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4,09

sur 465 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Salut les Babelionautes
J'ai lu pour la première fois "Les chroniques d'Alvin le Faiseur", d'Orson Scott Card en 1991, il y a plus de trente ans.
Et a sa relecture je m'aperçois que j'en ai un souvenir nébuleux, pourtant je m'en rappelle des passages significatif.
Tout commence par la naissance d'Alvin, septième fils d'un septième fils, ce qui dans la légende populaire doit lui conférer un certain pouvoir.
Mais Alvin a un ennemi surnaturel, le Défaiseur, et toutes son enfance est parsemé d'accidents qui auraient dû lui coûtait la vie.
Mais à sa naissance était présente une Torche, Peggy, une personne qui voit les possibles chemins de l'avenir qu'emprunteront les gens.
Elle va devenir son ange gardien et lui sauvera la vie un nombre incalculable de fois.
Ce premier tome est paru sout le titre "Seventh Son" en 1987 et il a obtenu le prix Locus 1988, la même année sortira le tome deux "Le Prophète rouge" (Red Prophet, 1988), qui lui aussi obtiendra le prix Locus 1989 et "Le Compagnon" (Alvin Journeyman, 1995) le prix Locus 1996.
Autant dire que Orson Scott Card est un Auteur de talent et au fil des ans j'ai lu toute son oeuvre, mais c'était avant que naisse Babelio, c'est pourquoi j'ai décidé de me replonger dans ses écrits.
Merci à Patrick Couton qui a oeuvré pour assuré la traduction de ses Chroniques, sans son travail une oeuvre magistrale me serait a jamais resté inaccessible.
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J'ai lu ce cycle lorsque j'étais jeune et j'en ai gardé un très bon souvenir. Dans ce premier roman, l'auteur plante le décor avec son monde inspiré par els Etats Unis des années 1800 tout en étant fondamentalement autre chose, comme un monde parallèle dans lequel les gouvernements sont très différents, tout comme les institutions politiques. On découvre celui qui va devenir le héros du cycle : Alvin, doté de pouvoirs puisqu'il est le 7ème fils d'un homme qui fut lui même le septième fils de son père. Alvin n'est pas le seul à avoir des pouvoirs et va devoir combattre une puissance : le défaiseur dont on ne sait pas grand chose. L'auteur a une écriture immersive qui permet au lecteur de se sentir plongé au coeur de l'histoire. C'est un don que n'ont pas tous les auteurs... bon roman de fantasy.
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Dans les années 1800 et dans une Amérique où les sortilèges et les pouvoirs existent, Alvin vient au monde, le septième fils d'un septième fils, ce qui augure un destin exceptionnel. Mais, un ennemi très puissant en veut à sa vie. Par bonheur, il a aussi des protecteurs pour le protéger et l'aider.

Premier de la série de fantasy "Alvin le faiseur" d'Orson Scott Card.

Malgré que je préfère la science-fiction et le fantastique, je me suis laissé emporter par cette oeuvre de fantasy et le talent de conteur de Card.

