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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Charlie et Jaime se sont rencontrés à la fac de San Francisco.
Ils se sont aimés,se sont mariés. Nous sommes à la fin des années 50, ils ont un même rêve,un même projet, faire de la littérature comme leurs aînés de la beat génération.
Charlie veut écrire " son grand roman de guerre " lui le vétéran de la guerre de Corée.
A la naissance de Kira ils quittent la Californie et s'installent à Portland en Oregon."Un dernier verre au bar sans nom" est un roman qui parle des écrivains,des livres et de la difficulté à être reconnu.
C'est un récit où l'amitié à sa place malgré les jalousies,les rancoeurs.
Il y a un personnage que j'ai adoré et qui sort du lot c'est Stan Winger le cambrioleur,un homme que la vie n'a pas ménagé,un homme qui doute de tout et qui va découvrir sa voie dans sa cellule.
Le roman s'étale sur une quinzaine d'années, on retrouve les personnages à San Francisco, dans les bars de Sausalito,ces quartiers bohèmes où l'alcool coule à flot et la marijuana embaume l'air de Malibu ou Venice, les paradis artificiels façon Baudelaire.
Hollywood n'est pas loin pour peu que l'on veuille vendre son âme au diable.
Pas besoin d'être grand clerc pour vous dire que j'ai aimé ce roman même si par moment j'ai été dérouté par le style de Don Carpenter."un dernier verre au bar sans nom"est un roman qui donne envie d'écrire,ce fut le cas pour moi, j'ai redécouvert deux debuts de roman que j'avais écrit il y a quelques années.
J'espère vous avoir donné envie de lire le dernier livre de Don Carpenter avant son suicide en 1995.
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Livre sur l'écriture mais aussi sur la famille, la désillusion et la quête du succès, Un dernier verre au bar sans nom est paré d'une douce mélancolie, celle de la Californie des années 1960. Entre attirance pour Hollywood et appels longue distance vers la côte Est, les héros de ce roman choral vacillent, tapent sur leur machine à écrire tout en tenant un biberon dans une main et un verre dans l'autre (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2023/02/28/un-dernier-verre-au-bar-sans-nom-don-carpenter/)
Lien : https://pamolico.wordpress.c..
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Don Carpenter (1931-1995) est un écrivain américain, auteur d'une dizaine de romans, de nouvelles et scénarios de film. A la fin des années 80 il est touché par différentes maladies, tuberculose, diabète, glaucome et après plusieurs années de souffrances, il se suicide en 1995. Un dernier verre au bar sans nom, n'était pas complètement finalisé quand Don Carpenter s'est donné la mort ; l'écrivain Jonathan Lethem explique dans la postface les quelques retouches qu'il a apportées au bouquin avant qu'il ne soit enfin édité aujourd'hui.
Le roman court de la fin des années 50 jusqu'au milieu des 70, entre San Francisco et Portland. Alors que la Beat Generation rebat les cartes de la littérature, un groupe de jeunes gens rêve d'une vie d'écriture dont Charlie qui revient du conflit en Corée avec le puissant désir d'écrire « LE » grand livre sur la guerre. Sur les bancs de la fac, il rencontre la très talentueuse Jaime, jeune fille de la classe moyenne. Quels écrivains vont devenir Charlie, Jaime et leurs amis… ?
Si le premier roman de l'écrivain, Sale temps pour les braves m'avait tapé dans l'oeil, celui-ci m'a crevé le second. Tout y est excellent. le sujet, la construction et l'écriture.
Le sujet, c'est la littérature ou plus précisément, sa place dans la vie de ceux qui se rêvent écrivains. Tous les personnages du roman écrivent, la différence entre les uns et les autres, c'est que certains seront publiés, d'autres non. L'écrivain décrit ces parcours, faits de hauts et de bas, d'espoirs, de déceptions ou de réussites, de compromis. En choisissant des figures chargées de passés divers, Charlie revient de la guerre, Jaime est une jeune fille de la classe moyenne avec des ambitions, Stan est un cambrioleur, Dick s'est forgé une petite réputation locale à Portland après qu'une de ses nouvelles soit publiée par Playboy, Don Carpenter peut couvrir tout le champ des possibles. de San Francisco à Hollywood, il n'y a qu'un pas et les sirènes du cinéma corneront aux oreilles de certains avec des promesses d'argent facile, sauf que le cinéma n'a pas besoin d'écrivains, il veut des scénaristes, ce qui n'est pas exactement la même chose…
La construction du bouquin rend parfaitement compte de ces destins qui se croiseront, se lieront, se délieront ou se recroiseront au fil des années, tissant une toile où tel ou tel apparaît puis disparaît durant plusieurs chapitres avant de revenir, changé par les ans et les évènements. Ce très beau roman est servi par l'écriture de Don Carpenter, qui là encore, comme je l'avais noté dans son premier ouvrage, s'avère d'une très grande simplicité à la lecture, pas de mots compliqués ou de tournures de phrases chiadées, tout coule, laissant croire que la littérature serait à la portée de tous, la forme démentant le propos.
Si l'écriture et l'ambition de devenir écrivain sont au coeur du livre, il y est aussi question d'amour et d'amitié, en un combat perpétuel toujours difficile à gérer, « Les écrivains ne devraient jamais se marier entre eux, de toute façon, songea Jaime. On est trop égoïstes. »
A consommer sans modération.
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Avant de vous parler du contenu de ce roman, je veux d'abord vous raconter son histoire. Ce roman écrit par Don Carpenter a été découvert bien après le décès de l'auteur. Bien qu'il soit inachevé, Jonathan Lethem admirateur passionné s'y est attelé car "la voix était là, l'architecture solide, les intentions astucieuses de Carpenter abouties. Savoir que le livre était bien là, que Carpenter l'avait mené à son terme, qu'il soit publié ou non, rendait le monde plus vaste, pas énormément, mais de manière décisive." Et comme il le dit dans la postface, il a principalement "élagué ». "Et en tout, ce livre ne doit pas contenir plus cinq ou de huit pages" de sa main.

