Je l'avoue, non sans une certaine culpabilité, surtout au vu des autres critiques, je n'ai que peu été touchée. Certaines incohérences me font sortir de l'histoire : l'incommensurable douleur du retrait de drain? .
Le vieillard disant que lorsque l'océan rend le corps :"il faut voir la purulence, quelquefois la putréfaction et sentir la puanteur,... On doit détourner le regard, se boucher les narines..." description si éloignée de celle où il retrouve thomas. Si l'écriture est agréable le fond ne m'atteint pas, je ne sens ni la souffrance ni la peur. La conviction d'emblée (par l'auteur), l'espèce de prémonition que la fin sera la mort, le pseudo cliché judéo chrétien de la faute qui amène la punition me déroutent : "on l'a retrouvé sur la plage... à l'endroit exact où la jeune femme du Danemark s'était elle même laissée emporter"
Veut il mourir pour racheter sa "faute" ou pour éviter une déchéance, un acharnement thérapeutique ?!?!
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