L'auteur sait comment nous entrainer dans son histoire, et j'ai donc beaucoup aimé.
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XIXème siècle en Amérique, Conquête de l'Ouest. Petite précision : ce n'est pas notre XIXème siècle. Les Chroniques d'Alvin le Faiseur est une uchronie de Fantasy. Les États-Unis ne comprennent ici que sept états, qui sont en conflit avec les français et les espagnols. L'Angleterre est sous la République dominée par un Lord Protecteur et possède une colonie. La Monarchie évincée a également une colonie. Nous sommes donc loin des USA que l'on connaît. L'auteur utilise également des personnages historiques bien connus : Georges Washington est ainsi un rebelle anglais qui a refusé de se battre contre les insurgés par exemple. Il finira décapité. Les lieux géographiques sont également modifiés (Terre de l'Hio pour l'Ohio...).
Vous comprenez donc pourquoi il s'agit d'une uchronie.
Fantasy ? Oui, car la magie existe. Certains possède une sorte de talent qui leur confère certaines capacités (assemblages de choses...). Et le septième fils d'un septième fils est particulièrement puissant car il s'agit d'un Faiseur... Toute cette magie est bien entendu niée par l'Église qui considère tout cela comme des superstitions à éradiquer.
Nous suivons dans ce premier roman Alvin, septième fils d'un septième fils, de sa naissance jusqu'à ses dix ans.
J'ai beaucoup apprécié le style d'écriture, qui nous immerge totalement dans le récit. le traducteur a fait un excellent travail, notamment dans la traduction du patois local qui confère au récit une touche d'authenticité.
Les personnages sont attachants et l'univers (expliqué plus haut) est vraiment intéressant.
Il s'agit ici d'un tome d'introduction où la mythologie se met doucement en place. On apprend ainsi l'existence d'une entité malveillante, le Défaiseur, Némésis d'Alvin.
Pour conclure, un très bon livre qui donne envie de lire la suite.
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C'est la couverture un peu vintage de l'édition de 1990 qui m'a attiré, j'avoue ne pas être fan de fantasy (ma soeur rigole déjà, elle est fan !) mais j'avoue que ce premier tome (j'ai dû être ensorcelée car je n'avais pas vu qu'il y avait plusieurs tomes) m'a bien plu et je suis donc allée rapidement emprunter les deux suivants , NA !!
L'histoire se déroule au XIXé siècle en Amérique, c'est l'époque des pionniers et des convois de chariots vers l'ouest , des "Rouges" qui scalpent.
Mais dans cette histoire, il est aussi question de destin exceptionnel, de pouvoirs, de charmes et de sortilèges.Comme il est écrit en quatrième de couverture, c'est à la fois un conte, un roman de mystère et d'aventure.
C'est original à souhait pour me plaire.
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Orson Scott Card narre les premières années d'Alvin le Faiseur, septième fils d'un septième fils, nanti de pouvoirs surprenants. Nous suivons une famille de pionniers américains dans une ville en construction et l'opposition entre la religion officielle et la sorcellerie. Un roman très plaisant qui mêle habilement une Amérique historique et une étrangeté fantastique.
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« Sylvain ! Sylvain !
— Quoi encore, Nathan ?
— le confinement est fini ! Masse Critique a enfin réussi à t'envoyer un livre offert par Babelio et L'Atalante, c'est super génial de leur part !
— J'ai déjà 2500 pages à lire ce mois-ci ! Je parle même pas des articles que j'ai promis d'écrire ni de mon compte en banque en Suisse dont je dois désinfecter chaque billet !
— Par contre, je t'avertis direct : si tu le finis pas d'ici trente jours, ils vont lancer à tes trousses le fantôme de Pablo Escobar !
— Caramba ! Je lui dois mille balles, à celui-là ! Envoie-moi le bouquin ! Pas sur le nez, imbécile ! »

C'est le gros zbeul niveau critiques : hier, je devais commencer de lire Walden dans les bois (avant-hier en fait, avec le retard pris sur les nouvelles de Jack Vance), sauf qu'il pleut comme vache qui pisse, et c'est bien parti pour continuer le lendemain. Je commence donc à lire à la place un autre livre qui devait recevoir sa critique le 3 juillet… et le lendemain il fait un soleil radieux.
J'ai donc commencé un peu n'importe quand le tome 1 d'Alvin le Faiseur — et un peu n'importe comment, il faut bien le dire, puisque je suis passé du chapitre I au chapitre IV comme je commence à me faire gâteux (19 ans, c'est long…) ; un livre qui pourtant mérite qu'on s'attarde dessus, car le septième fils (non, pas l'énième série B étalonné comme une brique) constitue la première pierre d'un vaste édifice de la bibliographie d'Orson Scott Card. Ce que certains n'hésiteront pas à qualifier de swords and sorcery encore que pour ce premier volume il s'agisse d'une classification très discutable, mais qui s'avère avant tout une des premières sagas populaires de fantasy postmédiévale.
Fantasy postmédiévale car tentant de créer une mythologie étasunienne à l'instar de Tolkien qui voulait créer au travers de ses ouvrages une mythologie britannique. Et comme l'occasion est trop belle, pour ceux qui me suivent sur le blog, on va s'écouter du rock pour l'occasion plutôt que de l'électro !
— Heu, Sylvain… C'est pas déjà le terrain de chasse un peu gardé d'un certain dieu à tête de serpent ?
— Je m'en fous, je veux mettre du Wytch Hazel ! de toute façon j'ai jamais de vues, sauf lorsque je mets le mot Ken Liu quelque part dans mon article, donc… Oh, zut.

