, on croisera deux gardes russes qui précisément ont trouvé le corps de l'étudiante, et dont les versions se contredisent. Ils travaillent à Pyramiden, ex-cité minière gérée par des Russes et aujourd'hui ville désaffectée. Si les Russes sont là, bien que le territoire soit norvégien, c'est parce qu'ils ont gardé le droit de poursuivre l'exploitation du sous-sol. Quand les gardes sont interrogés, le consul de Russie tient à être là. Les Russes n'ont pas bonne presse, cela fait un an que la guerre d'Ukraine, à laquelle plusieurs allusions sont faites, a commencé. On croisera aussi un savant russe contraint à se suicider, Liv, une plongeuse qui porte une prothèse à la suite d'un accident avec un orque, et Christopher, un surfer. Et on ira jusqu'en Chine, pour découvrir un trafic de cétacés vendus pour être dressés à espionner.
C'est un thriller passionnant, à la fois par l'intrigue mais aussi par ses nombreux aspects documentaires.

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Le grand Nord
Avec ce polar, embarquement pour une double enquête au nord du cercle arctique.
A Longyearbyen, capitale du Svalbard, une étudiante est retrouvée morte sur la banquise : selon toute vraisemblance, elle a été tuée par une ourse. Au Svalbard, il y a 2400 habitants et 5000 ours, le rapport de force est clairement en faveur de l'animal et d'ailleurs, chacun est invité lorsqu'il se déplace à l'extérieur de la ville, à se munir d'un fusil. Or, la jeune femme, pourtant très informée des risques encourrus, n'avait pas d'arme. Bizarre.
Sur l'archipel des Lofoten, autre drame : un suicide, celui d'Åsa, ex reporter de guerre reconvertie dans le tourisme. Pourtant, son agence d'excursions sur mesures pour photographier les orques, les bélugas et la faune polaire marchait très bien. Bizarre.
Comme le titre l'indique, personne ne meurt à Longyearbyen. L'archipel est très sûr, il n'y a pas de criminalité (quelques vols, des bagarres dues à l'excès d'alcool), et les personnes malades sont exfiltrées sur le continent pour être soignées ou pour mourir. Quant aux ours, ils ne font que de très rares victimes, dans des circonstances bien particulières. C'est précisément ce qui intrigue Lottie Sandvik, chargée de l'enquête concernant la mort de l'étudiante. Ça ne colle pas, ce n'est pas l'ourse Frost qui l'a tuée... Mais qui pouvait avoir un mobile pour éliminer une doctorante en biologie arctique ? Les Russes qui ont gardé une base symbolique au Svalbard (Pyramiden, une cité minière fermée depuis la fin des années 90, aux allures de ville fantôme) feraient de bons suspects…
Aux Lofoten, Nils Madsen, ex collègue et ex amant d'Åsa ne peut pas croire que son amie se soit suicidée. Au prétexte d'écrire un article sur ce fait divers, il se rend sur place et décide de mener son enquête. Très vite, il apprend qu'Åsa était en conflit avec des chasseurs de baleines… L'auraient-ils tuée et maquillé le crime en suicide ?
Comme vous vous en doutez, les deux enquêtes vont finir par se rejoindre, réservant de nombreuses surprises, sans parler de la fin qui est carrément détonnante.
J'avais beaucoup aimé le précédent thriller de Morgan Audicde bonnes raisons de mourir, qui se déroulait dans la zone de Tchernobyl. J'avais donc une certaine impatience à lire ce polar glacial à la couverture un peu raccoleuse. Je ne peux pas dire que j'ai été déçue, l'intrigue est plutôt brillante et le décor somptueux (je rêve d'aller en Norvège et plus précisément aux Lofoten – je passe mon tour pour le Svalbard !)… Mais (car il y a un mais) je ne suis pas aussi enthousiaste qu'avec le précédent. La « faute » sans doute aux personnages pour lesquels je n'ai pas eu d'empathie. Lottie, par exemple : la flic au passé douloureux, avec des failles, des problèmes familiaux… du déjà lu. Nils ? Eh bien je m'aperçois que je n'en ai pas retenu beaucoup… Pas très intéressant. En revanche, j'ai bien aimé les thématiques explorées par l'auteur : l'environnement, le changement climatique qui impacte la zone arctique, notamment la faune, la chasse à la baleine qui reste d'actualité en Norvège, bien que très réglementée, le retentissement des activités humaines sur les cétacées (nombre d'entre eux vont s'échouer sur les côtes, en raison notamment de la pollution sonore qui les perturbe, les assourdit et les désoriente). A cela s'ajoute le contexte géopolitique de la région du Svalbard, aux relents de guerre froide avec la Russie, une situation qui semble s'être aggravée depuis le début de la guerre avec l'Ukraine.
Au final, un page-turner à lire pour le dépaysement (n'oubliez pas votre doudoune polaire) ! Glaçant mais distrayant et instructif.

Pour en savoir plus :
https://legrandnord.org/la-norvege-dans-le-cercle-polaire-arctique/
https://www.nationalgeographic.fr/animaux/pourquoi-les-cetaces-sechouent-ils-sur-les-plages
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Deux cadavres, deux enquêtes apparemment sans lien entre elles, même si on se doute bien que "tout est lié" ! Sauf nos deux personnages principaux qui mettent un temps fou à s'en rendre compte... C'était un poil frustrant.
Ce n'est pas le polar le plus transcendant que j'ai lu, et on aurait pu se passer de quelques clichés (le métaleux sataniste, par exemple, parce qu'on peut écouter du métal sans avoir envie de brûler des églises, si si.) mais il reste bien mené et intéressant. J'ai appris des choses sur la Norvège et l'étude des cétacés. Pour les lecteur.ice.s qui aiment allier l'utile à l'agréable !
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Dans la ville la plus au Nord de l'hémisphère, une étudiante est retrouvée morte, a priori attaquée par une ourse mais Lottie ne croit pas à cette version. le corps d'Asa est également retrouvé et classé comme suicide mais Nils ne croit pas non plus à cette hypothèse ... Chacun va donc mener son enquête cherchant à demeler le vrai du faux dans un contact politique où tout est surveillé par la Russie. Autant j'ai adoré de bonnes raisons de mourir autant j'ai trouvé celui-ci long et avec trop de sujets abordés. Heureusement les personnages de Lottie et Nils sont attachants.
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