Thomas McNulty est d'origine irlandaise. Il nous raconte une partie de sa vie mouvementée. Arrivé jeune en Amérique, il est le seul survivant de sa famille décimée par la Grande Famine.
Encore adolescent il va travailler avec John Cole (l'amour de sa vie) dans un saloon et distraire les mineurs avec un numéro de travestis. Ils s'engageront ensuite dans l'armée et participeront au Guerres Indiennes puis à la Guerre de Sécession…
Je ne me suis pas diverti avec ce roman, loin de là !!!
Traiter de l'homosexualité dans les grandes plaines entre deux massacres d'Indiens, non merci.
De plus, nous avons droit à des précisions d'une trivialité consternante : « La pisse de trois cents hommes, ça fait vite de la boue » (p.37)
« On a baisé sans bruit et on s'est endormis » (p.37 également). Ils ne se feront jamais surprendre et lyncher par les 298 hommes restants, vraiment très discrets et silencieux ces deux-là !!!
« La pisse gelait en giclant de notre poireau, et malheur à celui qui était constipé ou qui avait un instant d'hésitation,… " (p.48), je n'écris pas la suite, je suis déjà assez navré de l'avoir lu pour vous l'infliger.
"Il se met à faire plus chaud encore. On a le dos cuit. Il suffirait d'une pincée de sel et de quelques brins de romarin, et ça ferait un steak." (p.70)
Un roman que je ne recommande vraiment pas.
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Et bien, je n'ai vraiment pas su terminer ce roman. L'écriture n'est pas aérée, on n'arrive pas à respirer, bizarre hein! Bref pas mon top de l'année.
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