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3,85

sur 4537 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Je renouais à peine mes amours avec Bussi... et PAF ... déception. le résumé encore une fois m'avait trop emballé ! J'avais hâte de découvrir ce qu'il en était. Malheureusement la seule chose qui était au rendez-vous c'est bel et bien l'ennuie. 

Je n'ai franchement pas grand-chose à dire sur ce roman, tout est tiré par les cheveux, les personnages, la mere, l'enfant, la police. Ça en est risible parfois tellement que c'est absurde. 
La fin ne m'a pas étonnée comme les sois disant retournement de situation de ce livre... Bref... Un long moment de solitude... 
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Avant celui ci j'ai lu un avion sans elle qu'on m'avait offert (voir avis) , là ce fut maman a tort apres ma deception sur le premier j'etais partie tres negative sur celui ci .

A chaque fois que je lis le resumé de ses livres cela attire mais voila ...

Apres quelques pages assez brouillons à nous balader entre deux histoires qui s'entremêlent celle d'un braquage et celle d'un enfant qui dit haut et fort que sa maman n'est pas sa vraie maman . Je tourne les pages en me demandant ou l'auteur veut en venir avec ses deux intrigues différentes tout en me disant qu'il y a forcement un lien entre les deux (pas de surprises de ce coté) .

Les personnages sont assez caricaturaux et certaines choses sont assez étonnantes est peuvent prêter a un sourire un MP3 qui tient 10 mois sans etre rechargé, une facilité à inventer une vie , ou celle de la retrouver tout aussi facilement ...

Par contre je lui mets une étoile en plus (par rapport à celui d'avant) pour les cours de psychologie de l'enfant parfois un peu lourd à lire mais instructif

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« Maman a tort » est ma première rencontre avec Michel Bussi.

Malone a presque 4 ans. A l'école, il voit le psychologue scolaire, Vasile Dragonman, à qui il raconte que sa maman n'est pas sa vraie maman…

Le psy, intrigué et inquiet, mène l'enquête et va aller jusqu'à interpeller pour cela la commandante de police. Elle-même, la commandante Augresse, écoute avec intérêt Vasile mais elle a fort à faire avec un braquage qui a eu lieu quelques semaines auparavant : les coupables et le butin restants introuvables…

Bien que la lecture de ce roman fut facile et que l'idée de départ soit assez originale (l'esprit d'un enfant est malléable tel de la pâte à modeler, et les souvenirs passés 4 ans, se dissipent totalement), je ne l'ai pas vraiment appréciée.

Tout est rocambolesque au possible, invraisemblable, empli d'incohérences : C'est totalement tiré par les cheveux… J'ai presque eu l'impression de lire une mauvaise caricature de roman policier, rien qu'en commençant par les noms des protagonistes…

Le tout fait 500 pages et ça traine en longueurs, avec multiples redondances inutiles…

Je suis assez déçue de cette lecture, Michel Bussi n'est apparemment pas pour moi…
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Une histoire embrouillante où j'ai eu des difficultés à m'y "mettre".
C'est long à "décanter". L'intrigue est intéressante mais les rebondissements pas assez soutenus.
Ce n'est pas le meilleur livre de Michel Bussi pour ma part.
Ce petit garçon est attachant mais les personnages à côté sont plats, non mystérieux, lassants.
Dommage...
On verra avec une prochaine lecture d'un roman de Bussi.


Lien : http://lacabanedemeslivres.b..
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Vous savez, je suis adepte de Michel Bussi, dans ma bibliothèque j'ai tout ses romans. le premier que j'ai lu c'était Un avion sans elle. Ce livre était magnifique et m'a convaincu de suivre cet auteur. Malheureusement tout en me plaît pas dans ses ouvrages. J'ai commencé « Maman a tort » avec une petite appréhension. Je me suis dit pourvu que l'intrigue tienne la route et là j'ai été un peu déçue. C'était pourtant bien parti, je suis vite rentrée dans l'histoire. D'un côté on suit une équipe policière qui enquête sur un braquage qui a eu lieu quelques mois plus tôt, et de l'autre on découvre Vasile Dragonman pédopsychiatre qui s'inquiète pour le petit Malone, 3 ans, qui affirme que sa mère n'est pas la vraie. On se pose des questions, on suit les deux enquêtes on commence à émettre des hypothèses bref un bon début.

