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Citations sur Moi, Vasco, messager de Verdun (10)

- Même la balle n'a pas voulu rester à l'intérieur de votre crâne. Elle est rentrée d'un côté et ressortie de l'autre. Votre cerveau ne lui a pas plu.
- C'est parce qu'il n'y a que du vide, là-dedans, rigola Louis. Elle se serait ennuyée.
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Pourquoi les hommes veulent-ils toujours s'approprier ce qui appartient au voisin ? Et pourquoi, pour résoudre un conflit, ne trouvent-ils pas d'autre solution que la guerre ? (Clic... clic...) Et quand il y aura eu des millions de morts, qu'auront-ils gagné ? Des pays détruits et du malheur...
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- "Règles de la guerre !" Quand on y pense, ce sont déjà des mots fous ! Comme si la guerre était un jeu. Un jeu puéril pour grands enfants irresponsables. On demande à des hommes qui ne se connaissent pas et n'ont aucune raison de se haïr de se battre au prix de leur vie. Et à des mules, des chevaux, des chiens, qui se fichent pas mal de la patrie et n'ont rien à y gagner...
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Verdun n'est pas vraiment un endroit vert.
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"Règles de la guerre!" Quand on y pense, ce sont déjà des mots fous ! Comme si la guerre était un jeu. Un jeu puéril pour les grands enfants irresponsables. On demande à des hommes qui ne se connaissent pas et n'ont aucune raison de se haïr de se battre au prix de leur vie... [...]
Pourquoi des hommes veulent-ils toujours s'approprier ce qui appartient au voisin ? Et pourquoi pour résoudre un conflit, ne trouvent-ils pas d'autre solution que la guerre ? Et quand il y aura eu des millions de morts, qu'auront-ils gagné ? Des pays détruits et du malheur...
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Et un chien qui ne peut pas battre de la queue a perdu son sourire.
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Les voyages forment la jeunesse et déforment l'avenir.
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On traversait une autre partie du no man's land quand on entendit la sourde explosion d'une fusée éclairante. On se plaqua au sol, immobiles. Le moindre mouvement pouvait nous faire repérer. La lueur monta droit dans le ciel, puis s'épanouit et retomba, illuminant tout. On ferma les yeux comme on nous l'avait appris pour éviter qu'ils reflètent la lumière.
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On ne s'ennuyait jamais. Au programme du matin: balade en forêt (on appelait ça "marche"), saut d'obstacles, course de vitesse et assouplissements sur "le parcours du combattant". L'après-midi: sieste, puis petits exercices tout bêtes, comme de rejoindre son conducteur quand il nous appelait, s'asseoir, se coucher et se lever, suivre au pied. Facile.
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Ce jour quatorze mai mil neuf cent seize, nous soussignés, Alousse Jean et Pocade Raymond, gendarmes à cheval, revêtus de notre uniforme et en tournée de commune, avons aperçu à l'orée du bois de Forges un individu qui réceptionnait un chien portant deux sacoches sur le dos. Nous l'avons appréhendé et avons confisqué les sacoches.
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