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sur 244 notes
Ils étaient une cinquantaine à partir avec l'espoir de pouvoir vivre en paix sur une nouvelle planète, en union avec la nature et de ne plus répéter les mêmes erreurs commît sur Terre. Un beau rêve, n'est-ce pas ?
Mais il faut bien revenir dans la réalité… Et l'utopie commence à avoir quelques fissures dès l'arrivée des colons. Quant au désir de vivre en parfaite union avec la nature, ils vont devoir prendre en compte que les végétaux présents possèdent une très grande intelligence et qu'ils peuvent être leurs alliés ou leurs ennemis…

Depuis toujours, je suis fascinée par l'idée que l'on puisse vivre sur d'autres planètes, partir à la découverte d'autres espèces intelligentes, être tous réuni dans une société utopique et… Là, je digresse vers le scénario de « Star Trek ». Bref ! J'étais impatiente de découvrir « Pax », de voir comment cette communauté humaine allait évoluer au fil de ces différentes générations, mais surtout, apprendre sur ses plantes, non surtout sur cette plante, avec laquelle ils allaient cohabiter.

Chaque grand chapitre porte le nom d'un personnage d'une génération suivante et devient un indicateur de leur évolution au sein de cette planète. N'ayant que peu d'informations de la Terre (la première génération parlait peu du passé et la plupart des objets contenant des renseignements ne sont plus fonctionnelles), c'est une nouvelle histoire de l'humanité qui se met en place (nouvelles règles pour une nouvelle société, les institutions mises en place, le rôle d'une flore bien plus intelligente, vivre en commun avec une autre espèce aux cultures différentes etc…).
Bien sûr, comme toujours, on constate que l'humain répète les mêmes erreurs et celles-ci font, malheureusement, échos à notre actualité. le rêve de vouloir créer une utopie va être mis à rude épreuve plus d'une fois.
L'autre point à souligner sur ces chapitres, c'est que chacun semble jouer sur différentes notes: conflit entre générations, les moeurs relationnelles, un crime à résoudre, recherches sur une ancienne civilisation etc… L'autrice arrive à se renouveler à chaque événement qui marque ce récit.

Comme vous pouvez le deviner, j'ai aimé suivre cette évolution, bien que certains événements soient plus intéressant que d'autres. Mais je n'ai pas pu m'attacher à l'un des personnages humains. Au moment où j'appréciais l'un d'eux, je sautais dans une autre génération. C'est le seul regret que j'ai de ma lecture. Alors, toute mon attention s'est reporté sur le seul qui fut constant et qui m'apporta plein de surprise: Steveland.
C'est un bambou arc-en-ciel, l'une des plantes les plus intelligentes de cette planète. Ayant appris de ses précédentes erreurs, il comprend que pour sa survie, il doit prendre sous « son aile » les humains. Au début, il n' a que peu d'estime pour leur intelligence. C'était « ses animaux domestiques » dont il devait prendre soin. Mais au fil des générations, le lien entre les humains et Steveland se changent peu à peu. le bambou comprend qu'il a beaucoup de choses à apprendre d'eux.
Et c'est cette relation entre nature et homme et son évolution qui est la grande force de ce roman. Celle qui m'a retenu jusqu'à la dernière page et qui me donne envie de vouloir lire le second tome.

Conclusion:

Est-ce qu'une utopie est possible ? Pouvons-nous vivre en symbiose avec la nature ? Pouvons-nous en vivre en communauté, sans heurt et sans violence, avec d'autres espèces ?
Des réflexions auxquelles l'autrice nous laisse quelques réponses à travers cette épopée d'une poignée d'humains qui désiraient vivre en paix sur une nouvelle planète.

Quant à moi, je continue à m'imaginer cette grande citadelle, aux milles couleurs des diverses plantes se développant en son sein, des verreries qui ornent la grande serre où le représentant de la communauté, « le modérateur », dialogue avec Steveland et de penser que ce rêve d'utopie qui donne le désir d'agir pour le bien de tous puisse exister…

