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L'âge des low tech de Philippe Bihouix qui est ingénieur nous annonce la raréfaction des métaux et même pire l'impossibilité du recyclage des alliages que contient notre civilisation des hautes technologies, il suffit de faire une recherche sur internet avec comme thème Fin des Métaux et plusieurs sites nous donne la liste et les dates de fin d'extraction d'une cinquantaine de métaux dans le monde. L'auteur le dit si bien pour répondre à une pénurie l'homme en crée une autre. Donc tout cela est relié au pic du pétrole conventionnel qui s'est produit en 2006 confirmer en 2008. Depuis le Pic du pétrole conventionnel il y a un manque d'environ 2.5 millions de barils par jour qui est comblé par l'extraction du pétrole de schiste U.S. et les sables bitumineux du Canada ces deux procédés consomme énormément l'eau potable. La pente descendante du pic et non ondulante va nous amener dans les prochaines années à une crise majeur économique et sociale sans pareil dans l'histoire humaine. Comme le dit l'auteur (Le Peak Oil est le Peak Everything). Les technologies vertes ont besoin du pétrole pour exister Ex: Les Éoliennes ont besoin de l'industrie des mines, de l'industrie de l'acier. Industrie du ciment, des pesticides, l'industrie du cuivre, les terres rares et du transport). Là où je ne suis pas d'accord avec l'auteur c'est qu'il voit l'effondrement comme une chance de relocaliser les industries perdues lors de la mondialisation. Il voit des villages et des villes autonomes avec des besoins simples et qui peut redonner un sens au mot Travail. L'effondrement qui vient dans la prochaine décennie sera planétaire et personne n'aidera personne je veux dire que l'aide humanitaire n'existera tout simplement pas, le Monde appartiendra aux dictatures, crimes organisés et aux bandes armées. Déjà il y a des signes la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine qui était impensable il y a quelques années et surtout une dette mondiale des ménages et des états de 495,000 milliards U.S. l'équivalent de presque 4 ans de production bien et service de la planète et tous savent que cela ne sera jamais remboursée et bientôt on sonnera la fin de la partie. L'auteur dans la deuxième partie de son bouquin nous présente des solutions suite à un effondrement politique et économique, la barbarie et les pénuries ne validerons pas ces solutions.
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Un livre intéressant de Philippe Bihouix sur les Low-tech, certes de 2014, mais rafraîchit dans une édition poche de 2020 chez Points.
Il indéniable que face à l'épuisement des ressources et à la montée en puissance des pays émergents, il devient nécessaire de s'orienter vers des technologies plus sobres, plus économes et plus durables.
Aujourd'hui, entre 1/3 de gaspillage et 1/3 d'inutile, seules 1/3 des productions seulement nous sont réellement nécessaires.
Le low-tech ne propose donc pas une remise en cause du progrès mais bien de s'inscrire aussi dans une dynamique plus slow-tech au sens moins soumise à l'urgence et avec plus de bon sens, raisonnée, afin de ne plus créer de situations absurdes et gaspillantes au nom du seul profit immédiat.
Les prochaines crises environnementales et la déjà effective crise climatique, nécessiteront d'entièrement repenser nos modes de vie, de consommation, de déplacements et d'alimentation.
Un livre qui dérange mais nécessaire pour reinterroger notre confortable vie occidentale dans un monde très largement impacté par celle-ci mais où les inconvénients sont délocalisés loin de nos yeux.
Il y a une sorte d'hypocrisie dans cette posture, induit très largement par la résistance du système et de ses acteurs pour s'engager dans une véritable transition.
Une lecture utile, sans aucun doute.
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« La folle valse des crevettes, pêchées au Danemark et décortiquées au Maroc pour des raisons de coût de main-d'oeuvre, ou le yaourt à la fraise dont les ingrédients parcouraient en 1992 plus de neuf mille kilomètres contribuèrent à construire chez moi un certain scepticisme sur la notion de progrès. »

