AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,98

sur 106 notes
5
7 avis
4
9 avis
3
1 avis
2
0 avis
1
0 avis
Je me demande ce qui provoque le désir de lire un livre plutôt qu'un autre. le nom de l'auteur.e, d'abord. le titre, sans doute. La couverture, parfois. le genre, peut-être. La recommandation d'un.e ami.e, évidemment. En ce qui me concerne, tous ces éléments ont une importance. Mais il y a une chose à laquelle je me reporte toujours, sans aucune exception : l'argument donné en 4ème de couverture. Rien ne me donne plus envie de lire un livre ou de ne pas le lire que ces quelques lignes qui me permettent de me projeter dans ma future lecture et d'évaluer si cela pourrait me plaire.

Mais plus le temps passe, plus m'apparaît clairement le défaut majeur de cette habitude. Ma lecture est en effet modelée par cette courte présentation, contrainte en quelque sorte. Dans le livre dont il est question ici, j'ai ressenti cela de manière flagrante. Attention je ne parle pas du fait de dévoiler des éléments-clés de l'intrigue, à la manière de certaines bandes-annonces, dont la vision se termine invariablement par un commentaire du type « Bon bah c'est bon, on a tout vu, pas la peine d'aller au ciné ».

Ici, le synopsis, au lieu d'introduire l'intrigue, la détourne. le roman, tel que je l'ai lu, fait le récit des aventures de Lauren Oya Olamina, prêcheuse païenne à la tête d'une petite communauté de fidèles, mais vu à travers les yeux de sa fille, Asha, qui lit et commente le journal écrit par sa mère. Cette relation à distance entre la mère et la fille est au coeur de l'ouvrage, son ambiguïté en est l'intérêt profond, bien plus à mon sens que la vision dystopique d'une Amérique déclassée et en proie à la violence.

Or cette analyse rétrospective du roman a été polluée tout au long de la lecture par l'idée que j'avais en tête depuis le départ, suite à ma consultation de la 4ème de couverture. J'étais ainsi persuadé que La Parabole des talents, suite de la Parabole du semeur, narrerait les aventures d'Asha en 2032, « célèbre créatrice de jeux virtuels », qui « entre en résistance à son tour », à la suite de sa mère. C'est triplement trompeur. D'abord parce que si l'action démarre en 2032, la lecture du journal débute elle au plus tôt en 2090. Ensuite parce que la profession d'Asha n'est évoquée qu'en passant, dans les dernières pages, mais que cela n'influe nullement sur l'histoire dont il est question. Enfin parce que,

Pourquoi insister sur ces quelques lignes et pas sur le roman ? Parce que je me suis rendu compte à cette occasion à quel point ma lecture s'est retrouvée prisonnière de ce résumé, à quel point je suis passé à côté du sujet en me demandant quand, enfin, le roman rejoindrait le chemin tracé par le synopsis de la 4ème de couverture, quand la fille succèderait à la mère en tant qu'héroïne. Cela ne s'est jamais produit.

C'est bien dommage, car le travail d'Octavia E. Butler sur la foi, la filiation, l'absence, la construction de l'identité est à bien des égards passionnant. J'en tirerai une leçon pour l'avenir : pour se laisser porter et emporter par un roman, mieux vaut en savoir le moins possible !

Je remercie néanmoins sincèrement Babelio et la maison d'édition de m'avoir offert cette lecture dans le cadre de l'opération « Masse Critique ».
Commenter  J’apprécie          422
[Nouvelle publication d'une critique parue sur une autre édition du livre, ce que je me dois de corriger pour remplir mon engagement dans le cadre de l'opération "Masse critique"]

Je me demande ce qui provoque le désir de lire un livre plutôt qu'un autre. le nom de l'auteur.e, d'abord. le titre, sans doute. La couverture, parfois. le genre, peut-être. La recommandation d'un.e ami.e, évidemment. En ce qui me concerne, tous ces éléments ont une importance. Mais il y a une chose à laquelle je me reporte toujours, sans aucune exception : l'argument donné en 4ème de couverture. Rien ne me donne plus envie de lire un livre ou de ne pas le lire que ces quelques lignes qui me permettent de me projeter dans ma future lecture et d'évaluer si cela pourrait me plaire.

