"L'artiste doit être dans son oeuvre comme Dieu dans la création, invisible et tout-puissant : qu'on le sente partout, mais qu'on ne le voie pas" (1857).
La vie privée de l'écrivain, face aux exigences de l'œuvre, se transforme en une sorte de document, au même titre que l'existence des autres: famille, amis, maîtresses ou simples relations mondaines, personne n'y échappe, tout devient de droit matière à voir pour écrire.
Epigraphe
"Les chevaux et les styles de race ont du sang plein les veines, et on le voit battre sous la peau et les mots, depuis l'oreille jusqu'aux sabots. La vie ! la vie ! bander, tout est là ! C'est pour cela que j'aime tant le lyrisme."
A Louise Colet, Croisset, 15 juillet 1853.