A travers de multiples exemples bien documentés, l'auteur nous montre que la course effrénée menée tambour battant par notre monde « avide de tout au plus vite » va dans le mur ! Et pourtant, peu de gens s'en rendent compte, le monde politique préfère rester la tête dans la sable pendant que les lobbies continuent à engranger des profits mirobolants au prix de notre survie à tous.
Un exemple facile à comprendre : le papier ! Oui, oui, il y a quelques années, la sonnette d'alarme a été tirée, on consommait trop de papier, les forêts se dépeuplaient, les arbres n'avaient plus le temps de s'épanouir, il fallait trouver la solution ! Et bing, l'informatique a tout révolutionné… Plus besoin de papier, on stocke tout dans son disque dur et en plus, avec le télétravail, moins de déplacement et donc économie d'énergie à la clé. Eh bien non, ça n'a pas vraiment fonctionné comme cela. On n'a jamais consommé autant de papier que maintenant, faut dire que les imprimantes individuelles sont bon marché alors on s'en donne à coeur joie pour éviter de se bousiller les yeux en lisant sur l'écran de notre ordi. Et pour le télétravail, ce n'est pas encore vraiment entré dans les moeurs de tous car les déplacements pour raisons professionnelles ont explosé… « Et quand on compare l'impact environnemental du 'bon vieux papier' à celui du numérique, qu'il soit liseurs, tablette ou autre, il est à peu près certain que nous n'y avons pas gagné au change. » En effet, non seulement le papier est gaspillé mais nos nouveaux supports de lecture appauvrissent le monde en matières nobles et non renouvelables et ça, c'est une vraie catastrophe ! Mais tout le monde joue le jeu, on renouvelle son téléphone plus vite que ses draps de lit, on veut toujours des communications plus rapides, et encore plus rapides sans tenir compte des impacts environnementaux nécessaires pour y accéder.

« A quoi ressembleraient nos campagnes, s'il avait fallu y monter ces dernières années les nouvelles usines – et assumer leurs rejets – correspondant à notre consommation exponentielle de téléphonie et d'informatique, de jouets, de vêtements, ou de produits chimiques ? La réponse est sans doute à trouver dans les paysages des zones industrielles chinoises récentes. »

Le postulat est simple, une triple impasse : impasse liée aux ressources (et pas seulement les métaux rares mais pensez au poissons par exemple…), impasse liée à la pollution (et pas seulement l'air mais aussi les océans avec ce nouveau 'continent' fait de nos déchets plastiques), et enfin, une impasse de surface (et oui, un nouvel espace de vente à disposition quelques km plus loin que le précédent et le premier est abandonné et les terres sur lesquelles il avait été construit sont devenues juste stériles et ce n'est qu'un exemple!).

Et pourtant, il y a des solutions…

Que l'on peut tous mettre en oeuvre à notre petit niveau ; mieux trier nos déchets (notamment les bouteilles en verre en fonction de leur couleur pour faciliter le recyclage), refuser les publicités (gaspillage de papier et de métaux rares pour les jolies couleurs pour rendre plus alléchantes les jolies saucisses en promo pour le premier BBQ…), acheter malin et non pas la dernière nouveauté sur le marché, refuser les produits sur-emballés, aller à pied chez le boulanger du coin et privilégier les transports en commun pour les besoins journaliers, faire un petit potager avec son compost associé, éviter le gaspillage alimentaire et surtout manger de saison, prendre le temps de cuisiner (c'est convivial, amusant et meilleur que le 'tout prêt' à réchauffer au micro-onde!), refuser l'ultra-connectivité ainsi que les nuisances énergivores du net à savoir la masse de données inutiles qui nous sont bombardées tout au long de la journée...

« On a – et on aura – les paysages agricoles et les paysans que nous méritons, ceux de nos choix alimentaires. »

Que les communes peuvent appliquer facilement ; supprimer les écrans plats publicitaires dans les endroits publics, il y en a partout maintenant (un livre fait bien mieux passer le temps dans une file d'attente que des pubs rabâchées!), revenir au bon balai pour ramasser les feuilles mortes (les souffleurs bruyants et polluants sont loin d'être si performants…), éviter les constructions surréalistes inutiles qui ne servent qu'à flatter l'égo des élus, favoriser l'installation de commerces de proximité en redynamisant les centres villes et villages (j'en ai marre de ces centres vides aux vieilles façades aveugles qui pleurent d'anciennes publicités peintes), ré-ouvrir des bibliothèques attirantes et sympathiques et en faire des espaces conviviaux de rencontres humaines, miser sur l'humain plutôt que sur le sur-humain sur-dimensionné sur-numérisé sur-technisé !

Que les états pourraient imposer sans déclencher une révolution ; une consigne obligatoire pour tout contenant en verre (qui pourrait alors être réutilisé tel que après nettoyage et pourquoi pas un format standard de bouteille consignée comme pour la majorité des bières par exemple), limiter les surfaces commerciales dans les zones où elles sont pour le coup ultra-redondantes (qu'ils sont hideux ces chancres du commerce que l'on retrouve un peu partout autour de nos villes), obligation de brider les voitures (eh oui, plus vous allez vite, plus vous consommez, c'est drôle non!) et surtout fin des SUV (monstres disproportionnés par rapport à leur utilité réelle, lourds, gourmands et j'en passe!), remettre en état les voies fluviales (une façon facile de limiter l'afflux de camions sur nos routes), favoriser les métiers manuels et l'artisanat (au lieu de faire miroiter devant les yeux ébahis des enfants le merveilleux monde du star système ou encore l'avenir en or des diplômés et sur-diplômés), utiliser le montant des aides agricoles pour valoriser les fermiers qui font de la polyculture et de l'élevage diversifié à taille humaine (revenons au bon sens d'antan tout en gardant nos acquis technologiques!), dire non au tout numérique tellement goinfre en infrastructures dispendieuses (bon, on va juste dans le sens contraire :-( )...

