Mais vivons le moment présent : il est suffisamment riche et digne d’intérêt pour que nous évitions de nous fourvoyer dans les méandres du temps.
L’idéal, un concept manié par les religieux. On ne peut jamais l’étreindre, il s’éloigne au fur et à mesure qu’on s’en approche, il entraîne ceux qui le poursuivent dans une incessante fuite en avant, il génère tous les fanatisme, il ne tolère pas l’acceptation.
Les volutes de vapeur s’entrelaçaient dans un ballet aérien et perpétuel, dessinaient de somptueuses arabesque que les faisceaux obliques paraient d’éclats fugitifs et chatoyants. L’eau semblait peuplée de centaines d’esprit qui s’invitaient à un bal silencieux et majestueux.
Les gens n’ont pas envie d’entendre les avertissements de l’ordre cosmique.