Après une demi-journée de voyage, ils atteignirent un grand lac, une sorte de marais. Cet endroit n'existe plus, les lagons étant tous au nord du cap. Au sud, le rivage est flanqué de falaises, de pentes raides ou de plages de sable et de galets.
Rien n'indique que ce lac ait jamais existé, et les pluies d'hiver soudaines qui font gronder tous les cours d'eau d'une rive à l'autre ne sont pas de nature à provoquer des crues que l'on pourrait confondre avec un lac ou un marais.
p.9