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Citations sur Trois vies par semaine (88)

Elle préférait la solitude, elle y était habituée, une semaine sur quatre, même si ce silence n’avait rien à voir avec celui d’avant, celui des soirs de veille où elle attendait que Renaud l’appelle.
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Quand on fonde un couple, ne construit-on pas une nouvelle famille, en effaçant toutes celles d’avant ?
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Renaud n’était pas vraiment beau, mais il possédait un charme bien à lui. Ses yeux étaient d’un gris particulier, on ne le distingue pas bien sur les photos. Gris crayon-à-papier. Très clair. Une mine entre le 4 H et le 3 H, pour être précise, souvent on en plaisantait. Des cheveux châtain clair, ou blond foncé, comme vous voulez. Et puis il avait cette façon de marcher, soit trop voûtée, soit trop raide, comme s’il ne pouvait régler sa colonne vertébrale que sur deux ou trois positions.
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Il rentrait chez lui, ici, trois semaines sur quatre. Un mari présent, un père aimant, bien davantage que la plupart de ceux qui rentrent tous les soirs, vous pouvez me croire.
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Renaud était un homme attentionné, calme, sans histoire. Un peu trop maniaque et casanier peut-être. Ses seuls défauts. Avec les enfants qu’elle accueillait, c’était parfois compliqué, son obsession que tout soit toujours à sa place. Mais il était d’une telle gentillesse, d’une telle patience…
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Cette garce avait embarqué le soleil avec elle, et ses dernières illusions sur les hommes et les femmes. Côté échec amoureux, parité totale !
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Ce n’étaient pas les mêmes photos, mais c’était sans aucun doute le même homme. Visage long, mâchoire carrée, bouche ironique et surtout deux yeux gris clair qui fixaient l’objectif avec une troublante intensité.
Des triplés ?
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Katel ne croyait pas à l’instinct, au flair, à tous ces trucs inventés pour faire croire qu’on devient flic à cause d’une sorte de vocation mystique, mais elle devina pourtant, au sourire gourmand de son adjoint, que l’enquête dérapait.
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