Fin des années 50. Portland. Charlie ancien combattant de la guerre de Corée a débuté un "grand " livre sur la guerre. A la fac, il rencontre Jaime âgée de dix-neuf ans dont le père est journaliste mais aussi alcoolique. Elle tombe amoureuse de Charlie que les professeurs jugent brillants. Elle aussi a l'ambition de devenir écrivain. Cette fille de la classe moyenne voit son monde s'écrouler à la mort (peu glorieuse) de son père. Dick a une une de ses nouvelle publiée dans Playboy alors que Stan petit cambrioleur se met à écrire en prison. Jaime enceinte, Charlie et elle partent en Oregon où il a décroché un boulot d'enseignant à la fac.

Ils sont tous amis et rêvent de dérocher le sésame de l'écrivain. de Portland à San Francisco en passant par Hollywood, entre fêtes, alcool, gueules de bois, désillusions, espoirs et compromis, c'est une immersion globale. Se frayer un chemin, se faite publier, écrire pour le cinéma, renoncer à ses ambitions : dans cette Amérique post "Beat Generation" chacun d'entre eux tente de réaliser son rêve.
Avec réalisme et sans concession, Don Carpenter dépeint ces parcours sur plus d'une dizaine d'années qui se séparent, se croisent, se retrouvent où l'amitié et l'amour sont égratignés. Des personnages habités par l'écriture, attachants, humains avec des failles.
C‘est bluffant et ce roman est complètement addictif. Que ça soit l‘atmosphère d'un bar ou les états d'âme des personnages, tout est parfaitement réussi !
Un livre brillant servi par une excellente traduction !


Lien : http://claraetlesmots.blogsp..
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Roman semi-autobiographique, publié après le suicide de Carpenter, et parachevé par J Lethem.

Dans la période de la beat génération, mais sans lien littéraire évident, une jeune génération s'essaye à l'écriture sur la côte ouest, notamment SF.

Une très belle écriture pour un roman initiatique pour plusieurs écrivains potentiels, l'amour des petits bars enfumés sur fond de jazz en toile de fond. Carpenter avait décidément beaucoup de talent, notamment pour mettre en scène les illusions perdues.

Je découvre cet auteur par ce livre, mais j'ai rudement envie de m'attaquer à 'Sale temps pour les braves'.







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Fin des années 50, Charlie et Jaime se rencontrent sur les bancs de l'université et tombent amoureux. Revenu du conflit de Corée durant lequel il a été prisonnier, il rêve d'écrire LE grand roman sur la guerre. Jaime aussi rêve d'écriture. Toute jeune femme issue de la classe moyenne, elle découvre à la mort de son père les infidélités et l'alcoolisme de ce dernier. Après un mariage en petit comité mais bien arrosé, les amoureux s'installent en Oregon où Charlie a trouvé un boulot d'enseignant.

de cafés en discussions, ils se lient d'amitié avec d'autres auteurs. Dick publie des nouvelles dans Playboy tandis que Stan, jeune cambrioleur, écrit des romans noirs. Les personnages évoluent sur une dizaine d'années, et nous observons les liens d'amour et d'amitié qui se font et se défont, les ambitions réalisées et les désillusions.

Ce récit est avant tout une ode à l'écriture et aux écrivains, l'écriture comme rêve et comme talent mais aussi comme dur labeur. Je m'attendais à trouver des personnages un peu caricaturaux, noyés dans la drogue et l'alcool mais non, ils sont pleins d'ambitions, d'espoirs et je me suis attachée à chacun d'entre eux, avec leurs doutes, leurs failles et leurs moments de grâce.

