Tant que nous sommes vivants

Je ne comprend pas l'engouement qu'a suscité ce livre, certes je n'ai pas détesté ma lecture mais je n'ai pas non plus adoré ce roman.
Ce roman est composé de quatre parties, j'en ai clairement préféré certaines à d'autres. La première partie est vraiment bien, mais l'histoire de Bo et Ama après cela perdait petit à petit de son intérêt, tandis que celle de Tsell et Vigg prenait de l'importance. J'ai aimé cette ville ouvrière avec la Tsarine, Ness et Malakie, à l'inverse j'ai vraiment détesté les douze frères et soeurs.
On ne peut pas nier le talent d'écriture d'Anne-Laure Bondoux qui a une manière d'écrire juste magnifique et sublime mais cela n'a pas put enlever les problèmes que j'ai évoqué.
Je suis très mitigée sur ce roman, mais je comprend que ça peut plaire à d'autres personne, il n'était juste pas fait pour moi.
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Tant que nous sommes vivants
Anne-Laure Bondoux

Mon livre raconte l'histoire d'un couple, Bo et Hama qui vivent heureux jusqu'au jour où l'usine où ils travaillent explose. Suite à cette catastrophe, ils sont obligés de fuir la ville. Un imprévu arrive au cours de leur périple dans différents territoires inconnus. A travers cette aventure, Bo et Hama font faire la rencontre de Douze et de tous ses frères et soeurs.
Mon livre est un livre fantastique car Tsell, la fille qui va naître durant cette aventure n'est pas tout à fait une fille ordinaire. Lorsque l'on regarde l'ombre de Tsell, celle-ci se métamorphose.
Mon roman rentre dans la catégorie « autre variante de la quête » car les personnages s'enfuient de leur ville et partent à l'aventure.
Je n'ai pas aimé l'histoire à cause de la manière dont elle est racontée et les personnages ne sont pas attachants.
Bo est un homme grand, très carré, Hama est beaucoup plus petite que lui, et à cause de l'accident à l'usine, elle a perdu ses deux mains. Elle devient agressive après la catastrophe.
Pendant la lecture, je n'ai pas eu de personnages préférés. Je n'ai pas accroché à un personnage plus qu'à un autre.
La façon dont s'exprime les personnages est réaliste. J'ai trouvé le vocabulaire et la formation des phrases compliqués àcomprendre. C'est un langage courant pourtant et l'auteur utilise des phrases plutôt longues. Il n'y a pas d'humour et il n'y a pas de passages drôles.
C'est un récit non chronologique car il y a des flashbacks et l'intrigue piétine et s'accélère à la fin.
Dans la première partie, le narrateur nomme les personnages «elle» et «il» et dans la deuxième partie c'est Tsell, la fille des personnages qui raconte l'histoire. Cette narration est compliquée à comprendre.
Je mets une étoile, je n'ai pas vraiment aimé l'histoire.
L'histoire n'est pas captivante mais elle est étrange et originale.
Je suis restée indifférente à ce qui arrivait.

L'histoire d'un couple Bo et Hana, ouvriers éperdument amoureux qui vont vivre une tragédie qui les mènera à une certaine errance.
J'apprécie tout particulièrement cet auteur, notamment pour le livre les larmes de l'assassin. Néanmoins, dans cette histoire, je n'ai pas retrouvé la poésie de la plume de Anne -Laure Bondaux, ni le côté trépidant de ses autres romans.
Le périple des personnages est assez tortueux mais finalement peu captivant : bien souvent, les rencontres avec des personnages (certes, parfois, assez atypiques) sont sans surprises comme si tout allait de soi. Il n'y a pas vraiment de méchant et c'est dommage. Les protagonistes ne sont pas très attachants ; leur psychologie est assez simpliste. Ils ne sont pas très ambitieux et n'ont pas vraiment d'objectif.
En revanche, la narration est intéressante : c'est la seule surprise du livre.

