AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

Note moyenne 3.41 /5 (sur 231 notes)

Nationalité : France
Né(e) : 1947
Biographie :

François et Martine Bruce sont écrivains.

Ils sont les enfants de l'écrivain Jean Bruce (Jean Brochet) (1921-1963), l'auteur des aventures de l'agent secret OSS 117 dont le premier tome de la série est paru en 1949.

François est le fils d'un premier mariage de l'écrivain, et Martine est la fille de Jean et de la romancière Josette Bruce (Josépha Pyrzbil) (1920-1996). Tous deux sont nés en 1947, à six mois d'écart.

En 1985, à la suite d'une procédure contre Josette Bruce pour atteinte à leurs droits patrimoniaux et moraux auprès du TGI de Paris, ils ont repris la série "OSS 117" créée par leur père.

En 1987, avec l'aide d'auteurs anonymes, sort le premier livre de "Les Nouvelles Aventures d'OSS 117", aux éditions des Presses de la Cité, puis du Fleuve noir. Les 23 volumes dont ils sont les auteurs contiennent davantage de références littéraires, mais aussi de sexe.
+ Voir plus
Ajouter des informations
Bibliographie de Jean Bruce   (122)Voir plus

étiquettes
Podcast (3) Voir tous


Citations et extraits (41) Voir plus Ajouter une citation
Hubert se trouvait en état d’infériorité. L’adversaire possédait une arme et un slip, alors que lui n’avait même pas un turban. Rien de plus démoralisant que de se battre le derrière nu.
Commenter  J’apprécie          200
- Vous êtes en notre pouvoir…
- Nous y voilà.
- Ne vous y trompez pas. Nous ne nous chargerions pas de la basse besogne. Nous pouvons vous livrer à la justice pakistanaise. Il y a le choix pour les inculpations…
- Charmant !
- Inutile de vous indigner. Vous savez parfaitement que dans métier tous les coups sont permis.
Commenter  J’apprécie          181
page 160 [...] La nappe de lumière blanche projetée par les phares glissait avec une régularité fascinante sur la neige dure et ridée. Ole Winther tenait les commandes du Weasel (véhicule amphibie, à chenilles, utilisé en Arctique, NDLR). Son corps massif et gigantesque emplissait tout l'étroit espace, entre le moteur et la paroi vitrée. Sa grosse tête casquée de fourrure touchait le toit.
Installé à l'arrière, sur le siège du radio, Hubert regardait vers l'avant, appuyé du coude sur la tablette du poste-récepteur.
Il était dix heures quinze du matin et ils venaient de sortir de Thulé.
La tempête s'était apaisée trois heures plus tôt, laissant des dégâts considérables. Le blizzard soufflait encore, mais à vitesse modérée : soixante kilomètres-heure environ, soulevant du sol une poudre de neige légère comme une fumée qui donnait à la nuit un caractère irréel et fantomatique. [...]
Commenter  J’apprécie          160
M.Smith, tout seul dans son grand bureau fraîchement repeint en rouge orangé, lisait attentivement le bulletin de synthèse journalier qui venait de lui être apporté, comme chaque matin.
M.Smith n'était pas gai. Les traits de son visage gras et mou étaient orientés vers le bas, trahissant l'impression pessimiste que le chef de la "C.I.A" tirait de la lecture des renseignements secrets arrivés depuis la veille de tous les coins du monde.
Le Monde était de nouveau malade.
(incipit)
Commenter  J’apprécie          120
- draga,ma soeur, et belle comme une chèvre des
montagnes et....aussi sotte.
les obranovitch n'ont jamais
plaisanté avec l,honneur.
une fois alors que nous habitons notre propriété des
montagnes,un homme a osé les yeux sur draga.je lui ai crevé les yeux.
Hubert demanda poliment.
- avec une aiguille?
- non,monsieur avec mon poignard.
- ici a Dubrovnik, un homme
des milices a osé porter la
main sur draga.....
- vous lui avez coupé la main.
- qui vous l,a dit? qui?
- personne, je vous assure,
ça n'a pas du se savoir.....
cela me paraissait obligatoire,tout simplement.
mais dites moi, branko, si
quelqu'un manquait de respect a madame votre mère, que ferais votre père.
- il châtrerait l, insulteur, monsieur.
légèrement inquiet Hubert
pensa qu'il devrait vraiment
prendre beaucoup de précautions s, il ne voulait
pas quitter cette maison en
pièces détachées.
Commenter  J’apprécie          110
Elle portait un de ces masques de chirurgiens dont beaucoup de japonais se couvrent la bouche et le nez pendant la mauvaise saison, dès que le temps devient humide, ce qui ne les empêche pas d'attraper des rhumes ou la grippe comme tout le monde.
Commenter  J’apprécie          104
un voleur passe pour un homme distinguer quand le vol la enrichi.
Commenter  J’apprécie          100
Il avait disparu. Volatilisé. Personne ne l'a plus revu et il a été impossible de recueillir le moindre indice...
J'ajoute qu'Elliott et Nancy Eimer formaient un couple très uni et que lui était un garçon remarquablement équilibré.
Rien non plus au point de vue politique. Il ne s'y intéressait absolument pas. Et rien dans sa vie qui put permettre de le faire chanter. Il ne jouait pas, ne courait pas les filles, ne se droguait pas, n'était pas pédéraste. Mystère complet.
Commenter  J’apprécie          72
page 165 [...] Pierre, libéré à son tour, les rejoignit.
- Bon, ne te fâche pas !
- Bon, ça n'est pas de te critiquer, dit-il à Stéphan, mais tu aurais quand même pu te presser un peu ! Si tu étais arrivé seulement cinq minutes plus tôt, ça n'aurait fait de mal à personne, tu sais !
- Ben, c'est ça, engueule-moi ! Je m'casse le cul pour vous tirer du pétrin où vous vous foutez par vos conneries et pis i m'engueule, çui-là ... Tu t'figures p't'êt' qu'c'est facile de dénicher les potes à c't'heure-là ! Tu t'figures p't'êt' qui bectent pas les potes, hein ? Ou qu'si y bectent, y bectent toujours dans la même crèmerie pour qu'si tézigue s'fait une entorse, on sache où les piquer pour v'nir te rel'ver ... Hein ? C'est ça qu'tu crois p't'êt' ... Hein ?
Il était rouge de colère. Hubert intervient :
- Allons, Stéphan, c'est terminé. Ne gaspille pas ton énergie. Je suis tout à fait certain que tu as été aussi vite que possible. Tu n'as pas quelque chose à boire ?
- Si, répondit Stéphan, soudain calmé. [...]
Commenter  J’apprécie          60
Un domestique soudanais, vêtu de la traditionnelle livrée blanche et rouge lui ouvrit la porte.
- Monsieur Rahman est-il là ?
- Missié il est pas là. Il est à son bureau.
- Et Madame ?
- Madame il est là.
- Veux-tu lui dire que M.Franck Adler désire le voir.
- Bien, Missié. Voulez-vous vinir...
Commenter  J’apprécie          60

Acheter les livres de cet auteur sur
LirekaFnacAmazonRakutenCultura


Quiz Voir plus

J'ai joué aux dés à Yaoundé.....

OSS 117 se rend dans la capitale moscovite, c'était avant la chute du Mur, et là une surprise l'attend...

Moka à Mockba
Mousse à Moscou
Moche coup à Moscou
Perdre son cou à Moscou
Le sale coup de Moscou

15 questions
13 lecteurs ont répondu
Thème : Jean BruceCréer un quiz sur cet auteur