Lavoisier a dit : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme », et c'est déjà un postulat génial. Malheureusement, il a juste oublié de rajouter, qu'à chaque transformation, il y a des pertes et des déchets et comme notre société va de plus en plus vite, les transformations s'accélèrent et la masse de déchets devient juste insoutenable ! Alors, sommes-nous prêts à relever le défi ? C'est pour moi, la seule et unique question de notre XXIème siècle…

L'auteur est un peu lourd, il se répète trop souvent, il veut enfoncer le clou, c'est clair, mais c'est pompant et donc, contre-productif. Néanmoins, il faut lui reconnaître une chose, il a le courage de nous présenter le présent sans fioritures et de nous décrire les avenirs possibles, probables qui sont loin d'être roses. Il pointe du doigt les excès de notre société ultra-matérialiste où rien ne va plus assez vite pour personne. Et enfin, il ose proposer des solutions possibles, souvent réalisables, parfois surréalistes, mais il ose ! Il suffit d'un grain de sable pour enrayer une machine bien huilée, nous vivons dans un monde où le moindre grain de sable peut tout faire capoter, alors faisons tous un petit effort pour ralentir et peut-être éviter le crash final !

PS : Dernière nouvelle de notre monde bien frivole et inconséquent, la nouvelle saison de la mode fait la part belle au PVC… Voilà encore une façon pour le moins débile d'utiliser une ressource non renouvelable à savoir le pétrole…
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Je découvre tard cet ouvrage clair et concret publié en 2014, avançant des solutions de bon aloi afin d'enrayer la dégradation forcenée de la Terre. le constat de l'autodestruction de l'espèce humaine et des agressions contre la planète est bien étayé, établi sur un ton léger, jamais moralisateur, toujours dynamique. L'auteur parle de lui au passage, ce qui nous le rend proche et accroît la réceptivité aux remèdes suggérés, des actes les plus simples aux plus engageants. Cet ingénieur lucide et plein d'humour insiste sur la nécessité de prendre des décisions immédiates et courageuses. Un seul exemple : combiner les arbres fruitiers avec la culture de légumes ou du petit élevage (des poules sous les pommiers mangeant les chenilles et réduisant les traitements chimiques). Lecture recommandée à tous les allergiques au vert...pomme.
Lien : http://cinemoitheque.eklablo..
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Nous voici dans l'anthropocène, l'âge de l'homme, le Boss c'est nous ! Alors dressons, d'abord, un bilan sans concession de ce nouvel âge. Pour en arriver là, on a déjà pas mal entamé la biodiversité, les métaux et les énergies fossiles sont de moins en moins accessibles et dans des concentrations plus faibles, on a créé des polymères synthétiques qui ne sont pas biodégradables et dont les déchets en s'agglomérant constituent la 1e grande création de notre entreprise le 7ème continent, si on est terre à terre, ou la mer de plastique, si on préfère l'air marin. Ce n'est pas terrible ! Alors reprenons le livre, je ne parle pas de religion mais d'économie. Dans un monde libre, il faut savoir faire des choix alors soit on choisit l'économie de la demande ou bien l'économie de l'offre ? le low-technicien retirera la tasse de son tiroir et ira boire un café d'orge (1e miracle zéro déchet), il choisit donc l'écologie (pour économie dans une ère plus ancienne) de l'offre tandis que le NBIC-citoyen utilisera un gobelet en bambou recyclable pour boire son café modifié aux gènes de yack qui procure une chevelure prospère (2e miracle) d'après NBiC TV network, il choisit donc une écologie de la demande. Quoi que tu aies choisi et si tu habites en France tu dois savoir que tu fais partie au mieux du plus grand nombre. Alors c'est comme ça aussi à l'âge de l'homme, c'est le plus grand nombre qui décide ou alors il y a d'autres formes d'organisations politiques ? Il y a le GIEC (prix Nobel de la paix 2007), ce sont des scientifiques qui rapportent les publications scientifiques sur le réchauffement climatique. Ils présentent les activités humaines depuis l'ère industrielle comme les causes du réchauffement climatique, phénomène singulier de par sa rapidité sur la période. Et bien ce livre est un livre écrit par un ingénieur, qui grâce à ses connaissances scientifiques, techniques et managériales, pense aux conséquences des applications technologiques de l'innovation : pénurie des ressources géologiques, crises économiques, fin du progrès... Seule solution pour avancer dans l'âge de l'homme, passer aux low-technologies qui nécessitent moins de ressources, sont plus durables et où l'élément humain reste primordial. Il ne s'agit pas de revenir au temps de la bougie mais d'adapter les besoins à l'offre. Alors lisons-le et réfléchissons, nous aussi, au devenir afin de rester acteur de notre avenir.