Un excellent roman qui nous laisse un arrière-goût rafraîchissant et amer, comme une bière en été.
Lien : http://enlivrezvous.typepad...
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Roman posthume de Don Carpenter, écrivain que l'on redécouvre ici, 10-18 en soit remerciée, Un dernier verre au bar sans nom est mon quatrième livre de cet auteur. J'ai chroniqué ces trois autres romans. Avec beaucoup d'enthousiasme La promo 49, avec ennui Deux comédiens, avec intérêt mitigé Sale temps pour les braves. Mais ce dernier verre m'a régalé. Je pense au Bison qui devrait apprécier ce tableau de groupe de la Côte Ouest, une douzaine d'années fin fifties début sixties. Don Carpenter arrive après la génération beat, Kerouac, Burroughs, Ginsberg. Il n'est pas un écrivain de la route, plus proche de Richard Brautigan. Comme beaucoup Carpenter a cafouillé un peu du côté d'Hollywood sans laisser beaucoup de traces.

Dans Fridays at Enrico's (en V.O.) il nous immerge dans la vie littéraire et libertaire de cette bohème californienne des années soixante juste avant l'explosion flower. Un couple, Jaime et Charlie, tous deux écrivains, Jaime plus douée que Charlie, entre succès d'édition et impuissance créatrice. Tout ce bobo monde est remarquablement bien campé par Carpenter qui connait le sujet. Et puis il y les autres, les amis, souvent rivaux, Dick, Stan, parfois passés par la case prison, toujours par l'inévitable et si conformiste case paradis artificiels, ça me fatigue ça. Certains feront même fortune, piscine et "parties", en quête de ce qui pourrait ressembler au bonheur. Cette "pursuit of happiness" se révèle la plupart du temps "so vain". Je sais, j'ai truffé de mots anglais mais honnêtement ce livre est tellement West Coast... (tiens, je recommence).

C'est donc une formidable balade dans cet univers de marginaux parfaitement snobs, n'ayant pas peur des contradictions, mal à l'aise dans le milieu mais crachant rarement sur les royalties. C'est aussi un roman écrit par un Carpenter malade et déprimé qui, on le sait, rejoindra son vieux pote Brautigan dans l'ultime nuit volontaire. le plus difficile dans ce beau roman est de ne pas s'effondrer de nostalgie, de ne pas céder aux sirènes du Pacifique et du c'était mieux avant. Et puis après tout on s'en fout. Ce texte est souvent très fort et on les aime ces semi-losers qui ont été là, sur Laurel Canyon, finalement au bon endroit au bon moment. Je vous conseille d'y faire un tour. Moi, j'ai aimé, bien que ma West Coast à moi soit plutôt seventies et se réfère surtout aux musiciens.
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Un dernier verre au bar sans nom me faisait très envie sur le catalogue 10/18 car j'aime beaucoup les romans qui traitent de rêve et désillusions dans le milieu artistique. Il y a presque un an, je découvrais La vallée des poupées de Jacqueline Susann qui parlait des femmes dans le milieu du spectacle, ici il est question de littérature et des auteurs à Hollywood.

Tout commence avec la rencontre de Jamie et de Charlie sur les bancs de l'université. Elle vient d'un milieu aisée et souhaite devenir écrivain. Lui revient de la guerre de Corée et souhaite coucher son expérience sur le papier. Entre eux le coup de foudre immédiat. Charlie obtient une bourse pour pouvoir écrire son roman et Jamie tombe enceinte de Kira. Ils décident donc de se marier et de partir vivre en Oregon.

Autour d'eux vont se greffer des personnages plus ou moins importants. Des gens qui vont se greffer autour de ce couple et qui rêvent, eux aussi, de devenir des auteurs incontournables. Ou faire de l'argent. Ou les deux. Certains vont réussir et d'autres vont changer de carrière. Même pour notre couple, tout ne va pas se passer comme prévu.

Le roman se déroule pendant 15 ans et sur six parties. Concernant le couple Charlie/Jamie, tantôt j'ai adoré l'un et détesté l'autre et vice-versa. Don Carpenter dépeint des personnages qui ne sont pas manichéens et j'ai beaucoup apprécié cette authenticité qui ressort de ses personnages. Malgré tout, j'avoue avoir eu ma préférence pour Charlie car il se rend compte de ses limites en tant qu'écrivain et choisit une autre voie parce qu'il juge qu'il y a plus important.

