Pour conjurer l'aphasie du langage, le voici en guirlande de chair à revers, sa texture, sa prégnance et le cadavre démesuré de toute éternité. Logorrhée volubile, tout s'échappe : le drapé des fissures, la toile de peau des anges, la tenue des vêtures et la figure articulée de nos représentations inaudibles. Pourtant, parfois juxtaposé aux traces linéaires, surgit le miracle dans cet antre tu du silence carnassier de nos bouches, lorsque le taire se dévoile comme l... >Voir plus