Worldbuilding

L'idée était donc de reprendre les croyances des colons américains alors qu'ils s'installaient sur leurs nouvelles terres ; celles-ci se mêlent à leur quotidien de dur labeur. Si l'histoire se passait de nos jours et pas en des temps (relativement) reculés, on pourrait parler ouvertement au moins pour ce premier tome de réalisme magique, ce sous-genre de la fantasy où le merveilleux se mêle discrètement à la vie de tous les jours. Mais il faut aussi compter sur un aspect uchronique où Anglais, Espagnols et Français se disputent encore l'Amérique à une heure où les US auraient déjà dû constituer une nation forte. D'habitude, vous savez que j'aime pas trop les doubles postulats, c'est-à-dire on va te parler des conséquences d'un truc, sauf qu'en plus on va te raconter celles d'un autre truc : ça peut créer de bonnes intrigues mais à surcharger son récit de high-concepts, ils finissent par empiéter les uns sur les autres au point que si l'un avait été absent, les effets de l'autre auraient été peut-être différents du tout au tout. Ici, ça n'est pas franchement grave, étant donné qu'on est dans une conquête de l'Ouest ouvertement fantasmée, ne cherchant pas à établir un compte-rendu historique mais à mettre en scène ses différents mythèmes (= éléments mythologiques).
C'est donc la guéguerre entre les Treize Colonies réduites à Sept, les Colonies de la Couronne Anglaise, la Floride espagnole accompagnée de Nueva Barcelona, le Québec et l'Acadie dominés par la France, l'Appalachie qui déclare à son tour son indépendance, les territoires encore non conquis et ceux où les pionniers tentent de s'implanter (dans quel État je me suis mis dans tous ces états ? Des États aux États-Unis, y'en a des tas). La vie est dure et Card n'épargne rien, qu'il s'agisse des châtiments corporels qui étaient la norme à l'époque, des risques de se faire buter à tous moments par la nature sauvage, de l'intolérance religieuse et raciale qui régnait en maître, mais sans faire de tous ses personnages des crevures irrécupérables, mais bel et bien des êtres humains maladroits, balbutiants, remplis de faiblesses mais aussi s'apportant les uns aux autres un peu de chaleur humaine. Que de la fantasy et de l'uchronie puissent ainsi réécrire une époque, sans nier aucunement l'austérité de ses modes de vie ni pondre de personnages en carton-pâte, envoie déjà une sacrée bûche dans la tronche d'une certaine revue de cinéma qui de toute façon s'est faite racheter récemment ; de quoi faire avaler le dentier à quelques réactionnaires.
Le petit Alvin Junior naît donc dans ce contexte troublé, sauf qu'il est le septième fils d'un septième fils, et donc possède un certain pouvoir sur les quatre éléments, qui, selon les légendes anciennes, sont doués d'une certaine forme de conscience. Or, l'eau a l'air de ne vouloir mais alors pas du tout qu'il se mette à exister…

Intrigue, style, personnages

On suit donc l'enfance d'Alvin ignorant ses pouvoirs, enfant audacieux, effronté même, jamais au bon endroit au bon moment. Un rôle qui oscille entre l'amusement et la frustration vu la surcouche de moraline de la société par moments ; mais Card sait trouver le bon ton, empathique avec les paysans et les enfants pour ne pas les mépriser, tout en restant suffisamment distant et comique de manière à ne pas rendre le quotidien de son héros étouffant. Même les plus grosses énormités, bêtises de gosse ou menaces parentales, passent comme du beurre là où elles auraient pu demander chez un autre auteur une certaine suspension d'incrédulité.
Et même les personnages antagonistes finissent par s'avérer touchants de par leur désir de bien faire : s'ils s'opposent au héros ou à ses pouvoirs, c'est par envie de lutter contre les superstitions ou les mauvais versants que ceux-ci pourraient contenir, et tenter d'instaurer un ère de piété mais aussi de rationalité, bref de paix, dans ce nouveau pays à construire. Devant leur maladresse à saisir ce qui est bien de ce qui est mal, leurs tourments et leur incapacité de réagir de manière saine et non-violente, il est difficile d'en vouloir à n'importe quel personnage tant il se révèle humain.
On se souviendra enfin de l'apparition du poète William Blake dans le roman, se faisant appeler Mot-pour-Mot, vagabond mystique au début incompréhensible mais qui peu à peu va se faire un allié pour Alvin, véritable soutien pacifique et raisonné dans ce monde dur où celui qui a le plus de muscles ou qui fait culpabiliser autrui est toujours celui qui a raison.

Conclusion

En résumé, Le septième fils s'annonce un bon début de cycle de fantasy avec son charme et son ambiance ; pas sûr en revanche que je le suive jusqu'au bout étant donné que la vie dans les campagnes d'antan est un brin éprouvante et manque de batailles magiques. Mais on reste sur du très bon choix, que je vous invite évidemment à lire, parce qu'après tout, c'est pour votre culture…
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Ce roman prend son temps mais instaure une belle mythologie américaine, selon le voeu de l'auteur explicité dans la nouvelle préface datant de 2020. A l'instar de Tolkien pour l'Angleterre, O. Scott Card ancre les traditions américaine dans ce roman afin d'en porter les racines au monde, de partager les difficultés de cohabitation entre Yankees, "Rouges".. et les confrontations entre catholiques et croyants en des charmes, pouvoirs surnaturels et autres éléments de la nature.
C'est une vie simple, remplie de labeur et de questionnements moraux. le traducteur a d'ailleurs fait un très bon travail en rapprochant l'accent de la version originale par un accent français "campagnard" caricatural.
Les personnages sont forts, intelligents et intéressants, chacune et chacun offrant son caractère unique au lectorat. J'ai apprécié ce voyage et j'ai hâte d'entamer les tomes suivants afin de creuser cet univers déjà bien implanté par ce premier tome et surtout d'observer l'évolution d'Alvin junior et le développement de ses valeurs et jugements.
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Alvin, septième fils d'un septième fils nait au début d'un XIXème siècle en Amérique du nord alors que sa famille émigre vers l'Ouest sauvage, territoires de pionniers où la magie et les Indiens sont omniprésents. On attend des merveilles de sa part, et nous découvrons ses dix premières années alors que des forces contraires vont tout faire pour l'éliminer …