Bref ! C'est à votre tour de voyager vers « Pax ».
Lien : https://klolianebooks.wordpr..
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Un récit d'arrivée en terre inconnue et de premier contact avec des formes de vie étrangères.
Tout d'abord, les qualités. le récit est bien mené, suffisamment palpitant pour emmener le lecteur à travers l'histoire avec peu de temps morts. le style est neutre, plutôt agréable, purement fonctionnel, sans poésie particulière mais sans non plus la vulgarité notamment langagière qui encombre certaines publications de science fiction. Sur la forme donc, un livre agréable. Autre qualité, l'histoire est relativement originale par la nature des formes de vie rencontrées.
Les points négatifs sont au nombre de deux. Tout d'abord, l'usage du vocabulaire scientifique : manifestement Sue Burke s'est documentée mais n'est pas de formation scientifique, c'est évident, et l'étalage de termes scientifiques approximativement maîtrisés est assez pénible. Et surtout au delà du vocabulaire, Sue Burke n'a manifestement aucune idée de ce que peut être la méthode scientifique. Il y a donc un décalage entre la terminologie qui vise à « faire » scientifique et l'irrationalité complète des actions des personnages dits scientifiques au regard de la façon dont penserait un véritable scientifique.
A mes yeux cependant le problème principal de ce roman est idéologique. Sous couvert d'idées creuses de « paix » et « d'égalité » dont l'auteur voudrait nous faire croire qu'elles orientent sa société idéale, Sue Burke ne s'est pas émancipée de l'idéologie impérialiste américaine, voire même colonialiste… Explicitement, il est ici question de « domestiquer » des populations, de « forcer » des peuples dans la misère à se conformer au fonctionnement des humains sous prétexte que leur système est nocif pour eux… le fait que les humains puissent être eux-mêmes ainsi « domestiqués » « forcés » au prix de divers mensonges et manipulations, n'enlève rien au fait que l'auteur semble croire que toute cohabitation de peuples et d'espèces ne peut se faire de façon positive que par un forçage, une ingérence et de la manipulation - avec cette idée que la fin justifie ce type de moyens. Cela semble une idéologie particulièrement inquiétante. Je mettrai par bienveillance cette option idéologique douteuse sur le compte d'une inculture de l'auteur en matière de systèmes politiques et idéologiques.
Lien : http://www.williamjoshbeck.c..
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Et pourtant ça partait bien !
Construit comme une suite de nouvelles, ce roman retrace l'évolution d'un groupe de terriens venu coloniser une planète lointaine. Chaque chapitre transcrit un petit bout de l'histoire d'une génération et ça fonctionne plutôt bien sur les 3 premiers. Appréhender son environnement parfois hostile afin de survivre et de composer avec pour assurer la croissance de la colonie. Les conflits intergénérationnels, l'intelligence extraterrestre... et puis pschittt.
Le récit s'essouffle, les personnages sont de plus en plus manichéens (hormis Stevland qui est assez intéressant), ça devient lourd comme une digestion difficile.
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L'intrigue :
Un vaisseau intergalactique a quitté la Terre voici 160 ans avec 50 colons à son bord pour repartir de zéro sur une nouvelle planète. A leur réveil, une fois en orbite autour de leur destination, ils se rendent compte que ce n'est pas la planète initiale visée, qui a peut-être disparu entre temps, mais la planète HIP 30815F dont le système de détection du vaisseau assure que l'écosystème comporte tous les paramètres nécessaires à la vie. Nos colons atterrissent donc sur Pax, nom qu'ils donnent à cette nouvelle planète signifiant Paix et qui sera le signe du renouveau avec pour objectif de vivre en communion les uns avec les autres et la faune environnante.

Pax est une planète plus vieille d'un milliard d'années par rapport à la Terre, quel type d'intelligence s'y trouve-t-il ? Et comment fait-on pour tout reconstruire sans reproduire les erreurs du passé ?

Un récit générationnel :
Ce n'est pas le tout d'être congelé pour un voyage de plus d'un siècle, encore faut-il mettre le plan en marche et c'est là que ça dégénère. Plusieurs colons décèdent de différentes manières entre les soucis de l'hibernation et un atterrissage catastrophique d'un module tuant sur le coup une bonne dizaine d'individus. Arrivés sur le sol de Pax, les colons ne sont plus q'une trentaine et les gamètes congelées pour élargir au maximum le patrimoine génétique sont pour les 2/3 perdus. Il n'y a pas de métal sur cette planète et la majorité des outils nécessitant technologie et électricité vont péricliter dans les premières années. C'est un retour à la nature brut de décoffrage qui s'opère dans un environnement pour le moins hostile.

On va suivre le récit sur 7 chapitres qui équivalent à 7 générations de colons, le récit va couvrir plus d'un siècle d'installation et d'adaptation de la colonie à ce qui l'entoure et les enjeux soulevés par chaque génération. Chaque chapitre sera attribué à un personnage clé parfois complété par un autre point de vue.

Au départ, la génération des Parents, qui est la génération des arrivants, nous sera dépeinte par le personnage d'Octavo, le botaniste survivant. Son travail sera crucial pour permettre aux autres de savoir ce qui est comestible de ne ce qui l'est pas mais c'est sans compter sur les liannes blanches qui sont hostiles à ces animaux et se mettent à produire des fruits empoisonnés. Les colons vont apprendre petit à petit à composer avec la nature, reconnaitre les plantes amies avec qui composer pour obtenir une protection.