Mais plus le temps passe, plus m'apparaît clairement le défaut majeur de cette habitude. Ma lecture est en effet modelée par cette courte présentation, contrainte en quelque sorte. Dans le livre dont il est question ici, j'ai ressenti cela de manière flagrante. Attention je ne parle pas du fait de dévoiler des éléments-clés de l'intrigue, à la manière de certaines bandes-annonces, dont la vision se termine invariablement par un commentaire du type « Bon bah c'est bon, on a tout vu, pas la peine d'aller au ciné ».

Ici, le synopsis, au lieu d'introduire l'intrigue, la détourne. le roman, tel que je l'ai lu, fait le récit des aventures de Lauren Oya Olamina, prêcheuse païenne à la tête d'une petite communauté de fidèles, mais vu à travers les yeux de sa fille, Asha, qui lit et commente le journal écrit par sa mère. Cette relation à distance entre la mère et la fille est au coeur de l'ouvrage, son ambiguïté en est l'intérêt profond, bien plus à mon sens que la vision dystopique d'une Amérique déclassée et en proie à la violence.

Or cette analyse rétrospective du roman a été polluée tout au long de la lecture par l'idée que j'avais en tête depuis le départ, suite à ma consultation de la 4ème de couverture. J'étais ainsi persuadé que La Parabole des talents, suite de la Parabole du semeur, narrerait les aventures d'Asha en 2032, « célèbre créatrice de jeux virtuels », qui « entre en résistance à son tour », à la suite de sa mère. C'est triplement trompeur. D'abord parce que si l'action démarre en 2032, la lecture du journal débute elle au plus tôt en 2090. Ensuite parce que la profession d'Asha n'est évoquée qu'en passant, dans les dernières pages, mais que cela n'influe nullement sur l'histoire dont il est question. Enfin parce que,

Pourquoi insister sur ces quelques lignes et pas sur le roman ? Parce que je me suis rendu compte à cette occasion à quel point ma lecture s'est retrouvée prisonnière de ce résumé, à quel point je suis passé à côté du sujet en me demandant quand, enfin, le roman rejoindrait le chemin tracé par le synopsis de la 4ème de couverture, quand la fille succèderait à la mère en tant qu'héroïne. Cela ne s'est jamais produit.

C'est bien dommage, car le travail d'Octavia E. Butler sur la foi, la filiation, l'absence, la construction de l'identité est à bien des égards passionnant. J'en tirerai une leçon pour l'avenir : pour se laisser porter et emporter par un roman, mieux vaut en savoir le moins possible !

Je remercie néanmoins sincèrement Babelio et la maison d'édition de m'avoir offert cette lecture dans le cadre de l'opération « Masse Critique ».
Commenter  J’apprécie          350
Quatre ans que je repousse cette lecture après avoir fini La Parabole du semeur, le premier tome de ce diptyque. Et je confirme qu'il vaut mieux attendre d'être dans le bon état d'esprit pour le lire, car la violence du premier tome ne fait que croître dans le second. Aux viols et tortures déjà omniprésents s'ajoute un retour à l'esclavage qui ne se cache même plus de l'être.

On y retrouve Lauren, l'héroïne de la Parabole du semeur, qui a réussi après bien des obstacles à implanter sa communauté et envisage de développer la religion qu'elle a créée. le tout dans un monde où catastrophes climatiques s'enchaînent, où règnent l'égoïsme et la loi du plus fort, et où les États-Unis s'enfoncent dans un fanatisme religieux qui les conduit à élire un président fasciste voulant « rendre à l'Amérique sa grandeur » (précision, le livre est paru en 1998).

