L’absence est à l’amour ce qu’est le vent au feu, il éteint les petits et ravive les grands.
On n’a pas besoin de voir pour savoir, les yeux des autres nous suffisent souvent.
C’est ça l’histoire d’Alphonsine, c’est une femme qui a su donner de l’amour à deux hommes pareillement. Pas parce qu’elle ne voulait pas choisir mais parce qu’elle aimait l’un autant que l’autre.
La vie vaut plus qu’une victoire.
Il fallait se prémunir de la neige et du froid, se garantir contre la faim, se préserver de la maladie autant que possible. Pour les noirceurs du quotidien, on s’arrangeait avec ce que l’on avait récolté de plantes à la belle saison. On vivait dans l’ignorance des hommes et de leur folie meurtrière.
Et si le temps n’est pas avec nous, nous appellerons ce défi la « Valse des nuages ».
Une victoire n’engage que ceux qui y croient .
Le bois, faudra y penser avant l’hiver…
La montagne, ça n’a pas de frontières, c’est à tout le monde. Des sommets à vaincre y en a encore plein, faut seulement avoir le cran de s’y frotter.
Comprendre, c’est pas ça qui compte. Faut vivre les choses pour savoir.