Et là apparaissent les problèmes.

Problème n°1 : Les noms de famille.. Non mais sérieusement? Dragonman? Augresse? Pasdeloup? Non mais c'est peut-être un trait d'humour de l'auteur mais pour moi ça décrédibilise déjà l'histoire.

Problème n°2 : Les états d'âmes de la policière et j'ai pas de mari donc je fantasme sur tout ce qui me passe sous le nez, et je me trouve grosse et moche, et j'ai pas d'enfants, et je suis jalouse de mon amie; Ohlàlà laisse moi te dire Michel, si tout ceci doit nous aider à accepter la fin non merci désolé mais non ça ne fonctionne pas.

Problème n°3 : en France on est super doué pour le protocole, pour passer par des intermédiaires pour faire tout ce qu'il faut sans contrarier qui que ce soit. Et là boum le pédopsy il va voir la police de sa propre initiative, sans prévenir personne, avec des doutes infondés, il viole le secret professionnel, les assistantes sociales sont pas prévenues et la police écoute et dit merci on va enquêter. Mais bien sûr…

Voilà ce sont des petites choses qui ne gêneront sûrement pas la plupart des lecteurs, mais moi ça me fait lever les yeux au ciel. Bien sûr le style du roman reste fluide, c'est rythmé par les contes pour enfants que Malone entend, l'enquête est quand même intéressante. Enfin après 400 pages, le dénouement se met en place et là c'est la débandade. Je ne vais pas spoilé dans l'article, mais encore une fois elle n'est pas crédible cette fin ou c'est moi? Je veux bien que chez Michel Bussi ça se finisse a peu près bien à quelques détails près mais là ça ne m'a absolument pas convaincue. Désolé cher auteur, la prochaine fois il faudra faire mieux pour me séduire!
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Je suis déçue par cette lecture, l'histoire du petit garçon m'intriguait, mais que de longueurs pour arriver à l'essentiel.

Je ne peux pas dire ce que livre n'est pas bien, mais je préfère des policiers plus mouvementés, ceux qui aiment les détails et que l'on décortiquent le coté psychologique, trouveront ce livre intéressant, Pour moi, c'es trop décortiqué et long a avancer.

Au départ, j'ai lu toutes les pages, puis peu à peu, je me suis lassée, curieuse de connaitre l'histoire de Malone, j'ai sauté des pages pour lire que ce qui concerné Malone, tout fini par se regrouper et s'expliquer, c'est une belle intrigue, dommage que la construction soit si lente.
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C'est mon premier Bussi et je ne réitérerai pas l'expérience...

Pourtant la quatrième de couverture avec cette histoire d'amnésie infantile axée psychologie de l'enfant m'avait appâtée. Pourquoi ne pas essayer ? Malheureusement, je ne pensais pas que c'était possible de trouver un polar niais, mais ce fût le cas.

J'ai eu beaucoup de mal à m'intéresser à cette intrigue, qui s'évapore en disgressions… Je ne suis définitivement pas fan des polars contemporains et de ces inspecteurs de police encore plus paumés que les voyous qu'ils poursuivent désespérément.

Le personnage de Marianne ne m'a pas touchée, bien au contraire, j'ai développé une sorte d'aversion pour elle. L'ensemble des protagonistes m'a d'ailleurs rebuté, hormis le petit Malone voire Amanda. le comportement et les caractères de tous les autres personnages m'ont dérangé : je les ai trouvés alambiqués, pesants, excessifs, stéréotypés, caricaturaux... et j'en passe.

Et puis cette obsession de l'auteur au jeu de la séduction, cette tension sexuelle à chaque rencontre entre un homme et une femme a pour ma part, ajouté encore un peu plus de lourdeur à ce récit. Je n'y ai pas trouvé d'intérêt.

Je n'ai continué que pour connaître le fin mot de l'histoire, celle de Malone, la partie psychologie de l'enfance aurait pu être intéressante, si l'auteur avait réellement creuser en ce sens, offrant alors un peu de substance à ce roman banal. Je me suis d'ailleurs pris au jeu des petites histoires/contes que Gouti, le fidèle doudou, confie à Malone le soir dans son lit. Elles sont sympathiques, bien imaginées, avec une morale simple mais efficace, et j'ai bien envie de les raconter à mon fils en retour. Au-delà de ça...

