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Une jeune magistrate rejoint son amant dans sa garçonnière. Elle est sauvagement assassinée sous le porche de la cour de l'immeuble. Cet amant, avocat et candidat à la mairie de Lyon, dont le comportement le désigne comme le coupable idéal, va désigner un ténor du barreau afin d'assurer sa défense. Il clame haut et fort son innocence.

Si ce n'est pas lui, qui est l'auteur de ce meurtre sauvage ?

La femme humiliée de son amant, son conjoint flic jaloux et violent, un marginal pervers présent à proximité des lieux du drame, un justiciable d'un dossier qu'elle a instruit, ... L'avocat de la défense va devoir tout mettre en oeuvre pour dévoiler les zones d'ombre de ce dossier au profit de son client.

André Buffart, avocat émérite, nous dévoile habilement les coulisses de la justice par une intrigue rythmée et captivante.
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Pas mal du tout, ça tient la dragée haute aux américains !
L'auteur raconte certainement ses souvenirs, mélange sans doute quelques affaires et enjolive tout ça pour faire un roman crédible et rythmé.
Intéressant de suivre un procès d'assises du point de vue de l'avocat de la défense et amusant de lire l'auteur rapportant souvent les questions sur sa moralité qu'on a dû lui poser toute sa vie. Comment défendre l'indéfendable, appât du gain, de la notoriété, simple goût d'une justice équitable...? J'avoue moi-même n'être pas convaincu par ses réponses, mais bon certainement l'indéfendable doit-il avoir droit à une défense. Même des Papon, Touvier, Eichmann ou Barbie (Klaus pas le poupée) ?
Bon, j'avoue tout de même être un peu frustré par l'épilogue. Pas vous ?
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Une raison particulière explique que j'ai sorti ce thriller de ma pile à lire : j'ai reçu grâce à www.bepolar.fr et aux Editions Filature(s) « L'affaire Thomas Royer » d'André Buffard qui est paru le 2 avril dernier. C'est la troisième aventure de l'avocat pénaliste, David Lucas. Comme beaucoup d'entre vous, je suppose et comme vous devez déjà le savoir à la fin, je préfère toujours commencer la lecture d'une série de bouquins à la naissance d'un personnage. C'était donc l'occasion rêvée de plonger dans « le jeu de la défense ».

Beaucoup d'originalités affublent ce premier roman de l'auteur, lui-même avocat de métier depuis 1972. Vu donc son bagage professionnel, aucun détail n'est laissé au hasard. Il prend bien le temps d'expliquer les filons du droit pénal et de la procédure pénale et ce, à chacune des étapes de l'enquête sur le meurtre de Ghislaine, jeune magistrate en stage à Lyon. Pour les novices ou néophytes, vous ne risquez donc pas d'être perdus malgré les très nombreuses subtilités du droit.

Très souvent, cela donne l'impression que David Lucas, le personnage, nous narre son auto-biographie dans une affaire pénale spécifique. Pourtant, c'est bien une oeuvre de fiction. Pour un premier roman, le style d'écriture est déjà bien maîtrisé. C'est vrai que le domaine du droit m'aide mais quand même, j'ai trouvé cela fort agréable.

Ayant moi-même accompli des études de droit et m'étant spécialisée notamment en droit pénal et ce, même si j'ai fait mes études en Belgique, le droit belge et le droit français reposent quand même sur les mêmes bases et ont conservé de nombreuses ressemblances. J'ai trouvé cela très plaisant de trouver dans un lecture noire, tout ce qui entoure mon domaine de prédilection.

Je me lancerai sans trop tarder dans le second tome de la série avec « Jeux de dames ». Je vous reparle donc de cet écrivain très bientôt.
Lien : https://www.musemaniasbooks...
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Livre lu d'une traite, responsable d'une courte nuit. Bon une fois que j'ai dit ça…

Mon premier livre de l'auteur et surement pas le dernier, heureusement j'en ai un autre sous la main pour bientôt.

Passionnée de polars et de thriller, nous sommes habitués à retrouver des policiers, gendarmes, justiciers ou privés. C'est ma première lecture à travers les yeux d'un avocat de la défense.

Grâce à cet angle nous découvrons l'ensemble des étapes, de la découverte du cadavre à l'énoncé du verdict.

A travers cette enquête passionnante autour du meurtre d'une jeune magistrate qui émeut l'ensemble de la profession. Toutes les pistes vont faire jour, mais principalement sa vie personnelle, elle avait un amant… Pour peu que ce monsieur fasse parti du palais, il n'en faut pas plus pour que l'affaire explose au grand jour et que les médias s'emparent du sujet.

La police, la scientifique, les juges, greffiers, les médias, tout ce monde qui gravite autour d'une affaire, où chacun peut avoir sa propre conviction.

