LA JOIE
Notre société actuelle a dénaturé le sens du mot « Joie ».
Nos aïeux n'avaient rien et pourtant tout était l'occasion de partager une veillée avec ses voisins, de fêter un mariage, de partager un repas pendant les saisons des foins, des moissons, des vendanges.
Actuellement les peuples des pays dits « sous-développés » savent encore être heureux.
Notre société occidentale moderne a tout et pourtant les gens ne sont jamais contents de rien. Ils aspirent à toujours plus de richesse, toujours plus de reconnaissance ou de notoriété, toujours plus de pouvoir mais ils ont oublié les valeurs essentielles de la vie que sont l'amour, le partage, la compassion, et la joie toute banale que l'on peut trouver dans chaque instant du quotidien (le soleil qui brille, la nature qui s'éveille, la fidélité d'un animal, le regard innocent d'un enfant, etc.).
Finalement, nous avons tout pour être heureux mais personne ne l’est vraiment.
Il ne faut pas oublier que la mort est le pendant de la vie donc autant savoir apprécier chaque minute du temps relativement court qui nous est donné avant de partir pour le territoire inconnu dont nous ne connaissons rien car personne n’est revenu pour nous le décrire.
Carpe Diem !
NOSTALGIE SUR LE TEMPS QUI PASSE
Nostalgie sur le temps qui passe trop vite !
On croit qu'avoir 20 ans dure éternellement mais voilà que le palier des 30 ans est atteint, sans même avoir ressenti qu'on grimpait sur l'échelle raide du temps.
La vie est belle et la jeunesse irradie notre être, mais voilà que les 40 ans apparaissent sur le grand escalier du temps.
En bon optimiste, on se dit qu'on a encore du temps devant soi et sans même sans rendre compte, nous voilà avec 50 ans au compteur, un demi-siècle.
Mazette !
Oh temps suspends ton vol, tu vas trop vite tout d'un coup et on n'a plus l'énergie pour suivre.
Malgré tout, bon an, mal an, on franchit le cap des 60 ans, l'âge de la retraite sonne et on commence à se dire que la roue a tourné bien vite.
On se rapproche de plus en plus du terminus,.
Hélas !
Le temps poursuit sa route sans entendre nos doléances, et comme on n'a pas le choix, on s'accroche dans cette course où la fin n'amuse personne.