Sur la fin, la cadence s'accélère, les mailles du filet se resserrent, j'ai tourné les pages de ce roman un peu plus vite, avec un peu moins d'ennui, si j'ose l'écrire. Même si je n'ai pas réellement été surprise par le dénouement de l'intrigue et que j'ai trouvé le tout un peu trop tiré par les cheveux pour être crédible...

Bref, je n'ai pas été convaincue par cette lecture, j'avais hâte d'en finir et je passe donc mon tour pour les prochains.
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Je n'ai pas aimé. L'auteur a de la pratique : on tourne les pages jusqu'au dénouement. Mais c'est juste de l'habileté. Dans un livre précédent, il y avait déjà une mystérieuse ressemblance entre deux femmes, là ce sont deux enfants qu'on permute. La bande de voyous est issue d'une région dévastée par la dés industrialisation, cela permet de donner une touche sociale et dramatique au contexte. Les dialogues entre les femmes sont d'une grande bêtise. le personnage de la femme commissaire, elle s'appelle Mme Augresse, est caricatural, sans finesse et sans grande intelligence.
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Et bien, Bussi n'a pas l'air d'être pour moi ! Qu'est ce que c'est long quand un roman ne nous plait pas ! J'ai trouvé qu'il y a beaucoup de stéréotypes et des détails poussifs parsemés par ci par là. En gros, je n'ai pas adhéré à l'histoire ni à aucun des personnages. Je ne vais pas insister avec cet auteur.
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Mon avis : J'ai souhaité, non j'avais vraiment envie de lire ce nouveau polar du maintenant incontournable Michel Bussi. Les nymphéas noirs a été pour moi un plaisir de lecture mais avec Gravé dans le sable et à présent ce nouveau roman, je vais me méfier parce que je n'ai pas du tout mais alors pas du tout aimé !

D'un tour de passe-passe fort connu, Michel Bussi nous provoque, pauvres lecteurs influençables et superficiels que nous sommes. Une quatrième de couverture qui nous promet monts et merveilles dans les méandres de la mémoire d'un enfant de trois ans et demi et une couverture qui enfonce le couteau marketing. Cet aspect là mis de côté, on ouvre le livre qui commence par le milieu, nous donnant déjà quelques indices quant à la trame mais qu'on aura beaucoup de difficultés à retenir avant de les comprendre trois cents pages plus loin. Ce roman est un fouillis innommable qui doit perdre beaucoup de lecteurs.

Tous les ingrédients de l'auteur, que l'on connaît à présent, sont réunis, les bons, comme les mauvais. le petit Malone inquiète son psychologue scolaire quand il prétend que sa mère n'est pas celle qui porte actuellement ce titre. Des preuves étayent les propos de l'enfant, des dessins, des peurs mais surtout un instinct. Cette première partie dans laquelle Vasile (notre psychologue) va tenter de s'allier la commandante Augresse à grand renfort d'explications sur le fonctionnement de la mémoire des jeunes enfants est la plus palpitante. Elle est malheureusement parasitée par une seconde affaire qui occupent les polices du Havre, de Deauville et d'autres villages alentours. Ce choix narratif confère à l'embrouillamini que l'on ressent. Premier ingrédient : décrire un méli-mélo afin que le lecteur parte dans des thèses différentes toutes les dix lignes. le deuxième ingrédient est celui du temps car les retours en arrière ou les sauts dans le futur rendent la lecture laborieuse voire très ennuyeuse. le troisième ingrédient qui ne sauve rien, ce sont les clins d'oeil réguliers (Augresse n'est pas le bon exemple) à d'autres oeuvres artistiques.

Quoi qu'il en soit, la sauce ne prend pas et la mayonnaise monte difficilement. Parce que trop c'est trop. Ce qui avait pu surprendre dans “Un avion sans elle” ou “Les nymphéas noirs” c'était la simplicité avec laquelle le lecteur se prend au jeu. Dans ce dernier roman, on se lasse, on s'ennuie malgré les rebondissements répétitifs et on finit par lire en diagonale. Il eut sûrement été préférable de jouer sur la fiabilité des dires de Malone, sur la psychologie des personnages que d'aller aussi loin dans les retournements de situation et les poursuites en voiture. Ce qu'on aurait pensé être finesse n'est que lourdeur et perte de temps.
Lien : http://www.lecturesenb.fr/20..
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