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Le temps des poisons tome 1 sur 2
EAN : 9782262027896
462 pages
Perrin (30/11/-1)
3.85/5   136 notes
Résumé :
Mars 1679. Charlotte de Fontenac, quinze ans, vient d'apprendre que sa mère veut lui faire prendre le voile au couvent de Saint-Germain-en-Laye. La nuit suivante, Charlotte s'enfuit pour chercher refuge chez sa tante, Mme de Brecourt. En chemin, elle est le témoin fugitif d'une messe noire : un inconnu l'arrache à ce spectacle, et l'enjoint de ne jamais révéler ce qu'elle a vu avant de disparaître. Mme de Brecourt est d'autant plus heureuse d'accueillir sa nièce qu'... >Voir plus
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Je savais bien que je n'aurais pas dû me lancer dans « Le Temps des Poisons », sous peine d'en sortir déçue. le poison n'a pas pris sur moi. Ça m'apprendra à vouloir m'obstiner.
Une part de moi pourtant avait envie d'y croire : l'Affaire des Poisons, le règne de Louis XIV... Certes, je n'ignorais pas que Juliette Benzoni avait parfois la plume un peu trop douce, qu'elle abusait souvent de l'encre rose, comme Marie-Thérèse de chocolat en son temps et pour dire le vrai, je me souviens avoir commencé plusieurs de ses romans sans jamais parvenir à les terminer, la nausée me guettant.
Sauf un. Trois en réalité, puisque il s'agit d'une trilogie.

Retour en arrière : j'ai quinze ans et je découvre dans la bibliothèque de l'une de mes tantes « La Chambre de la Reine », premier tome de « Secret d'État ».
Le résumé me charme et je rentre à la maison le précieux butin dans mon sac à dos. le soir même, au lieu de réviser mon contrôle de trigo (de toute façon, avec ou sans révisions, les maths et moi...), je me plonge dans les aventures de Sylvie de Valaines et de François de Beaufort et c'est le coup de foudre.
Quelques jours plus tard, je m'offre avec l'argent de mes baby-sitting les tomes 2 et 3. Cette saga, je l'ai adorée avec toute la démesure de mes quinze ans, je l'ai lu, relu et relu encore jusqu'à en connaître par coeur des pans entiers. Puis j'ai grandi, mes goûts ont changé, se sont affinés et je me rends bien compte que ma chère Juliette donne parfois dans la guimauve. Ce que je ne pardonne plus à aucun écrivain, je le pardonne pourtant à « Secret d'État » que je continue de relire régulièrement. Ces retrouvailles avec les Vendôme et compagnie ressemblent encore aujourd'hui à des retrouvailles avec de vieux amis. On se voit peu mais lorsqu'on se retrouve c'est encore comme avant, la distance est abolie et ça ressemble à du bonheur. Aujourd'hui encore, «La Chambre de la Reine », « Le Roi des Halles » et « Le Prisonnier Masqué » me font cet effet. Quand je m'y plonge, j'ai toujours quinze ans et mon coeur de midinette. Ce sont toujours les mêmes angoisses, la même tension, les mêmes attentes, le même plaisir.
Et tant pis pour la guimauve.

Forte de cette histoire-là, j'avais tenté de découvrir d'autres ouvrages de la dame de Saint-Mandé... sans succès (j'aurais tant voulu aimé « Les Chevaliers » : échec cuisant!) et j'avais juré-comme le corbeau- qu'on ne m'y prendrait plus.

Sauf que ces derniers jours, j'avais envie d'un roman historique dont l'intrigue se déroulerait pendant le Grand Siècle, d'une histoire prenante mais pas trop douloureuse et je me suis montrée faible face à Juliette. Magnanime. J'ai voulu lui laisser une dernière chance, en me disant que « Le Temps des Poisons » se déroulant au cours de l'une de mes époques de prédilection, je ne prenais pas trop de risques.

Raté.

