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3,93

sur 402 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Il y a cet amour entre deux frères plus fort que tout même s'il ne peut rien contre la maladie. Il y a la belle écriture de Philippe Besson. Mais j'ai eu du mal avec beaucoup d'autres éléments de ce roman et, en particulier, la peur du frère en bonne santé vis à vis du milieu médical qui gomme les sensations de douleur entre une prise de sang, une ponction sternale et une ablation de la rate ou qui attribue la déchéance du frère aux traitements plus qu'à la maladie. L'histoire avec le vieil homme et la jeune fille noyée ne semble pas très réaliste mais çà me gêne moins car çà fait partie de la poésie de l'auteur. Je n'ai pas suffisamment réussi à rentrer dans ce roman pour me laisser porter par les mots de l'auteur.
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Très beaux sentiments que l'entente entre les deux frères Lucas et Thomas. Thomas est mourant et Lucas l'accompagne durant les mois qui restent jusqu'à la fin. Très beau livre, mais du déja vu dans l'autre roman "Les jours fragiles" du même auteur.
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Lucien accompagne son frère Thomas, atteint d'une maladie du sang (diminution des plaquettes). de rémissions en aggravations, 160 pages d'agonie. Les médecins cherchent mais ne trouvent pas l'origine du mal. Amour fraternel et confession : Thomas révèle à son frère avoir mis enceinte un amour de vacances ; face à son refus de paternité, la jeune femme se noie dans l'océan sans que Thomas intervienne. Thomas choisit finalement la même mort.
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Je l'avoue, non sans une certaine culpabilité, surtout au vu des autres critiques, je n'ai que peu été touchée. Certaines incohérences me font sortir de l'histoire : l'incommensurable douleur du retrait de drain? .
Le vieillard disant que lorsque l'océan rend le corps :"il faut voir la purulence, quelquefois la putréfaction et sentir la puanteur,... On doit détourner le regard, se boucher les narines..." description si éloignée de celle où il retrouve thomas. Si l'écriture est agréable le fond ne m'atteint pas, je ne sens ni la souffrance ni la peur. La conviction d'emblée (par l'auteur), l'espèce de prémonition que la fin sera la mort, le pseudo cliché judéo chrétien de la faute qui amène la punition me déroutent : "on l'a retrouvé sur la plage... à l'endroit exact où la jeune femme du Danemark s'était elle même laissée emporter"
Veut il mourir pour racheter sa "faute" ou pour éviter une déchéance, un acharnement thérapeutique ?!?!
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