Comme dans le premier tome, l'histoire nous est racontée à travers le journal de Lauren, qui s'étend cette fois de 2032 à 2035. Néanmoins, ce deuxième tome dispose d'une couche narrative supplémentaire avec le récit de la fille de Lauren, Asha, qui cherche à reconstituer l'histoire de sa mère soixante ans plus tard. Asha voue à celle-ci autant d'admiration que de rancoeur et porte sur la religion créée par sa mère un regard très critique. Cela rend le personnage de Lauren encore plus ambigu que dans le premier tome, où tout était vu de sa propre perspective. C'est peut-être pour cette raison que j'ai trouvé La Parabole des talents un cran au-dessus de la Parabole du semeur.

Ce diptyque dans son ensemble n'en est pas moins l'une des dystopies les plus crédibles et terrifiantes que j'aie lues dans ma vie. Et pourtant, elle n'est pas totalement sombre ni dénuée d'espoir. J'en conseillerais la lecture à quiconque a le coeur assez bien accroché.

En fait, lisez tout Octavia E. Butler.
Commenter  J’apprécie          170
Californie, 2032 -Dans les collines de Humboldt County se fête le cinquième anniversaire de l'installation de la communauté de la Chênaie, voulue et crée par Lauren Oya Olamina Bankole.
Près de soixante membres forment à présent ce groupe, travailleurs, solidaires et unis derrière leur leader charismatique ; ils sont Semence de la Terre.
Une telle unité fait peur, leur croyance gêne et certaines rumeurs les assimilent même à « des païens adorateurs du diable ». Et ce n'est pas l'élection du nouveau président qui va arranger leur affaire : un homme séduisant, à la voix suave et captivante, fondateur de l'Église chrétienne d'Amérique, nommé Andrew Steele Jarret. Lui et ses disciples désirent regagner une patrie perdue selon eux, un retour à une Amérique comme un pays glorieux et conquérant où tous les hommes croyaient à un Dieu unique ; ils veulent au-delà se débarrasser des Adorateurs de Satan, des impies, de la racaille… Et ce, par tous les moyens.
Ce sont de nouvelles épreuves qui attendent Lauren et ses proches, dans une Amérique proche du chaos et où de nouvelles formes de violence émergent. Toutes les réponses sont-elles dans le livre des vivants ?

Je termine l'année 2022 avec ce superbe diptyque socio-politique, qui aborde tout aussi bien des préoccupations climatiques qu'économiques ou sociales. Les enjeux mis en avant par l'auteure se retrouve déclinés dans ce second opus avec encore plus de puissance et d'investissement, tout en conservant une écriture efficace et humaniste.
J'ai découvert là une grande auteure dont je lirai avec plaisir d'autres écrits.
Commenter  J’apprécie          120
La suite des aventures de Lauren, qu'on avait laissé décidée à créer une petite communauté rurale avec quelques adeptes de la nouvelle religion qu'elle a ébauché.

Quelques années plus tard, la petite communauté est florissante : de nouveaux membres s'y sont adjoints, fuyant la violence du monde. Leader non contesté du petit groupe, qui vit selon les principes qu'elle a posé, elle attend son premier enfant... Mais le fanatisme se développe dans l'Amérique de ces années 2030, la communauté va en faire les frais.

J'ai retrouvé avec plaisir les personnages et l'ambiance du précédent volume, mais l'ai tout de même trouvé moins intéressant. Raconté du point de vue de la fille de Lauren, qui n'a jamais pardonné à sa mère de ne pas avoir réussi à la protéger, il n'a pas la même profondeur psychologique que "La paraoble du semeur", et la fin m'a paru un peu rapide.