Deux impressions me restent après cette lecture : tout d'abord celle d'avoir lu une variation autour de « Secret d'État » (beaucoup, beaucoup de similitudes!) le talent et la subtilité en moins, les fils blancs et les gros sabots en plus; puis celle d'une intrigue très inégale. Elle pourrait être captivante, mais elle ne l'est pas, traîne en longueur parfois quand elle ne fait pas de très frustrantes ellipses. Les personnages sont croqués à l'emporte pièce et je n'ai pu m'attacher à eux malgré mes efforts. le contexte historique est sous exploité et il en ressort un ensemble bien décevant. Certaines idées ne manquaient pourtant pas de sel (telle la filiation mystérieuse de Charlotte) mais quel ennui dans leur développement qui demeure très superficiel... Quant à la romance, quel manque de crédibilité ! On n'y croit pas une seconde. On ne peut décemment pas y croire tant elle semble sortie de nulle part, un peu comme si on l'avait saupoudré là en fin de cuisson.
Et dire que je me pâmais, que je frémissais comme un violon à chaque tournant de l'histoire de Sylvie et François. Là, au mieux j'ai levé les yeux au ciel.

Dans ces circonstances, pas sûre de vouloir prolonger l'aventure avec le second tome, même si je suis arrivée à la fin du volume.
Je ne sais pas si ça n'a pas pris parce que ce n'est pas bon ou si c'est parce que j'ai vieilli... Tant pis.






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Juliette Benzoni est probablement la première autrice de romans historiques pour adultes que j'ai choisi de moi-même de lire, sans qu'on me la conseille, quand j'étais jeune adolescente. Elle revêt donc une place toute particulière dans mon coeur avec ses saga Secret d'Etat, Treize Vents, Catherine et j'en passe. J'ai eu envie de la retrouver maintenant que je suis adulte avec le court diptyque : le temps des poisons.

J'avais le souvenir d'une littérature historique au décor riche et fidèle mais où l'aventure et la romance prisaient. Ce fut à nouveau le cas ici dans ces plus de 800 pages que traversent les héros du Temps des poisons. Cependant, je dois avouer que le mélange qui me plaisait tant adolescente s'est un peu émoussé maintenant que je suis plus âgée. Je trouve toujours la plume de l'autrice très fluide et facile à lire, propice pour nous embarquer dans de sacrées aventures. Mais je trouve aussi ces dernières parfois trop rocambolesques et tirées par les cheveux pour ne pas dire datées dans leurs procédés et exécutions, comme cela avait été le cas avec ma dernière lecture de Mireille Calmel. Ce n'est plus ce que j'attends de romans historiques.

L'histoire du Temps des poisons se découpe en deux temps. Dans le premier tome, nous avons ce que j'aime et attend de ce type de roman historique qui prend pour décor des personnages et lieux ayant existé. Juliette Benzoni y met en scène la jeune Charlotte de Fontenac, qui un soir s'enfuit du couvent où sa mère l'a placée pour l'écarter car elle lui fait de l'ombre. Rendue à sa grand-mère, celle-ci la protège en la mettant sous la protection de Monsieur le frère du roi et de la Princesse Palatine. Aux côtés de Charlotte, nous allons découvrir la vie au Petit Palais, les relations entre les deux frères mais aussi les changements qu'est en train de connaître le règne de Louis XIV, notamment à cause de ses favorites du moment.

L'autrice s'est bien documentée, et sans que cela paraisse indigent, elle nous gâte de détails concernant cette époque si riche de notre histoire. On se glisse ainsi dans les coulisses du Roi et de son frère pour explorer notamment le mariage de la fille du dernier avec le roi d'Espagne ou encore les rivalités entre Mmes de Montespan et Maintenon chez le premier. C'est intéressant, immersif et cela se mélange très bien avec les velléités d'indépendance de l'héroïne qui est témoin de tout cela par sa place au sein de leur famille. Il y a plein de détails sur la façon dont on vivait à Paris et dans les châteaux aux alentours à l'époque, sur l'évolution du chantier et de l'installation à Versailles, etc. On rencontre aussi le Roi et ses proches. Charlotte devient suivante tour à tour de la Princesse Palatine, de sa belle-fille Marie-Louise, puis de la reine Marie-Thérèse, ce qui nous permet de nous glisser au plus près de ce qui se passe.

