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3,58

sur 2138 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Très excitée à l'idée de lire mon tout premier Michel Bussi et de découvrir enfin la plume de cet auteur que l'on voit partout, je suis malheureusement tombée de haut.

Les premiers chapitres plantent le décor, nous distillent quelques éléments de Culture sur les Iles Marquises, les personnages se présentent à tour de rôle. Déjà, dès les premières pages, je n'accroche pas au style et aux ficelles un peu trop évidentes utilisées par l'auteur. Mais l'écriture est fluide, le pitch de départ (cinq apprenties auteures sur une île avec un auteur multi-primé pour une semaine d'atelier d'écriture) me plaît beaucoup et la curiosité l'emporte.

Cependant, pour moi, les personnages ont manqué de réalisme : au début du roman, on s'attend à les découvrir en même temps qu'ils se découvrent les uns les autres, or certains qui viennent de se rencontrer ont l'air déjà beaucoup trop proches et complices dès les premières pages.
Au fil des pages, le plaisir de lecture s'estompe très vite. le ton professoral rend lourd les passages où j'aurai pu prendre plaisir à découvrir une autre Culture. Les « cliffhanger » surviennent sans surprise presque à chaque fin de chapitre, et se dénouent presque toujours de la même manière au chapitre suivant. Cela a créé une sorte de monotonie en cassant par moment le rythme, à trop vouloir arrêter le chapitre au milieu de l'action sur un fait potentiellement marquant.

Finalement, je retiendrais de ce roman peu de choses : principalement quelques anecdotes sur les Marquises et une méfiance renouvelée à l'encontre des auteurs « grands-public ».
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Les îles Marquises (avec ses Tikis et ses légendes). de jolies femmes (mais venimeuses ?). Un écrivain à succès (mais plus doué avec les femmes qu'avec l'écriture). Une ado perspicace (mais aussi facile à manipuler ?). Une disparition. Des meurtres. Voilà le Bussi 2020 !

Je n'avais pas trop aimé son précédent roman (cf la critique de « J'ai dû rêver trop fort » sur « Babelio »), mais c'est pleine d'excitation que j'ai commencé à lire. Dès les premières pages, on retrouve le « style Bussi » : récit construit sur des retours en arrière, chapitres où le lecteur ignore qui est le narrateur (et ces changements de points de vue permettent d'apporter des indices qui, mis bout à bout, apporteront la solution de l'énigme), des références culturelles… Un style que j'avais beaucoup aimé dans « les « Nymphéas noirs » , « Un avion sans elle » ou « «N'oublier jamais ».
Mais ici, le trait est trop appuyé ! Fallait-il citer Brel (le roman lui doit son titre) et insister sur le sens des Tikis par exemple aussi souvent ? A croire que le lecteur n'est pas capable de réfléchir par lui-même et qu'il lui faille (souvent !) l'aider à faire le point sur les indices trouvés : les enquêteurs, le policier Yann et l'ado Maïma, dressent des listes et se posent des questions (dûment numérotées !) à longueur de pages. de même pour ceux qui connaissent les romans de l'auteur, on retrouve les mêmes ficelles employées : je ne serai pas trop précise (car le but n'est pas de révéler qui est coupable !), mais on retrouve l'idée du téléphone qui prévient la victime (un peu tard ?) de l'identité du coupable.
Je dirais que ce roman est trop commercial : ses références peuvent être comprises par tous ( références au procès de Johnny Deep et de sa femme, à Johnny, à D Ormesson, à NRJ…), la fin est trop à l'eau de rose (mais chuut !) et que dire de l'écriture ? Dans les dialogues comme dans le récit, le vocabulaire se veut « dans l'air du temps » : des « ….se fout de moi », « ce salaud se planque», « tenait la route », « « numéro de flic qui se la joue…"….M. Bussi nous avait habitués à plus d'exigence ...Donc bien déçue !
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Roman plat ! II ne se passe rien, on s ennuie
Une redistribution d un vieil Agathe christie
Décevant
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Si vous ne connaissez pas les romans de Michel BUSSI, un conseil : ne démarrez pas avec celui-ci !!

Pfff...quel ennui, et quelle déception.
Je n'ai, me semble-t-il, jamais mis autant de temps à lire un livre de cet auteur.
On est bien loin d'"un avion sans elle", ou de "maman a tort".

