Yoga

Je ne sais pas quoi penser.... j'ai atteint le fond de l'ennui.
Il me semble qu'à sa sortie, ce livre avait été encensé par la critique. Pourquoi ?
Des pages remplies de vide et de narcissisme.
C'est une impression où cet auteur est incroyablement imbu de sa personne ?!

On ne peut pas appeler ce livre Yoga, c'est une insulte.
Raconter ses expérience, sa maladie...d'accord, mais lorsqu'on pratique le Yoga dans sa globalité,( car les gens pensent souvent qu'il n'existe que les postures!), ce n'est pas cela du tout.
Je n'en dirai pas plus!!!

Quelque part ce livre m'aide à accepter le fait que les élèves ne lisent plus. Car si tout ce que la littérature française contemporaine a à leur offrir ne tient plus qu'en deux mots : narcissisme et dépression, finalement ce n'est peut-être pas plus mal.

Narratif, narcissique, scénariste et sûrement pas écrivain. Calculateur, aucune originalité , complaisant avec lui-même. ''Je'' de dupe obscène, bien de la médiocrité contemporaine bobo. Mais surtout surtout minable de prendre le yoga en otage pour son étalage besogneux.

Si vous cherchez une réflexion approfondie ou un récit magistral sur la quête de soi, la méditation ou pire le yoga puisque c'est le titre du livre, passez votre chemin.

Les récits n'ont rien à voir avec la promesse du livre et surtout la 3e partie, "les garçons" qui est un exercice d'auto-satisfaction narcissique de l'écrivain soi-disant concerné par l'humanitaire et le social.

Je considère ce livre comme une arnaque, le yoga fait vendre apparemment.

je me suis ennuyée comme pas possible pendant toute cette lecture! et c'est un peu déprimant aussi : oui ça parle de méditation et de dépression donc pas vraiment une lecture légère
je me suis forcée à le finir pour voir si j'appréciais plus .. mais non!
pourtant j'aime beaucoup cet auteur donc je suis très déçue

"Ce que j'écris est peut être narcissique et vain mais je ne mens pas..."
Probablement que ce livre n'aura pas été vain pour lui puisqu'il lui a permis un exutoire de 400 pages, constitués de divers épisodes très détaillés de sa vie, et de la vie de personnes rencontrées.
Il aura nourri ainsi son besoin narcissique de s'exposer par ce récit intime édité, mais aussi encore et encore sur divers plateaux et aux micros bienveillants de journalistes.

Il nous "livre" un journal de bord d'une tranche de vie mais ce fouillis même très douloureux, même "sans mentir" n'en fait pas un livre d'une grande qualité littéraire.

Ce livre m'est tombé des mains à de nombreuses reprises.
Son auteur ne semble avoir aucune considération pour son lecteur. Ce récit autocentré, bavard, profondément creux, ressemble à quelque masturbation molle et sans plaisir.
L'auteur se présente volontiers comme une sorte de truqueur. Laissons-le à ses trucs.

Pas habituée à lire ce type de littérature, la double thématique yoga/dépression m'intéressait. Les excellentes notes sur Babelio ont fini de me convaincre de tenter cette lecture.
Séduite au premier chapitre, l'ennui est venu progressivement jusqu'à me poser la fameuse question "comment je vais encore pourvoir lire 250 pages ?"
La réponse a été simple, comme disaient les jeunes fut un temps, "next".
L'idée était bonne mais j'ai trouvé ce texte trop bavard, trop égocentrique, partant dans trop de directions différentes.
Surement beaucoup de qualités dans cet ouvrage, mais pas pour moi.
Le positif : très envie de me remettre à la méditation :)

Ma critique est dans la plume de l'auteur : « Ce n'est pas très brillant, comme bilan. Ce n'est pas une très bonne publicité pour le yoga. Mais j'ai tort de dire ça : le yoga n'y est pour rien, le problème c'est moi. » page 347.
Mais vous avez malheureusement fait le choix de donner pour titre à votre livre Yoga. L'Histoire de ma bipolarité et de mes dépressions eût été certes moins vendeur. (J'ai beaucoup aimé le début du livre consacré à ce stage sur la méditation. Dommage qu'il n'ait pas fait le sujet de la totalité du livre).
Très vite nous avons droit à une plongée dans la bipolarité de l'auteur, les tourments existentiels de ses dépressions. Un livre confus, mal construit, sans suite narrative, les personnages se succédant, des suites d'anecdotes, une écriture sans style...
Yoga ? Jacques Lacan disait : « La psychanalyse est sans effet sur la connerie. » Patanjali aurait pu énoncer : « Le yoga est (presque) sans effet sur la maladie mentale. »