A lire surtout pour aller au bout de l'intrigue commencée dans le premier tome.
Commenter  J’apprécie          100
« La Parabole des talents » débute à peu près à la fin de « La Parabole du semeur ». Pas de coupure chronologique donc, mais un changement de narration, puisque nous est donné à lire le journal de Lauren Oya Olamina dans un long flash-back (nous sommes en fait en 2090) et à l'aune du ressenti de sa fille Larkin, alias Asha Vere.
La première communauté Semence de la Terre a vu jour sur la propriété de Bankole, La Chênaie. La vie s'organise autour de la nouvelle religion promulguée par Lauren. Mais en cette année 2033, un nouvel ennemi se fait jour en la personne de Jarret, le nouveau président des États-Unis, extrémiste de droite prônant l'élimination (entre autres) des sectes païennes hors de l'Église chrétienne d'Amérique.
La dystopie proposée par Octavia E. Butler est profondément sombre : pays en cendres, racisme, es-clavagisme, régression du droit en général et celui des femmes en particulier… à bien des égards, « La Parabole des talents » fait écho à « La Servante écarlate », avec notamment la prédominance de la reli-gion étatique et la mise sous le joug des femmes.
Cependant, l'ouvrage d'O. E. Butler met avant tout en lumière la religion, la foi, la vocation à se dé-passer et à prendre des risques pour accomplir sa mission sur terre.
Les propos d'Olamina, poétiques dans le premier tome, sont ici beaucoup plus prosélytiques : tous les événements, toutes les pensées de la narratrice sont tournés vers le développement et la diffusion de ses croyances. La destruction de la communauté, l'esclavage subi durant pratiquement deux ans, le vol de sa fille, même la mort de son mari, sont transformés par Olamina en des briques supplémentaires pour l'élévation de sa religion.
L'auteure ne fait pas dans la dentelle et soumet le lecteur à toutes les horreurs possibles et inimaginables : perte de liberté, torture, viol, vol de tous les biens, kidnapping d'enfants, « rééducation » imposée… Mais ce n'est pas cette violence dans les propos qui m'a le plus gênée. En fait, je n'ai pas réussi, lors de cette lecture, à adhérer, même provisoirement, à la religion et à la « vérité » d'Olamina. Malgré ses promesses humanistes, malgré son respect des autres, malgré sa « noble » mission, tout mon être s'est hérissé à la lecture des mots « religion » et « vérité » accolés.
« La Parabole des talents » est un roman écrit en 1998. Constater, en cette fin de 2021 que Octovia E. Butler a commis un texte si visionnaire est proprement alarmant. La lectrice, et au-delà, l'être humain que je suis, a peine à adhérer à l'idée que l'éducation, la santé, le progrès, l'intérêt pour les autres… ne puissent se concevoir qu'au sein d'une religion, fût-elle « pacifique et humaniste ».
Voilà bien longtemps que je n'avais pas réagi aussi violemment, de façon quasi allergique, à un roman… Preuve s'il en est du talent d'O. E. Butler…
Commenter  J’apprécie          70
Le livre prend plus de temps à s'installer que le premier tome (presque 600 pages ici, soit 200 en plus que dans La parabole du semeur), et on peut un peu mieux prendre la mesure de ce qui se passe dans les États-Unis à cette époque, pour comprendre les enjeux, pour visiter plusieurs communautés, voir ce qui les soude ou les divise. La religion prend une place d'autant plus importante qu'il ne s'agit plus de quelques paroles disséminées mais bien de préceptes ancrés dans la vie quotidienne. Moins de violences que dans le premier sur l'ensemble du livre, bien qu'on n'échappe pas du tout à une nouvelle forme de violence, encore plus pernicieuse, parce qu'approuvée par l'État-Religion - attention donc encore une fois, le contenu est très explicite et peut heurter la sensibilité.

Plus brouillon dans sa temporalité et dans les différents points de vue que le premier livre qui se donnait sous forme de journal intime au jour le jour, écrit par Olamina, La parabole des talents se présente à la fois comme la suite de ce journal intime, avec des extraits d'écrits de son mari Bankole, et un texte de narration qui se situe dans le futur de ces évènements, de la bouche de la fille devenue femme, qui cherche à comprendre ce qui a animé ses parents, cette nouvelle religion, à comprendre son propre parcours à elle. Sans oublier, bien entendu, les passages-éclair de la philosophie/foi de Semence de la Terre.