Un style totalement addictif, des phrases courtes, de nombreux dialogues rythment parfaitement ce récit. de plus, le lecteur va de surprises en découvertes en même temps que l'avocat avance et accède aux éléments. A travers ses yeux et ressentis, on suit pas à pas l'évolution du dossier. Très habilement, l'auteur nous explique les points de procédure obligatoires et l'évolution que la justice a connu ces dernières années. Tout s'imbrique à merveille. J'ai particulièrement apprécié découvrir ce que pensait David sur la présence de l'avocat dès les premières heures de garde à vue. Les avantages, les inconvénients et la notion d'équilibriste qu'il faut parfois user pour caler l'imprévu dans un planning ultra chargé où chaque minute compte.

L'ambiance au palais de justice est très bien documentée, sans pour autant nous paraître barbante. Au contraire, j'ai eu l'impression d'être un caméraman qui suivait le protagoniste principal partout et accédait à ses réflexions et pensées.

L'auteur met très bien en lumière également comment une stratégie peut partir à volo si un nouvel élément surgit. Nous découvrons aussi la relation client-avocat, et l'établissement de la défense suivant les éléments ; mais aussi les dangers du mensonge.

L'humain est placé au premier plan, ce n'est pas la vérité mais la défense d'un justiciable que l'on découvre ici. Les faits, les acteurs, le rôle de chacun, l'image d'une scène de théâtre, la distance, sont d'autant d'éléments essentiels peut être pour l'enquête mais pour l'avocat de la défense sa priorité est et reste son client. Même s'il doit jongler avec plusieurs dossiers en même temps.

Même si je retiendrai que le « jeu », « la peur » et « l'adrénaline » sont parties prenantes dans ce rôle, les surprises de dernière minute, en règle générale, ne sont pas forcément les bienvenues.

Après cette première rencontre avec David Lucas, il est certain que j'irai découvrir ses autres affaires, avec les envers du décor.
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Ghislaine Labreuil Une jeune magistrate a été battue à mort alors qu'elle rejoignait en secret son amant Jacques Brochard. Celui-ci l'a découvert et dit avoir paniqué. Il s'est enfui et tous ce qu'il a fait après peut laisser croire qu'il est le coupable. Cet avocat et futur candidat à la marie confie sa défense au pénaliste Maitre David Lucas.
Pour son premier roman, l'auteur André Buffard nous embarque dans un univers qu'il connait bien, celui de la justice car il est avocat depuis 1972, c'est ce qui fait tout l'intérêt de ce roman et le rend réaliste. Il nous raconte de A à Z une affaire vue de l'intérieur, et tous les éléments autour qui viennent jouer sur le procès avec le déchainement des médias lors d'un gros procès, les rouages de la justice… Il nous démontre également la complexité de la relation avocat/client, ce que demande ce métier : défendre son client sans finalement s'intéresser au fait qu'il soit coupable ou innocent. Il ne faut pas avoir d'états d'âme.
Maitriser le thème du roman, c'est bien mais ça ne fait pas tout. La encore André Buffard arrive a maitrisé le domaine de l'écriture. Son style est agréable et fluide. L'histoire est simple mais tout est maitrisé. Il sait embarquer son lecteur dans son univers, le manipuler, le faire réfléchir sur ce métier.
On comprend à la fin du livre que tout ça n'est finalement qu'un jeu…
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Ghislaine LABREUIL est une jeune magistrat affectée auprès du cabinet du Doyen des juges d'instruction près le Tribunal de Grande Instance de Lyon. Iconoclaste, rétive à toute forme d'autorité et recourant de bon coeur à des méthodes peu orthodoxes, elle est découverte assassinée devant la garçonnière de son amant, maître BROCHARD, bâtonnier de l'ordre des avocats de Lyon.


La plupart des personnages du roman disposent d'un mobile et d'un modus operandi. Ainsi, le compagnon de la victime - le jeune policier impétueux qui se trouve le soir des faits, avec son coéquipier, près du lieu du crime - avait découvert l'infidélité de Ghislaine LABREUIL sur le point de le quitter aussitôt que son amant, Maître BROCHARD, se serait lui-même séparé de son épouse, également présente sur les lieux de l'assassinat, nonobstant un alibi mensonger. Cependant, maître BROCHARD, également candidat à la mairie de Lyon, exclut de divorcer. Aussi, la juge Ghislaine LABREUIL, avant de se rendre au lieu de rendez-vous clandestin habituel, adresse à son amant un dernier ultimatum lui ordonnant de quitter sa femme ; à défaut, elle mettra immédiatement et définitivement un terme à la relation, ce qui est inacceptable pour BROCHARD. Au même endroit et au même moment, un SDF, ancien repris de justice, s'enfuit immédiatement après le crime.