Malheureusement très vite, plutôt que de s'en tenir à la vie de la Cour itinérante du roi qui est déjà bien riche, l'autrice décide de nous conter l'histoire de Charlotte. Elle part alors, dans quelque chose qui se fait beaucoup mais que je goutte peu ici, des aventures rocambolesques totalement fictives venant s'insérer dans la vraie grande Histoire. Il y a ainsi des mystères autour de la filiation de Charlotte, elle se retrouve mariée contre son gré pour la sauver des griffes du roi, Mme de Maintenon lui veut du mal, elle se fait embastiller, enlever, séquestrer, violer (oui, encore ce satané recours scénaristique, en plus balayé comme si de rien n'était… !), et bien d'autres aventures. Elle a droit à un amour contrarié avec un homme d'un autre rang social. Bref tous les clichés y sont… L'héroïne étant assez fraîche et naïve, pour ne pas dire fade et ingénue, ce n'est malheureusement pas des plus passionnants. Il n'y a pas d'élan fougueux et ce sont malheureusement les personnages historiques qui lui volent la vedette, mais elle, Charlotte, prend trop de place dans l'intrigue statistiquement parlant, du coup l'ensemble est maladroit et assez insipide dans le second tome…

Il faut dire que même si elle s'est documentée et qu'elle tente de retranscrire un XVIIe siècle fidèle à la réalité, l‘autrice tombe aussi dans l'écueil de camper des personnages historiques très clichés. Elle ne nuance aucunement le personnage de Monsieur et son rapport à ses favoris et sa femme. Idem pour Louis XIV, homme à femmes, qui se serait fait « manipuler » par la Maintenon. Celle-ci a probablement le pire portrait à charge du roman. On est en plein dans la légende noire, idem pour certains ministres, alors que tout ça a été nuancé par l'historiographie depuis longtemps… Il faut dire que l'autrice a plus utilisé le travail d'écrivains comme Michel de Decker que d'historiens. Ceci explique probablement cela… Alors certes pour les besoins de l'histoire, cela donnait des scènes avec des personnages sombres et dangereux, mais quand on est amateur de cette période, on ne peut que ressortir assez frustré.

Lecture un peu d'un autre temps, le Temps des poisons offre une sympathique incursion dans les années troubles du milieu du règne de Louis XIV. L'immersion dans l'époque est réussie mais le choix de privilégier une intrigue 100% fictive avec une héroïne qui manque d'envergure et surtout d'énormes clichés sur les personnages connus, ainsi que des choix scénaristiques dépassés, donne une couleur en demi-teinte à cette lecture, que j'aurais peut-être plus appréciée à sa sortie que maintenant.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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Soit j'ai trop grandi et j'ai perdu une part de mon romantisme, soit Juliette Benzoni, en prenant de l'âge, régresse dans son art.

Désolée si mes propos heurtent les aficionados (dont je fais partie) mais le premier tome de cette saga m'a quelque peu déçue. Pourtant la période exploitée ne pouvait me plaire davantage puisqu'il s'agit de ma période favorite ! Hélas, est-ce parce que l'affaire des poisons a déjà été bien exploitée dans d'autres oeuvres et au cinéma, mais le récit m'a lassée, je n'ai pas été captivée par les aventures de l'héroïne et je n'ai même pas été émue par la mort de la reine que Juliette Benzoni n'a pas réussi à me rendre attachante.

Seul point positif : un petit rappel historique de l'arbre généalogique louisquatorzien.
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Le Temps des poisons de Juliette Benzoni était, pour moi, un livre « d'attente » entre deux commandes de livres. Ma fille l'avait récupéré dans une cabane à livres.

Cette lecture, pas forcément déplaisante, ne m'a pas apporté un moment délicieux mais a joué son rôle d'occupation du temps. C'est le cas de le dire, compte tenu de son titre. Il est certain que je ne chercherai pas à lire les tomes suivants.

Comme l'indique le titre, le sujet n'est pas l'Affaire des poisons mais une description de la période Louis XIV, dans les années précédant l'emménagement de la cour à Versailles.