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La fin du pétrole facilement accessible est de plus en plus souvent évoquée dans les média, mais jamais vous n'entendez parler de celle des ressources minières. Et pourtant elle est déjà en cours et les deux sont étroitement liées. Pour aller chercher du pétrole toujours plus loin, toujours plus profond, toujours moins concentré il faut d'énormes ressources mécaniques, structurelles, électroniques et toutes, sans exception, dépendent de minerais extrait de la terre. Hors ceux-ci sont de moins facilement accessibles et concentrés et leur extraction requière de plus en plus d'énergie. La conséquence en est que la pénurie s'annonce, et qui annonce des manques, annonce des bouleversements peu agréables. Nous avons toujours le choix, accepter ou subir. Soit nous modifions nos modes de vie et de consommation, soit nous subirons ces changements sans préparation, et ne nous voilons pas la face, cela signifie la guerre.
Je vous invite donc à lire cette étude de Philippe Bihouix et par la même occasion les livres de Jean-Marc Jancovici pour vous faire votre propre opinion, tout en sachant que la finalité est inévitable car nous sommes tellement entourés par des cons.
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Pas déçu, mais pas enchanté non plus. Ce livre partage une grande part d'informations déjà évoquées dans le fameux "Comment tout peut s'effondrer" : l'état de nos ressources, nos consommations, nos politiques, notre économie, etc. Normal, ils font partie de la même collection et du même thème : l'anthropocène. Moi, ce qui me bottait, ce qui m'alléchait, c'était d'en apprendre plus sur toute une série de low-tech (de la machine à laver actionnée au vélo sur rouleau jusqu'à des systèmes plus complexes d'éoliennes DIY, etc.). Et finalement, ce n'est qu'esquissé de ci de la. Je ne partage pour autant pas la déception de certains d'en ressortir avec plus d'interrogations que de réponses car je me suis fait une raison depuis peu. Si il y avait des réponses précises à ces questions, ça se saurait.
M'enfin, pour quelqu'un qui s'initie au sujet de la transition, je le recommande vivement!
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Philippe Bihouix brasse large, évoque tous les sujets, n'hésite pas à mettre un peu d'humour, ce qui donne un livre qui se lit facilement et agréablement.
Ses remarques sont souvent juste du bon sens et on peut partager son plaidoyer pour un monde plus frugal.
Mais c'est tellement large qu'on finit par s'y noyer un peu et surtout on ne sait pas par où commencer.
A la sortie on reste avec nos contradictions mais avec de vrais questions.
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Un essai dans lequel Philippe Bihouix montre la nécessité pour l'humanité de basculer immédiatement vers le "low-tech", par opposition au "high-tech". Il est question pour tout ce qui fait notre monde d'une part de moins consommer, mais à la fois de consommer mieux : être économe en énergie et encore plus en ressources rares ou finies (métaux, terres, gaz, etc.). L'auteur montre tout d'abord l'insoutenabilité de notre fonctionnement actuel à court terme en détaillant de très nombreux aspects (voiture électrique, énergies "vertes", etc.), puis il évoque les moyens, les pistes qui selon lui sont notre seule planche de salut (low-tech, économie, politique, emploi, etc.). Très intéressant, instructif et inspirant.
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J'ai apprécié la première partie du livre, bien expliquée, chiffrée et argumentée, où l'auteur fait avancer le débat de façon rationnelle, basée sur des faits. C'est dans cette partie que l'on ressent les qualités d'analyses de l'auteur qui est ingénieur.
J'ai par contre eu l'impression de perdre mon temps à lire le dernier chapitre ("La transition est-elle possible?"), où le livre entre dans le jugement, dans les valeurs de l'auteur, et non plus les faits ou les chiffres. Ce sujet de la faisabilité et acceptation sociale de la transition vers un monde low tech est sûrement beaucoup plus difficile à aborder par l'auteur dont le background est apparemment technique, sujet qu'il traite en mettant en avant ses les valeurs non pas sur des faits chiffrés et quantifiables, et où il se perd dans une longue tirade qui déteint fortement avec le reste du livre.
Un livre intéressant dans sa majeure partie, donc, avec un fin que je trouve ratée.
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