Autre chose, la jeune juge instruisait des dossiers de trafics de drogue très sensibles, mettant en cause un petit voyou, opposé à des bandes rivales de banlieue, qui promettait de se venger de Ghislaine LABREUIL et de ses méthodes déloyales bafouant les droits de la défense.


Et si l'on ajoute pour bouquet final un greffier pervers et une présidente du Tribunal de Grande Instance aigrie qui déclare à propos de l'assassinat de sa collègue - : « Je ne vois pas pourquoi ils [les juges] ne pourraient pas être assassinés au même titre que les autres » (P.58) -, c'est la promesse faite à BROCHARD, que tout accuse tout accuse, jusqu'à ses propres déclarations à la police, d'un « jeu de la défense » mouvementé pour tenter d'obtenir un acquittement.


Maître BROCHARD est interpelé, mis en examen et placé en détention provisoire pour assassinat. Ses déclarations et les indices matériels recueillis par la police sont autant d'indices graves et concordants de culpabilité. Il fait appel à l'un de ses confrères, le narrateur, pour assurer sa défense.


le jeu de la défense (éditions Plon, 2018) est le premier roman publié par le célèbre avocat pénaliste, maître André BUFFARD, habitué des cours d'assises. Il a défendu le terroriste Carlos, Pierre Chanal, l'affaire des disparus de Mourmelon, Jean-Claude Romand, certains membres d'Action Directe, Alain Carignon, Eric Cantona et bien d'autres encore.
L'ouvrage a été sélectionné pour concourir au titre du Prix du Meilleur Polar Points.


Le jeu de la défense est un thriller judiciaire, mais un thriller judiciaire pas tout à fait comme les autres. Et c'est l'une des raisons essentielles pour laquelle il mérite un avis très favorable. L'intrigue, sans toutefois être quelconque et banale, n'est pas, pour autant, novatrice ou exceptionnelle. Cependant, la plus-value du roman réside dans l'alternance de courts chapitres, qui se correspondent parfaitement, entre, d'une part, le déroulement de l'intrigue et, par ailleurs, le jugement du narrateur avocat - il s'agit, sans aucun doute de celle de l'auteur -, sur la Justice et, plus particulièrement, sur les juges et les avocats. Avec un souci de sincérité et d'authenticité, André BUFFARD s'applique à décrire, le plus souvent objectivement, quelquefois plus subjectivement, ses sentiments et ses opinions à propos du monde judiciaire - parfois contestables, souvent frappés du coin du bon sens : la paupérisation de la profession d'avocat, des magistrats davantage justiciers que juges, les petits arrangements entre amis (ça existe !). Et surtout, l'auteur a le souci pédagogique et passionnant d'exposer, en désavouant les bêtises dites sur les diverses chaines d'information ou dans la plupart des séries télévisées stupides, le fonctionnement de la justice depuis la commission d'une infraction jusqu'à la décision de la justice en passant par les enquêtes de police ou de gendarmerie.


L'auteur semble vouloir démontrer, et il y parvient fort bien, que tout individu a le droit – et même le devoir – d'être défendu. D'abord parce qu'il s'agit de protéger tous les citoyens, y compris les innocents, des procédés qui consisteraient à violer les règles de procédure. Or, la forme c'est la garantie de la liberté, y compris (surtout) pour les innocents. D'autre part, quelle société démocratique accepterait un jugement sommaire sans la garantie d'une défense libre et respectée dans ses droits ? Un individu coupable, dont la preuve du méfait est rapportée - le doute doit lui profiter, comme elle doit profiter à tous - sera condamné, mais cette condamnation sera d'autant plus acceptée par la société que toutes les garanties de la défense auront été respectées. En cela, l'avocat et une justice soucieuse des droits de la défense participent du maintien de l'ordre social. Ce n'est que dans les régimes de dictature que les procès et condamnations ne sont pas acceptés par l'opinion publique, pas en démocratie. de ce point de vue, à peine d'arbitraire dont tout innocent peut être un jour la victime, le prix de la démocratie est d'accepter qu'un coupable, dont la preuve du crime qui lui est imputé n'est pas établie, reste en liberté.


Un seul reproche, mais le défaut était inévitable eu égard à l'activité dominante d'André BUFFARD, celui-ci ne dit pas que le procès pénal, toutes infractions confondues, de la simple contravention au crime, ne représente qu'une infime partie de l'activité professionnelle de la quasi-totalité des avocats et de l'oeuvre de justice. Et, il ne faut pas croire que seul le procès pénal a trait aux libertés, à l'honneur ou à l'intégrité d'un individu ; c'est vrai également en matière civile, commerciale, fiscale... Mais qui serait intéressé par un livre, un film, ou une série relatifs à l'"autopsie" d'une expertise judiciaire à propos de malfaçons induites par un tassement différentiel du sol sur lequel est construite la maison achetée par un jeune un couple de classe sociale moyenne ? Alors que, pourtant, ces contentieux sont souvent la conséquence de multiples dépressions ou suicides. Les affaires criminelles ne représentent, sauf dans l'esprit du public profane assoiffé de sexe, de sang et de sperme, qu'une infime partie de l'activité judiciaire, des juges et des avocats.