J'ai eu l'impression d'avoir une version littéraire de la saga télévisuelle, Angélique marquise des anges.

Maintenant que ma commande a été livrée, je vais poursuivre mes lectures vers d'autres horizons et remettre ce roman d'où il vient, à savoir la cabane à livres dont on l'a sorti.
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J'ai déjà lu plusieurs « séries » de Juliette Benzoni (secret d'état, Les chevaliers, les jeux de l'amour et de la mort…). Et dans chacun des romans, j'avais été emportée par l'histoire à tel point que j'avais du mal à lâcher le livre. Aussi, je m'attendais à ce qu'il en soit la même chose pour celui là. Mais j'avoue que je suis un peu déçue.

L'histoire me semble un peu longue. Elle démarre au quart de tour et on se dit « oh si tout le livre est comme ça, ça va être bien ». Et puis finalement, ça traine en longueur entre chaque rebondissement. Certes, on aime bien Charlotte, l'héroïne. Mais on a un peu du mal à voir où l'histoire veut nous emmener.

Et puis il y a cette précision, cette importance du détail qui rend le style légèrement lourd. Et redondant aussi, car en ce qui concerne les personnages, on a plusieurs fois la même description ou presque.

La où ça devient intéressant, c'est à la fin. La reine meurt, Charlotte se retrouve seule, sans protection face à sa mère… (bon je veux pas trop vous dire ce qui se passe au cas où vous voudriez le lire). Et finalement, on a hâte de savoir ce qu'il va se passer dans le tome 2. Je vais donc m'empresser de le commencer.

Le grand plus, que j'apprécie beaucoup chez Juliette Benzoni, c'est le côté roman historique. L'auteur a le don d'insérer ses personnages dans un contexte bien documenté. Ainsi, en même temps qu'un récit intéressant, on en apprend toujours un peu plus sur l'histoire de France. Et ça, en tant qu'historienne dans l'âme, j'adore !
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Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
Quand au sortir du bois de Fosse-Repose on aperçut Versailles, Charlotte trouva que Madame était difficile. Certes, Saint-Cloud était la plus charmante résidence qui soit, mais ce qui était en train de devenir le palais du Roi-Soleil promettait d'être une merveille. L'étirement de ses longs bâtiments roses côté ville, blancs côté jardins, même inachevés comme en ce moment où des chantiers s'activaient encore à plusieurs endroits, promettait une majesté sans pareille. Derrière, à la limite des jardins, un canal bleu filait vers l'horizon où il se perdait. Devant le château, la ville s'élevait en bordure de trois larges avenues tracées en éventail, une ville sans masures et sans misère, uniquement composée de nobles hôtels en pierre blanche tous pourvus de jardins.
[...]
Monsieur et les siens logeaient sous l'appartement de Louis XIV. Cela donnait entière latitude à Charlotte de sortir dans des jardins qu'elle jugea d'emblée fascinants. L'art de celui que l'on appelait déjà le grand Le Nôtre s'y épanouissait en parterres fleuris, boulingrins, arbres taillés en plateaux, murs végétaux abritant des allées ressemblant à des passages secrets, miroirs d'eau d'où jaillissaient des fontaines, statues de marbre et ifs taillés en "topiaires", c'est-à-dire suivant des formes tout à fait inhabituelles, bosquets quasi impénétrables offrant des asiles mystérieux.
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"Finalement, qu'avez-vous à perdre en épousant Saint-Forgeat? Il ne vous touchera sans doute même pas!
- Ma liberté!
De ronds, par nature, les yeux de Madame tirèrent sur l'ovale:
- Votre li-ber-té? Où prenez-vous que vous l'ayez jamais eue sauf peut-être durant la nuit de votre fuite? Si j'ai un conseil à vous donner c'est de ne pas employer ce mot devant le Roi ! Vous vous retrouveriez à la Bastille ou à Vincennes sans avoir eu le temps de comprendre ce qu'il vous arrive... Depuis la Fronde c'est un mot qu'il a en horreur !
- Mais...
- Pas de mais! Pourquoi croyez-vous qu'il construit ce gigantesque palais et la ville qui va avec? Tout bêtement pour y tenir sous clef cette turbulente noblesse française dont il sait depuis des décennies ce dont elle est capable si on ne la jugule pas d'une main de fer !
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La Cour est en ce moment gouvernée par quatre "divinités" Fontanges qui pleure, Montespan qui fulmine, Maintenon qui chuchote et la Reine qui prie.
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Il semblerait d’ailleurs que celle-ci fût seule à savoir le fin mot de ce qui s’était passé dans le cabinet du Roi. Un peu plus tard, elle écrivait à une amie : « Mme de Montespan a d’abord pleuré, ensuite fait des reproches, enfin a parlé avec hauteur. Elle s’est déchainée contre moi selon sa coutume. Le Roi est resté ferme… mais Mme de Montespan est bien aimable dans les larmes… » ajoutait-elle non sans amertume…
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- Vous ici, Sire mon frère ? Et à cette heure de la nuit ? Prendriez-vous ma maison pour un bordel ?
Hors de lui, la fureur le faisait bégayer. Malheureusement, son accoutrement le rendait plutôt comique. Le Roi eut un bref éclat de rire mais se reprit vite :
-Votre maison ? fit-il soudain cassant. Vous oubliez mon frère que ce palais vous est seulement prêté et qu'il m'appartient toujours. Il ferait beau voir que je ne sois pas libre de mes mouvements dans une demeure qui est mienne...