Ensuite vient la génération de Sylvia, première née de la colonie sur Pax. le labeur harassant des Parents sur une terre quasiment stérile l'interroge. Quel intérêt de s'installer dans une sorte de Paradis pour rester à sa porte et donner l'impression d'expier pour toutes les fautes commises dans un autre monde. Sylvia et son petit-ami fuguent et découvre une ville abandonnée avec un arbre qui offre de bons fruits à manger, de retour au village pour rapporter la bonne nouvelle, ils se rendent compte que les Parents étaient au courant et avaient caché cette cité à leurs enfants, c'est la révolte et le temps des premiers meurtres sur Pax. Direction la ville arc-en-ciel pour tous ceux qui le veulent.

Les générations suivantes seront donc installées dans cette ville et prospèreront au fur et à mesure des années. Sauf que cette cité ne vient pas de nulle part et on apprendra l'existence d'une autre civilisation venue des étoiles comme eux, les Verriers, des êtres au physique façon bonhommes bâtons aux membres d'araignée, du moins c'est de cette façon que je me les figure au vu de la description. Viendra d'ailleurs le jour tant attendu de la rencontre entre les deux communautés mais ces êtres qui donnaient l'impression d'une grande avancée technologique par rapport au peuple des Pacifistes va se révéler extrêmement déroutant et ce à plus d'un titre, que je vous laisserai découvrir.

Au fil des générations on se rend bien compte que les travers humains réapparaissent, la violence et le meurtre refont leur apparition dès les conflits entre les deux premières générations, celle des Parents tentant de faire plier la nouvelle, bien loin de la Constitution signée dans le but de promouvoir un mode de vie dans le respect et la paix de tous et toutes. Viendront ensuite les notions d'envie et de racisme, de rejet de l'autre, à croire que l'Humain est condamné à s'autodétruire s'il ne prend pas garde à ses pensées et ses actes.

Le monde végétal comme personnage à part entière :
Le personnage central de Pax est Stevland, baptisé de ce patronyme en l'honneur du botaniste Stevland Barr, premier colon décédé à la sortie de la cryogénisation. Stevland est un bambou arc-en-ciel, c'est l'être le plus intelligent du milieu végétal. Il a un petit caractère despotique mais il reconnait l'utilité de la vie en symbiose avec sa communauté humaine et il enseigne son savoir à tout un chacun, plantes comprises. Son intelligence et sa capacité d'adaptation lui permettent d'endosser différents rôles contraires, à la fois enseignant et élève, attaquant et défenseur, selon les besoins du moment. Cet enrichissement est mutuel avec les humains ainsi que la faune et la flore qui l'environnent.

En bref :

Je conserve dans un coin de ma tête le bémol des copains blogueurs scientifiques, le nombre de 50 personnes pour coloniser une planète est ridiculement petit pour ne pas se retrouver avec des problèmes congénitaux au fil des générations surtout quand on se rappelle qu'au final ils sont 31 survivants à se reproduire…

Ce « détail » mis de côté, le point fort du roman et son sujet majeur est la résilience potentielle de l'Humain face à la Nature, la communication inter-espèce, les idéaux défendus dès le départ et les péripéties qui vont les mettre à mal…ou les renforcer… Sue Burke s'essaye à l'utopie et ses limites et les pistes de réflexions suivies de leur mise en oeuvre sont très intéressantes.
Lien : https://lemondedelhyandra.co..
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Sympa !

Dans la structure le roman fait penser à la série Fondation d'Azimov : plusieurs parties décrivant chacune une étape importante de la nouvelle civilisation de Pax
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Une très belle science-fiction de type "Planet Opera", douce et humaniste, qui incite à une réflexion profonde sur nos modes de communications, sur la nature de l'être humain et sur notre société. le seul défaut de ce livre reste l'absence d'attachement aux personnages. Il faut voir ce livre presque, comme un recueil de nouvelles.
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Dommage.

C'est le terme qui me vient vis à vis de ce roman et pourtant seulement 135 pages de parcourues…

Pourquoi?

Parce que j'ai trouvé ça plat, poussif.
Entre descriptions à rallonge, personnages détachés et pas assez profonds ou bonds dans le temps, je ne m'y suis pas du tout retrouvée.
Pourtant, je suis fan d'anticipation et de SF mais je n'ai pas accroché et ce malgré un résumé qui donnait envie, et un thème original.

Résultat: frustration et abandon du roman. Première fois depuis des années que ça ne m'était arrivé!

Du coup, je le conseillerai plutôt à des personnes peu exigeantes sur le style ou juste en recherche d'une lecture pas trop prenante, du genre qu'on a dans son sac en cas d'ennui mais dont l'envie de connaître la fin ne nous dévore pas.
La preuve? Je l'ai traîné 3 mois.