Une observation enfin sur la forme, André BUFFARD a choisi un mode de narration interne, par conséquent à la première personne en adoptant un point de vue limité, le sien. Ce genre narratif, de plus en plus utilisé dans le roman policier, présente un inconvénient majeur : circonscrire le point de vue au seul personnage du narrateur et de limiter les effets dramatiques. Cependant, d'une part, cette posture propose l'avantage d'une plus grande proximité et intimité avec le lecteur - parfaitement réussi en l'occurrence -, d'autre part, elle était la seule appropriée dès lors que le narrateur/auteur souhaitait, dans ce roman, instruire le lecteur sur le fonctionnement de la justice à travers sa propre expérience, quand bien même il ne s'agirait que d'une fiction.


En conclusion, le roman d'André BUFFARD est passionnant à lire (l'intrigue), instructif, sans être ardu (la justice). Je le conseille avec le même plaisir que je l'ai lu.


Bonne lecture.

Michel.


Lien : https://fureur-de-lire.blogs..
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Un roman policier qui se déroule à Lyon, dont le principal personnage est un avocat, cela m'a suffisamment intéressé pour que j'ouvre ce roman gagné à un concours « Quais du polar ». Écrit par un avocat, il s'est avéré passionnant pour la pédagogie, les détails concernant les mécanismes de la justice. L'enquête elle-même est suffisamment émaillée de moments plus stressants et de rebondissements pour maintenir l'attention et l'envie de continuer. Certes, le personnage principal est macho et peu sympathique, mais je pense ou du moins je laisse planer le doute : il s'agit sans doute d'humour, et d'ailleurs son comportement et ses remarques m'ont fait sourire plus d'une fois. Au final, une lecture fluide et captivante, mais sans grand relief au niveau de l'écriture.
Lien : https://lettresexpres.wordpr..
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J'en ai lu des romans judiciaires, mais à mes yeux, celui-ci se place tout en haut de la pile ! Pour une fois, on ne tombe pas (trop) dans l'histoire de l'avocat qui se transforme en détective et qui - arme à la main - va rechercher la vérité et rendre justice... Non, l'intrigue se déroule pratiquement exclusivement dans les arcanes du palais et le "héro" se borne à son rôle de pénaliste : défendre son client !
J'ai adoré...
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Nouvelle lecture dans le cadre du prix des lecteurs du polar des éditions Points.
J'ai lu ce livre au rythme effréné un peu comme j'aurais regardé une série : avec l'envie d'en savoir plus. Toujours. Les chapitres courts et les péripéties, nombreuses, ne laissent pas de répit aux lecteurs. On ne s'ennuie pas c'est certain. Si le meurtre d'une jeune magistrate reste le coeur de l'enquête, on peut y voir également un bon point de départ pour parler de la justice, de ses rouages ainsi que des Hommes qui la composent.
On sent que l'auteur maitrise son sujet à la perfection. Et pour cause ! André Buffard est avocat depuis plus de quarante ans. Si les histoires de procès et de justice n'ont pas ma préférence en matière de lecture, je me suis volontiers laissée emporter dans cet univers que je connaissais très peu. L'auteur n'est pas tendre. Il offre une vision de la profession que je trouve assez juste. Question d'opinion bien sûr…Même si je ne partage pas toujours le regard du protagoniste.
Un monde secret. Presque parallèle. Un univers aux arcanes parfois indéchiffrables pour quiconque n'en fait pas partie.
Un bouquin intéressant et très bien mené. Une écriture simple et percutante qui fleure bon le réalisme.
Une bonne lecture vers laquelle je ne me serais pas dirigée si je n'avais fait partie du jury. Un grand merci aux éditions Points pour cette découverte.

Lien : https://labibliothequedeceli..
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J'ai lu le livre "le jeu de la défense" de André Buffard, dans le cadre du prix du meilleur polar points.
Et j'ai plutôt bien aimé ce roman écrit par un avocat, sur une affaire judiciaire vécue du point de vue de l'avocat de la défense.
Certes il y a beaucoup de longueurs et le livre aurait pu faire 150 pages de moins pour le même rendu mais toute la partie sur la partie judiciaire est traitée avec justesse et précision.
Je n'ai eu aucune empathie pour aucun des personnages ce qui est un peu dommage.
L'histoire se tient du début à la fin et ça montre bien le point de vue des avocats, qui sont là pour faire acquitter leur client quel que soit les faits reprochés, ce qui est toujours difficile à comprendre vu de l'extérieur.

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