C'est Jamie qui sera l'écrivain du duo. Si elle devient de plus en plus insupportable tout le long du roman, j'ai beaucoup apprécié la façon dont elle vivait son art. Don Carpenter a très bien su décrire la passion et la concentration que nécessite l'écriture d'un roman. En personnage secondaire, Stan vaut également le détour. Ancien détenu, il rêve d'écrire un roman et de sortir du système. En prison, il choisit de créer son roman, mais sans papier ni stylos, il décide de l'apprendre par coeur. A sa sortie, il tape son texte et le vend et devient la coqueluche d'Hollywood.

Hollywood, autre thème que choisit de traiter Don Carpenter. Dans le roman, tous les écrivains qui ont réussis à vendre un de leurs romans arrivent très facilement à voir arriver Hollywood à leur porte pour acheter les droits d'adaptations. Malheureusement, aucun ne verra le jour. Charlie est lui aussi contacté pour que son roman inachevé devienne un film. Par ce personnage, Carpenter nous montre que l'auteur à Hollywood est certes très bien payé, mais qu'il doit réviser son message, son intention au divertissement. Ne pas avoir peur de tuer à coup de hache son roman. C'est une critique acerbe de l'auteur sur Hollywood qui, à l'époque de l'écriture du roman, était en plein âge d'or.

Un dernier verre au bar sans nom est un très bon roman et je suis ravie d'avoir pu le découvrir. Des personnages forts, des thèmes très intéressants, il n'en fallait pas plus pour que j'adore ce roman.
Lien : https://popcornandgibberish...
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Ouvrir Don Carpenter c'est se prendre en pleine poire les vents d'une nostalgie qu'on n'a pas connue. C'est côtoyer la Beat Génération tout en restant simple spectateur, de peur de salir le décor, mais en s'estimant déjà chanceux de pouvoir les « approcher ».

Un dernier verre au bar sans nom dresse le portrait de personnes plus ou moins douées pour l'écriture, vivant en quelque sorte dans l'ombre de Kerouac, Ginsberg ou encore Richard Brautigan. Tout en étant fidèle aux thèmes qui sont chers à Carpenter (l'univers carcéral, l'homosexualité, le milieu d'Hollywood, …), on est donc invités à voyager d'une côte à l'autre des Etats-Unis tout en jubilant du génie de l'auteur. Impossible de terminer un paragraphe sans se dire « ce type à tout compris à la littérature américaine et à la frustration du rêve américain non abouti».

Roman inachevé, publié à titre posthume, c'est en prenant son temps à lire chaque ligne, en étant le plus concentré possible qu'on parcourt les 380 pages de ce récit sensible et gigantesque, avec dans le bide une sorte de jalousie admirative pour l'auteur.

Rien que les contrastes entre ces personnages destinés à devenir de grands écrivains qui se cassent la gueule, de voir des paumés devenir des dieux littéraires vivants qui finissent par se faire bouffer par l'industrie du cinéma américain des années 60 valent ce putain de détour.

Pour moi c'est un grand oui, un Kerouac en mille fois moins chiant, un prélude au Karoo de Steve Tesich tant les portraits de cette Amérique semblent authentiques.

Z'avez pu qu'à vous ruer dessus !
Lien : https://www.instagram.com/lo..
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4ème de couv': "Fin des années 50, entre San Francisco et Portland, alors que la Beat Generation rebat les cartes de la littérature sur fond de jazz, un groupe de jeunes gens rêve d'une vie d'écriture, Charlie revient de la guerre de Corée avec le puissant désir d'écrire « le Moby Dick sur la guerre », Sur les bancs de la fac, il rencontre la très talentueuse Jaime, rejetonne de la classe moyenne. Coup de foudre quasi immédiat. Mais au temps de l'amour succède celui de l'apprentissage, et les rêves vont devoir s'accommoder des tours joués par la vie. Quels écrivains vont devenir Charlie, Jaime et leurs amis : le flamboyant Dick Dubonet, le voyou orphelin Stan Winger ou encore le discret Kenny Gross ? Un ex-taulard peut-il intégrer le monde des lettres ? Un écrivain peut-il vraiment conquérir Hollywood ?"

MON AVIS: Ce roman à une atmosphère particulière. Tous ces apprentis écrivains ne sont finalement que des humains se rêvant adulés et célèbres ce qui pour certains ne sera que désillusion et perpétuelles recherche d'un état qu'ils n'atteindront jamais. Plaisirs et insatisfactions, envie et jalousie tout au long d'une vie jalonnées par l'alcool et les drogues. Heureux parfois, mais bien plus mal dans leur peau souvent.
L'histoire d'un apprentissage difficile où les lumières d'Hollywood brillent de manière bien artificielle, mais ou l'amitié et l'amour tiennent une place importante même si cette dernière est mouvante et incertaine.
La traduction de Céline Leroy permet de gouter pleinement à l'écriture juste de Don Carpenter et ça m'a donné envie de lire encore cet auteur que je ne connaissais pas.

Comme quoi être membre du Picabo River Book Club, permet de bien belles découvertes.
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