Dans cette Amérique alternative certaines colonies commencent à se fédérer et l'identité américaine se développe. L'Est est structuré et reproduit en partie le vieux monde, mais les immigrants, dont beaucoup sont issus des persécutions menées par l'église et les gouvernements de la vielle Europe envers ceux qui possèdent un don, émigrent en masse vers l'Ouest afin de pouvoir posséder des terres et de pouvoir vivre libres. Les pouvoirs et la magie sont omniprésents chez ces pionniers et font partie de la vie de tous les jours.


La nombreuse famille d'Alvin, ingénieuse et entreprenante s'installe et défriche sa terre dans un territoire presque vierge mais au fil des années d'autres familles s'installent à proximité jusqu'à presque former un village. L'arrivée d'un pasteur Anglais va vite encourager à bâtir une église surdimentionnée en prévision du développement anticipé. Ce pasteur est un intégriste, fidèle au dogme et partisan de la science contre ce qu'il considère comme des superstitions obscurantistes, très vite il va s'opposer à la famille d'Alvin.
Il s'attaque aux pouvoirs surnaturels, les jugeant diaboliques, il croit être au service de Dieu et recevoir l'aide d'un ange et prend Alvin en grippe, surtout que celui-ci, d'à peine dix ans développe une opposition argumentée et logique face aux absurdités du dogme avec humour. Qui détient la vérité ?


La réalité des pionniers est bien restituée et apporte une dimension supplémentaire à ce roman de fantasy où se mêle la magie à une critique des dogmes fanatiques et à l'aventure de tous les jours des défricheurs de territoires vierges. Un excellent roman abordable sous plusieurs angles pour le plaisir de tous les lecteurs.
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Quand j'ai vu cette nouvelle édition, ça m'a décidé d'enfin commencer cette série dont j'avais entendu parlé depuis pas mal d'année. Je me suis donc lancée dans la lecture de Les chroniques d'Alvin le Faiseur T1 : le septième fils d'Orson Scott Card, publié chez les éditions L'Atalante. Un roman de fantasy original, qui me donne envie de découvrir ce que la suite réserve.

Ce roman nous plonge au coeur de la terre des pionniers d'Amérique, dans les année 1800. Nous y suivons principalement la famille Miller qui vient s'installer dans les territoires de la Wobbish à Ouest de l'Appalachie. Leur voyage ne sera pas de tout repos, surtout que la mère de famille est enceinte de son 7ème enfant et que la famille finira endeuillée avant d'arrivée à destination.

Nous suivons principalement le destin de Alvin junior, le septième fils d'un septième fils, qui est destiné, selon la croyance populaire, à avoir des talents spéciaux. Cette croyance en la magie est assez ancrée dans la population, or cela ne plaît pas à l'église qui veut faire disparaître ces croyances païennes/superstitions, et le prêtre de Vigor Church compte bien éduquer et convertir les habitats à sa façon de voir les choses.

Alvin est un garçon spécial, il a le don de travailler la matière, que ce soit le bois, la pierre…. Et même d'autres matières surprenantes (je n'en dis pas plus de peur de spoiler^^). Mais depuis avant même sa naissance, il est également constamment en danger, l'« eau » cherche à lui faire du mal, voir à le tuer, de toute les manières possibles.

On découvre donc sa vie, sa famille, ses rencontres qui vont lui faire ouvrir les yeux sur son don, son but et les dangers qui l'entoure.

L'histoire est assez complexe et donc difficile à résumer, mais l'histoire est vraiment prenante, la famille Miller est très intéressante et Mot-pour-mot, un personnage qui apporte une bonne explication sur le contexte historique de l'époque et qui a une vision des choses originale.

Au final, la lecture est agréable, l'action pas très présente, je m'attendais à ce qu'il se passe plus de chose, mais comme Alvin est encore jeune et n'est qu'au balbutiement de son don, cela risque de changer par la suite. C'est donc un bon 1er tome qui me donne envie de découvrir ce que la suite réserve !
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