Un extrait du recueil « le prince blessé ». Qu'est-ce que ça fait du bien de lire ça ! Quelle classe, quel style, quelle puissance du message ! Ça m'a ramené à beaucoup de choses que j'ai beaucoup aimées et lues, en me faisant réaliser que je les avais pas mal laissées de côté depuis quelques temps : la verve et l'humanité de
Marcel Aymé (et du moins connu
Marcel Béalu) et le foisonnement du merveilleux sud-américain (
Cortazar,
Garcia Marquez,
Ruben Dario, et la flopée d'autres moins connus). Et tout ça, bien sûr annonçant l'écolo-anticipation plus radicale de
Jean-Pierre Andrevon, dont on se rappelle qu'il avait soumis ses textes de débutant à…
René Barjavel.
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