Certes, la technique Bussi fonctionne toujours, tout s'imbrique à la perfection, comme dans chacun de ses romans.
Mais qu'est-ce que je me suis ennuyée.
Le récit est beaucoup trop long, les 100 premières pages n'apportent rien. L'histoire est molle, planplan.
Les rebondissements manquent de punch.
Les personnages sont creux et manquent de relief.
Seules les incursions du personnage de Servane Astine m'ont fait sourire.
Beaucoup de descriptions des Marquises qui n'apportent pas d'intérêt à l'histoire car trop redondantes; tout comme les descriptions des scènes de repas prises dans la salle commune.
Bref, je passe.

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Ouf, enfin ! Vraiment contente d'avoir fini ce livre, que j'ai trouvé loooong. Une grosse impression de tourner en rond, dans un paysage certes exotique mais loin de m'avoir fait rêver. Je me suis perdue, j'ai trouvé que rien n'avançait, et qu'on piétinait dans (et sur) l'histoire. Même la plume ne m'a pas trop plu, je n'ai pas cru en l'authenticité des personnages, rien ne m'a séduite.
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Je crois que c'est vraiment le pire d'une grande série de polar que j'ai pourtant bien apprécié.
je n'aime pas dézinguer un livre et encore moins un auteur, car trop souvent on a tendance a mélanger les 2. là je parle de ce livre precisement.
Ce roman pour moi, a ete une véritable "punition" je n'ai jamais mis autant de temps pour finir un roman! et pour tout dire je ne savais pas si j'irai au bout !
ennuie lassitude, a la fois par l'histoire, l'ambiance et les rappels redondants sur les Marquises ( au cas ou le lecteur n'aurait pas bien compris ou ça se passait)
l'intrigue ( si on peut appeler ça une intrigue, est molle, les morts ou pseudos laissent indifférents, tant qu'a l'enquête elle est d'une incohérence totale, des longueurs a n'en plus finir, des répétitions il faut croire que l'auteur était pour ce roman en perte d'inspiration.
bref je n'en rajoute pas plus, pour dire que je n'ai vraiment pas aimé ce livre. a oublier pour moi, et ce ne sera pas difficile ....
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Le titre du roman est le nom de l'hôtel où sont réunies cinq femmes ayant en commun la réussite à un concours. Elles vont participer à l'écriture d'un livre, sous la houlette d'un écrivain déjà reconnu, pendant une semaine sur une des îles Marquises.
Assez vite, l'écrivain disparaît, une des femmes est assassinée, le mystère s'épaissit. Une des femmes est accompagnée de son mari, il va mener l'enquête, assisté de la fille d'une autre participante.
Le style a tout de suite eu une emprise sur le récit, des paragraphes ornés de dessins, à l'instar de ces livres pour jeunes lecteurs, des phrases en langage parlé, écrites au fil de l'eau. Malgré les rebondissements et les suspens évidents, j'ai eu beaucoup de difficulté à terminer ce roman. le propos sous-jacent me dérange, ces femmes toujours rivales, la justice mieux faite par soi-même, etc … L'écriture compte beaucoup pour mon plaisir de lectrice et je n'ai pas su m'adapter à ce style. Je voulais lire un livre de cet auteur célèbre pour savoir ce qui plait tant.
Lien : http://objectif-livre.over-b..
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Qu'est-ce qui ne l'a pas fait, alors ? Déjà, cette alternance de narratrices : elles sont cinq, en toute logique, on aurait dû avoir cinq styles différents. Or, l'ensemble est hyper similaire. Je comprends que ce soit nécessaire pour ne pas tout révéler trop tôt, mais ce n'est pas réaliste, surtout dans le cadre d'un atelier d'écriture. le vocabulaire est pauvre, le style assez familier, et les passages sur la vie aux Marquises trop didactiques pour être honnêtes ; bref, on n'est pas dans de la haute littérature. L'autre point qui m'a passablement agacée c'est, comme dans le précédent, le traitement des personnages féminins. Non, vraiment, ce n'est plus possible de décrire les personnages féminins systématiquement par le biais de leurs seins/fesses, et de glisser autant de petites remarques sexistes dans le cours du récit. J'ai passé plus de temps à lever les yeux au ciel qu'à me passionner pour l'histoire, et c'est fatigant. Donc suite à ces deux lectures fort peu passionnantes, je ne pense pas rempiler avec l'auteur !
Lien : https://encresetcalames.word..
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J'ai souffert le martyre à terminer ce roman. Je n'ai jamais accroché à l'histoire. Les liens entre les personnages, leur histoire, leur raison d'être sur l'île ne m'ont jamais rejoint. le roman est bien écrit, l'idée est originale et différente. Mais sérieusement. Tous les liens que l'auteur essai de nous faire faire pour en arriver avec l'identité du meurtrier et des motivations, bof. Mon premier et dernier Bussi.
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Très pénible à lire. Long et ennuyeux. Une écriture qui laisse à désirer.
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