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Vidéo de Juliette Benzoni
Avec sa centaine de perles et ses 674 diamants d'une pureté exceptionnelle, taillés en brillants ou en poires, et sertis sur une monture dite « en esclavage », ce chef d'oeuvre de 2842 carats est un bijou unique dans l'histoire de la joaillerie. Suivons les traces de ce collier et de la mystérieuse affaire qui l'entoure, et découvrons comment théâtre, littérature et bande dessinée vont s'emparer d'un fait historique pour construire un véritable mythe littéraire. N'hésitant pas à s'éloigner de l'affaire originelle, ces récits se sont construits autour d'un objet bien réel, qui tient encore le premier rôle aujourd'hui dans de nombreuses adaptations télévisuelles et cinématographiques.
Pour en savoir plus, rdv sur le site Les Essentiels de la BnF : https://c.bnf.fr/TRC
Crédits de la vidéo :
Direction éditoriale Armelle Pasco, cheffe du service des Éditions multimédias, BnF
Direction scientifique Charline Coupeau, docteur en histoire de l'art et chercheuse à l'École des Arts Joailliers
Scénario, recherche iconographique et suivi de production Sophie Guindon, chargée d'édition multimédia, BnF
Réalisation Amopix
Enregistrement, musique et sound design Mathias Bourre et Andrea Perugini, Opixido
Voix Geert van Herwijnen
Crédits iconographiques Collections de la BnF
© Bibliothèque nationale de France
Images extérieures :
Blake & Mortimer, Tome 10, L'Affaire du collier, Version journal de Tintin, 1967 Couverture, p.22, p.26, p.28, p.32, p.33 de la bande dessinée © Editions Blake & Mortimer / Studio Jacobs (Dargaud-Lombard s.a.), 2024
Mickey et le collier de la reine, 1971 Couverture de la bande dessinée © Hachette, 2024
Le collier de la reine de Frances Mossiker, 1963 Couverture du livre © Julliard
Un collier pour le diable (Le Gerfaut des brumes, Tome 2), de Juliette Benzoni, 2003 Couverture du livre © Pocket
Arsène Lupin, gentleman-cambrioleur de Takashi Morita, 2022 Couverture du livre © Kurokawa
Extraits de films et séries :
Arsène Lupin Film de Jean-Paul Salomé, 2004 Extrait de la bande annonce
Artwork : Elisa Seitzinger © M6 Vidéo
Arsène Lupin Série TV de George Kay, 2021 Extrait de la bande annonce © Netflix
L'affaire du collier Film de Charles Shyer, 2023 Extrait de la bande annonce © Canal VOD
Artwork : Elisa Seitzinger
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