Parce que c'était écrit...

Je n'ai pas été vraiment séduite par ce roman car j'ai trouvé l'atmosphère trop dérangeante, surtout qu'aucun des personnages n'est vraiment attachant.
Dès les première pages, il y a quelque chose de dérangeant même si on ne sait pas trop où Janine Boissard veut nous emmener. Puis on voit le personnages glisser doucement vers une sorte de folie, sans qu'on soit vraiment certain qu'il s'agisse de folie ou du destin qui est réellement inscrit sur cette mystérieuse vidéo.
Parce Que C'était Ecrit ne ressemble pas aux autres romans de l'auteur que j'ai pu lire et je dois dire qu'elle excelle à créer une atmosphère qui confine au malaise...

Sans aucun intérêt.
Personnages plats, intrigue prétentieuse ennuyeuse et peu claire.
Ne pas lire, la vie est trop courte.

Parce que j'avais beaucoup apprécié les romans de Janine Boissard a l'adolescence, notamment sa série 'L'esprit de famille', j'étais ravie de trouver un de ces romans dans la bibliothèque de l'hôtel ou nous passons nos vacances !

Mais quelle déception que ce roman où un publicitaire à succès tombe peu à peu dans la folie alors que semblent se réaliser dans sa vie des éléments fugaces dénichés en visionnant images par image le film d'un concurrent.

Un récit où la tension monte progressivement où seule l'épouse du publicitaire semble déceler la folie grimpante de son mari, qui de son côté tombe sous le charme de sa dernière recrue.

Un roman daté, aux personnages qui manquent cruellement d'épaisseur, de démarquation, et où la fin et ses dernières révélations étaient évidentes depuis un moment. 

Bref , une belle déception ! 

Dommage ! 
Lien : http://les-lectures-de-bill-..

Il s'agit du tout premier roman de Janine Boissard que je lis, et, je ne pense pas renouveller l'expérience concernant cet auteur.

En effet, j'ai beaucoup de mal à entrer dans le bouquin ainsi qu'à cerner le fils conducteur de l'intrigue. Je me demande même où veut en venir l'auteur.

Dommage car j'ai entendu et lu de nombreuses critiques positive sur cet auteur.

Frédéric Moure a remporté le prix du festival du film publicitaire de Venise deux années de suite. Il présente donc son dernier court métrage pour lequel il est pressenti comme vainqueur. Mais coup de tonnerre, c'est l'outdsider, Steiner, un publicitaire allemand qui rafle le prix avec son film intitulé 88.
Alors qu'il ne cesse de regarder ce film, Frédéric se rend compte qu'en filigrane 88 fait référence à sa vie et cela va virer à l'obsession au point qu'on ne sait plus quand il est lucide. Souffrirait-il d'hallucinations ? Sont-ce vraiment des hallucinations ? Ces hallucinations vont le suivre au quotidien aussi bien dans son travail que dans sa vie personnelle.
Ce roman est bien ficelé car jusqu'au bout on se demande si ce qui arrive à Frédéric ne relèverait pas d'une machination. A la lecture de ce roman, on regarde notre environnement différemment et nous montre que la frontière entre réalité et folie, entre lucidité et paranoïa est très floue et qu'il n'est pas toujours de maîtriser les choses et que l'on peut vite basculer.
J'ai aimé ce roman car il soulève non seulement des questions psychologiques mais aussi d'actualité : le surmenage n'aurait il pas un impact sur les tendances paranoïaques ? Mais aussi parce qu'on est balloté comme le principal protagoniste entre réalité et ce que l'on pense être la réalité. C'est sans arrêt un va et vient entre les deux. En outre le rythme de ce roman très prenant fait qu'on ne le lâche qu'une fois lu.
C'est un roman à découvrir

Livre à éviter absolument. L'auteur a sans doute voulu changer de genre en écrivant ce livre mais s'est totalement fourvoyée..... Style ennuyeux et intrigue sans intérêt.