Citations sur La Florentine, tome 4 : Fiora et le roi de France (22)
Posséder Fiora, c’est posséder toute la beauté du monde. Les anciens Grecs en auraient fait une statue divine, mais il faut l’avoir tenue dans ses bras pour savoir quel doux éclat elle atteint dans l’amour, et aucune femme ne m’a donné ce que j’ai reçu d’elle...
Bénie soit entre toutes la mère qui t’a portée et t’a faite si belle !
Il arrive qu’une passion charnelle se transforme en des sentiments profonds.
Emplis de sable un tambour et frappe dessus ! Il ne vibrera jamais. Le cœur de Fiora est ce tambour et le souvenir d’un autre y tient toute la place.
Il y a des souvenirs impossibles à effacer
Un mariage conclu sous la contrainte ne saurait être valable devant Dieu, même béni par le pape.
L’amour d’un enfant gâté peut devenir source d’ennuis.
– ...Et par saint Luca, mon patron, je saurai bien t’amener là où je te veux !
– Ton saint patron était médecin. Demande-lui de te guérir, car tu es en train de perdre l’esprit. Ce sera plus sage !
On ne force pas le cœur d’une femme...
Tu t’es repris de passion pour elle en la revoyant, mais tu ressembles à un enfant qui réclame un jouet, naguère dédaigné, parce qu’on vient de le donner à son frère, et qui trépigne pour le reprendre.