Dommage!
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Photo de profil de bulles.sfff.de.marie.d
Traduit par Florence Bury

Une poignée d'humains a quitté une Terre, devenue invivable, pour s'installer sur une autre planète lointaine. L'objectif est de créer un monde qu'ils imaginent déjà basé sur une société plus soucieuse des autres, de l'environnement, et plus juste. Malheureusement, vivre sur Pax, telle qu'ils l'ont baptisée, n'est pas de tout repos, car ils sont face à un nouvel environnement qu'ils doivent apprendre à connaître pour pouvoir s'y implanter. Par contre, ce à quoi ils ne s'attendaient pas, c'est de trouver une forme d'intelligence chez des êtres qu'ils ont toujours dénigrés sur Terre, car ils appartiennent... à la flore.

Je sors de ce roman conquise ! Je reconnais m'être d'ailleurs trompée au préalable, car je m'attendais à une version littéraire de "Jayce et les Monstroplantes" et finalement, pas du tout ! "Semiosis" vient de "Sémiologie" soit la compréhension de la signification des signes et c'est bien de cela qu'il s'agit. Nous suivons donc cette communauté humaine à travers plusieurs générations et les liens qu'elle va créer avec les "habitants" de cette planète, notamment basés sur la communication inter-espèce pour une meilleure compréhension des besoins. Et c'est totalement fascinant. D'autant que se pose, en filigrane, la question de la faisabilité d'une société basée sur une forme d'idéalisme, qui tente de maintenir un consensus permanent entre ses membres alors que… ben, on parle d'êtres humains, là ! J'ai d'ailleurs trouvé la psychologie des personnages finement ciselée, avec ce jeu permanent entre leurs pensées et ce qu'ils en dévoilent. C'est exactement pour ce genre de roman que j'aime la SF, une histoire qui pourrait sembler banale dans le genre planète-opéra, mais qui pousse la réflexion bien plus loin.
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Hello ! Je vous présente aujourd'hui un de mes coups de coeur SF de l'année dernière !

On suit un groupe d'hommes et femmes qui ont quitté la Terre à destination de la planète Pax. Ils cherchent à ne pas reproduire les erreurs faites sur Terre et veulent batir une société fondée sur le partage, l'égalité, en harmonie avec la nature, bref une société utopique. Mais malheureusement, en arrivant sur la planète Pax, ils vont être confrontés à la réalité de leur nouveau milieu de vie, et leurs idéaux vont vaciller face aux difficultés rencontrées.

Ce qui est génial c'est qu'on suit plusieurs générations de ces colons terriens sur leur nouvelle planète et chaque génération fait face à des difficultés particulières. Pour chaque section du roman on a un nouveau personnage principal qui va être le centre d'une intrigue et chacune de ces histoires tisse la trame de l'histoire principale.

J'ai adoré le mélange entre la découverte de la nouvelle planète, de sa faune, de sa flore, de ses règles qui nous projette dans ce fameux « émerveillement » qui caractérise la SF, et l'aspect plus soft SF du roman (tout ce qui concerne le fonctionnement social de Pax : l'organisation du pouvoir, la hiérarchie, les relations humaines…)

Le roman aborde plein de thématiques de la SF mais je dirais que toutes ces thématiques gravitent autour de deux grandes problématiques du roman : la communication et la question d'une société idéale.

J'ai trouvé certains aspects du roman très originaux, notamment quant aux formes de vies présentes sur la planète !

Un autre point fort c'est que les personnages étaient variés et intéressants ! On en voit plusieurs défiler au cours des générations et ils étaient tous bien caractérisés.

C'est un roman que je recommande énormément et en particulier, il est parfait si vous voulez commencer la SF car il est très accessible (rien de difficile au niveau de l'aspect scientifique) !
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Un récit de SF sociologique et écologique assez original dans sa construction et dans l'intrigue en elle même: en effet les chapitres sont très longs et ils sont chacun dédié à une génération de la colonie. On remonte comme ça jusqu'à la septième génération. C'est intéressant dans le sens où on peut découvrir l'évolution de la colonie à travers les âges mais c'est frustrant car on ne retrouve pas les même personnages au fur et à mesure.... difficile donc de s'attacher à eux ...
J'ai eu beaucoup de mal à rentrer dedans car le début est lent, l'autrice fait beaucoup de digression autour de la flore et de son fonctionnement biochimique... Petit à petit elle a su attiser ma curiosité et notamment grâce à ce bambou qui va prendre de plus en plus de place au sein de la colonie mais on s'interroge sur ces intentions bonnes ou mauvaises...
L'autrice traite dans son livre de sujet actuel et important comme l'écologie, le réchauffement climatique, la préservation de la nature, les plantes et leur utilité dans l'écosystème etc...
Elle met aussi en lumière l'humanité au coeur d'une nouvelle société, dont les fondations se veulent loin des erreurs passées qui ont eu lieu sur la planète terre.
C'est une belle découverte même si j'en attendais un peu plus au niveau des rebondissements et du rythme.... C'est assez contemplatif en finalité.

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