J'ai trouvé que ce livre apportait des solutions au premier : La parabole des semeurs était tout dans la survie, l'instant, la course, l'instinct, la peur, la fuite, le manque de perspectives d'avenirs, tandis qu'ici on trouve un peu d'espoir, de solidarité, de construction, d'apprentissage, de volonté, de force et de foi. Une utopie qui se forge dans le creuset du totalitarisme et de la barbarie. Les Semences de la Terre finiront-elles par aller se disséminer dans les étoiles ? En tout cas, impossible de ne pas faire le rapprochement avec ce qui se passe déjà / pourrait se passer si rien ne change à un niveau politique, social, économique et environnemental. Quant à la parabole des talents (l'originale), je m'y connais pas vraiment niveau étude biblique, mais selon mon interprétation et en regard de l'histoire écrite par Octavia E. Butler, elle résume bien l'histoire du monde : aux riches le droit d'exploiter planètes, gens et biens, et aux pauvres, aux marginaux et aux exclus le droit de crever tous seuls après épuisement complet (en tout cas c'est ce qui ressort ici).

(voir la critique intégrale sur le blog)
Lien : https://lecombatoculaire.blo..
Commenter  J’apprécie          70
Le premier tome me laisse, encore aujourd'hui, un souvenir poignant. Peut être ai-je lu le second tome trop vite après le premier, car je n'ai pas réussi à rentrer dedans, et à apprécier ma lecture. Trop de violence, trop de cruauté, trop d'horreurs, de pertes, de trahisons... J'avais trouvé La parabole du semeur très dure à lire, et cette fois-ci c'en était trop pour moi. Il s'agit d'un immense roman, magnifique, flamboyant, unique en son genre, mais je n'ai pas le coeur assez solide pour ce genre de récit. Je l'ai terminé assez laborieusement car je voulais savoir ce qu'il se passait, et surtout pour mettre un point à cette histoire qui me hantait. Si vous supportez les lectures difficiles, je ne peux que vous conseiller ce livre, qui est extraordinaire, destiné à prendre racine parmi les étoiles.
Commenter  J’apprécie          30
Je rédige ce petit avertissement pour la présence de scènes de viol, de torture, de racisme, d'homophobie, de sujets liés à la traite humaine. Ce tome est beaucoup plus sombre que le précédent. La fin du tome 1 était pleine d'espoir, ce n'est en revanche pas le cas du tome 2. Alors que dans le tome 1, la plupart des villes américaines se repliaient derrière des murs pour se protéger d'une partie de la population, on assiste à un retournement de situation dans ce deuxième tome. On a un pays qui veut sortir de cette crise post-apocalyptique et qui cherche des solutions pour mettre fin à la violence des hordes armées, des vagabonds… le thème principal sera le choix du dirigeant, un choix très sensible surtout durant une telle période de crise. Mais toutes les périodes de crise sont propices à l'arrivée de dictateurs et à la montée de conservateurs.

Un ultra-conservateur va être élu. On va donc assister à un grand retour en arrière et alors que dans le premier tome, le danger venait de drogués, de délinquants... ici les ultra-religieux seront le principal danger. Lauren étant une femme noire qui a fondé une communauté obéissant à une religion qu'elle a "découverte", vous pouvez deviner la tournure assez sombre de ce récit.

La fin du récit apporte de l'espoir pour l'humanité et un avenir meilleur. cela dit, je reste mitigée sur le sort des personnages.

Chronique complète:
Lien : https://lutinreveurblog.word..
Commenter  J’apprécie          30
voilà de la littérature d'anticipation. En veux-tu en voilà.... C'est fort, puissant comme une digue qui aurait lâché. L'histoire? Si vous aimez l'aventure, l'anticipation vis à vis de notre monde moderne, si vous aimez les discrétions philosophiques, les situations limites qui usent vos nerfs et surtout les romans qu'on ne peut pas refermé avant d'avoir tourné la dernière page, la parabole est pour vous.
Commenter  J’apprécie          30




Lecteurs (289) Voir plus



Quiz Voir plus

Les plus grands classiques de la science-fiction

Qui a écrit 1984

George Orwell
Aldous Huxley
H.G. Wells
Pierre Boulle

10 questions
4884 lecteurs ont répondu
Thèmes : science-fictionCréer un quiz sur ce livre

{* *}