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Critique de Blok
Pourquoi lire ce genre de livre quand on sait déjà que c'est une grosse daube au seul vu de la quatrième de couverture?
Peut-être parce qu'on y trouve le même plaisir pervers qui pousse certains cinéphiles à regarder les pires nanars tel que le légendaire Plan 9 from outer space d'Ed Wood?
Le premier crâne en est l'équivalent "littéraire", enfin si l'on peut dire
Pour son premier livre, l'auteur, qui sévit toujours sous le nom de Nicolas Beuglet (dansune première version de ma critique, je l'avais confondu avec Olivier Norek; ce n'est pas grave, l'un vaut l'autre) s'est visiblement inspiré du Da Vinci Code. Il a réussi à faire pire ce qui n'est un compliment ni pour l'un ni pour l'autre.
Dans les deux livres, on trouve pêle-mêle des archéologues, des secrets susceptibles de remettre en question les fondations du monde, des jolies filles, des éléments historiques mélangés et mal digérés, le Vatican et ses milices fanatiques (:)) ( dans ce genre de livre, il faut s'en prendre à l'Eglise Caholique,surtout quand on ne sait pas ce que c'est) , des sectes mystérieuses et toutes puissantes, Illuminati ou équivalents, néo -nazis et autres, scènes torrides pimentées d'un peu de sado-masochisme, des secrets transmis entre initiés depuis la nuit des temps, l, des aventuriers, des espions, et, bien sûr,les Templiers. Comme le disent Belbo et Casaubon dans le génial Pendule de Foucault d'Umberto Eco, les Templiers y sont toujours pour quelque chose.
L'auteur s'est même inspiré de Dan Brown en laissant entendre dans sa postface, sans le dire mais en le disant quand-même que, finalement, peut-être bien, il y a du vrai dans tout ça, et en allant jusqu'à l'agrémenter d'une bibliographie quelque peu fantaisiste, comprenant des auteurs "scientifiques" du calibre des regrettés frères Bogdanov, excusez du peu!
Par ailleurs c'est bourré de clichés et horriblement mal écrit. Une scène d'exposition caricaturale où, pour l'édification du lecteur, les personnages s'échangent des informations que tous deux connaissent parfaitement
A lire pour le fun, si on a du temps à perdre, au point d'aller jusqu'à en faire la critique
PS. J'ai trouvé ce livre dans un vide-grenier et l'ai payé un euro, ce qui m'avait semblé un prix raisonnable et suffisant
Pour ne pas encombrer ma bibliothèque qui déborde, je l'ai déposé chez Emmaüs.
En lisant les critiques sur Babelio, j'ai appris qu'il se vendait très cher sur Internet. En effet chez Amazon on le trouve aujourd'hui à 127 € (au secours! il y a une secte mystérieuse des Adorateurs de Nicolas Beuglet, ou alors, ou alors... le livre dit vrai, le Premier Crâne existe, et le Vatican ou les Néo -nazis, ou les deux, rachètent à prix d'or les exemplaires subsistants, et je suis en danger, et vous tous aussi qui avez eu l'imprudence de chroniquer ce livre fatal ! Inutile de supprimer votre critique, Ils savent déjà..)
PPS. On voit bien que ce livre a été écrit à une époque obscurantiste, puisque l'auteur ne stigmatisé pas comme il se devrait le comportement du professeur Sambre.avec ses étudiantes ! Il a échappé à ceux qui recherche le crâne, mais il n'échappera pas à Sandra Rousseau et à la déconstruction
Peut-être parce qu'on y trouve le même plaisir pervers qui pousse certains cinéphiles à regarder les pires nanars tel que le légendaire Plan 9 from outer space d'Ed Wood?
Le premier crâne en est l'équivalent "littéraire", enfin si l'on peut dire
Pour son premier livre, l'auteur, qui sévit toujours sous le nom de Nicolas Beuglet (dansune première version de ma critique, je l'avais confondu avec Olivier Norek; ce n'est pas grave, l'un vaut l'autre) s'est visiblement inspiré du Da Vinci Code. Il a réussi à faire pire ce qui n'est un compliment ni pour l'un ni pour l'autre.
Dans les deux livres, on trouve pêle-mêle des archéologues, des secrets susceptibles de remettre en question les fondations du monde, des jolies filles, des éléments historiques mélangés et mal digérés, le Vatican et ses milices fanatiques (:)) ( dans ce genre de livre, il faut s'en prendre à l'Eglise Caholique,surtout quand on ne sait pas ce que c'est) , des sectes mystérieuses et toutes puissantes, Illuminati ou équivalents, néo -nazis et autres, scènes torrides pimentées d'un peu de sado-masochisme, des secrets transmis entre initiés depuis la nuit des temps, l, des aventuriers, des espions, et, bien sûr,les Templiers. Comme le disent Belbo et Casaubon dans le génial Pendule de Foucault d'Umberto Eco, les Templiers y sont toujours pour quelque chose.
L'auteur s'est même inspiré de Dan Brown en laissant entendre dans sa postface, sans le dire mais en le disant quand-même que, finalement, peut-être bien, il y a du vrai dans tout ça, et en allant jusqu'à l'agrémenter d'une bibliographie quelque peu fantaisiste, comprenant des auteurs "scientifiques" du calibre des regrettés frères Bogdanov, excusez du peu!
Par ailleurs c'est bourré de clichés et horriblement mal écrit. Une scène d'exposition caricaturale où, pour l'édification du lecteur, les personnages s'échangent des informations que tous deux connaissent parfaitement
A lire pour le fun, si on a du temps à perdre, au point d'aller jusqu'à en faire la critique
PS. J'ai trouvé ce livre dans un vide-grenier et l'ai payé un euro, ce qui m'avait semblé un prix raisonnable et suffisant
Pour ne pas encombrer ma bibliothèque qui déborde, je l'ai déposé chez Emmaüs.
En lisant les critiques sur Babelio, j'ai appris qu'il se vendait très cher sur Internet. En effet chez Amazon on le trouve aujourd'hui à 127 € (au secours! il y a une secte mystérieuse des Adorateurs de Nicolas Beuglet, ou alors, ou alors... le livre dit vrai, le Premier Crâne existe, et le Vatican ou les Néo -nazis, ou les deux, rachètent à prix d'or les exemplaires subsistants, et je suis en danger, et vous tous aussi qui avez eu l'imprudence de chroniquer ce livre fatal ! Inutile de supprimer votre critique, Ils savent déjà..)
PPS. On voit bien que ce livre a été écrit à une époque obscurantiste, puisque l'auteur ne stigmatisé pas comme il se devrait le comportement du professeur Sambre.avec ses étudiantes ! Il a échappé à ceux qui recherche le crâne, mais il n'échappera pas à Sandra Rousseau et à la déconstruction