L'intrigue / L'histoire :


La belle promesse du synopsis n'est tenue que pendant la première partie. On s'attend à vivre une merveilleuse aventure, de s'immerger dans l'histoire très personnelle de Hama et Bo. Finalement, le lecteur se retrouve avec une histoire sans saveur, sans queue-ni-tête.

Malgré le fait que chaque passage est cohérent, dans le sens où l'auteure véhicule un message bien précis, le tout reste relativement incohérent. Quelle utilité à rencontrer une communauté de 17 petits bonshommes exclus du monde extérieur ?

La couverture illustre parfaitement l'état d'esprit d'Anne-Laure Bondioux : la vie est noire, déprimante, sans le moindre espoir de « guérison ». Régulièrement, l'histoire rebondit avec une « catastrophe » supplémentaire, où seuls l'aspect négatif du monde est abordé. La seule touche d'espoir intervient dans les deux dernières pages, un peu dommage.

Ne vous attendez pas nous plus à vous immerger dans l'histoire ! le lecteur va voyager dans une réalité surréaliste, où il est impossible de situer une époque, un pays, … Les événements s'enchainent, et même si l'on comprend parfaitement chaque mot de ce roman, il est très difficile, voire impossible, de comprendre l'utilité de ce qui est raconté.


Les personnages :


Je ne me suis identifié à aucun des personnages, pour une raison assez simple d'ailleurs. Ils ne sont pas « réalistes » et il est très peu probable que vous soyez amenés à rencontrer de tels humains dans votre vie quotidienne.
Encore une fois, on a l'impression de voyager dans des esprits déprimés, où l'espoir est un sentiment utopique. Les personnages prennent des décisions qui n'ont aucune cohérence, où les sentiments sont étranges, difficiles à cerner, improbables…

Les personnages secondaires sont d'une grande utilité si vous souhaitez parvenir à la fin de ce roman. Ces derniers sont atypiques, l'auteure reste très vague à leur sujet, ce qui pousse notre curiosité. Malheureusement, l'espoir se transforme à nouveau en désespoir, tout est « fichu d'avance ». le lecteur ne sait rien, n'apprend rien, ne sert à rien.


L'écriture :


Nous voyageons dans un style littéraire atypique, mais pas forcément positivement.

L'auteur nous propose une écriture très complexe, où le vocabulaire date du siècle dernier. Nous voyageons dans le temps, mais le problème est qu'il nous est impossible de savoir quand est ce temps. Les indices donnés par l'auteure sont souvent incohérents.

L'utilisation du « Nous » est très perturbante, surtout que le narrateur ne désigne qu'une seule personne. Tantôt le narrateur s'adresse au lecteur, tantôt non. Tout cela est très confus et je doute que ce roman, destiné à la jeunesse, ne soit suffisamment précis pour les plus jeunes.


Le point positif :

- L'auteur véhicule un message. Il suffit de complèter le titre du roman pour le comprendre

Le(s) point(s) négatif(s) :

- L'histoire, permettant à l'auteure de véhiculer son message, est répétitive, sans aucune cohérence, où les événement s'enchainent sans réel lien.
- Beaucoup de personnages qui n'apportent pas grand chose. Ces derniers ne semblent pas « réalistes », il est donc très difficile de se projeter.
- Une écriture en dents de scie, très complexe, loin d'être fluide.

Ma note pour cette lecture : 4/20
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J'ai lu « Tant que nous somme vivant » et c'est compliqué. le livre parle d'un jeune homme qui ne voulait pas sortir avec ses amis, mais qui au final part quand même. Et puis le livre parle aussi, d'une femme « Hama » et d'un homme « Bo » qui travaillent dans une usine. La femme qui travaille la nuit et l'homme travaille le jour se croisant, les deux eurent « le coup de foudre ».

Je n'aime pas ce livre, car c'est une histoire compliquée.

Je le recommande aux personnes qui aiment les histoires compliquées et qui aiment les histoires d'amour.