Le protectorat de l'ombrelle, tome 2 : Sans forme

Un peu moins accrochant que le premier tome, ce livre annonce un tome 3 palpitant. On retrouve avec plaisir Alexia Tarabotti, Lord Maccon et tous les autres. Comme pour le précédent, l'écriture est très agréable et il va être difficile d'attendre la sortie du tome 3 en poche

Encore une histoire de loup-garou me direz vous. Je plaide coupable. Mais je trouve que cette saga en vaut la peine. Bourrée d'humour, elle dépeint une époque qui m'était jusqu'à lors étrangère. Mais plus j'avance dans la découverte de l'univers de Gail Carriger, plus j'y prends goût. En voilà les raisons :


Le Londres sous le règne de la reine Victoria

Le contexte historique est évidemment le même que celui utilisé dans le tome 1 : Sans Âme. Nous y redécouvrons la ville de Londres à l'époque victorienne, en pleine révolution industrielle, dont le quotidien de ses habitants oscille entre progrès techniques et événements surnaturels.

C'est également une époque à laquelle les créatures surnaturelles sont connues du grand public. Loups-garous, vampires ou fantômes, si leurs plus sombres secrets n'ont pas encore été révélés au commun des mortels, l'existence de ces êtres surnaturels ne fait plus aucun doute. Ils évoluent dans la société du XIX siècle au même titre que les humains. Mais cela, nous le découvrons déjà dans le premier tome.


Une malédiction paranaturelle

Alors qu'elle est à peine couchée, Alexia est subitement réveillée par les hurlements de son mari, qui semble en proie à une colère des plus singulières. En pleine discussion avec le fantôme qui hante le château, il ne se donne pas la peine d'expliquer quoi que ce soit à sa femme et disparait en toute hâte. La pauvre Alexia est laissée seule avec une horde de loups-garous tout fraîchement revenus d'Egypte, et qui décident de camper sur sa pelouse.

Ajoutez à cela un exorcisme de masse qui semble sévir dans le centre de Londres, et vous obtenez une Alexia Maccon plus énervée que jamais.

Loups-garous, vampires, fantômes et paranaturelle, nous retrouvons le singulier cocktail qui avait fait le succès du tome 1. Mais si de nombreux éléments sur ces créatures magiques avaient déjà été révélés dans le premier livre, de nouvelles découvertes plus intéressantes les unes que les autres, jalonnent les pages de ce second ouvrage.


Chapeaux hideux et des ombrelles retorses.

Il est une créature dont personne ne semble savoir grand chose : la paranaturelle. Alexia Tarabotti, ou désormais plus connue sous le nom de Lady Maccon, est un être dont on sait peu de chose. Elle-même ne semble pas en savoir plus que les autres sur ses propres capacités. C'est en cela que ce deuxième tome devient intéressant. Si les loups ou autres vampires ne sont plus un secret pour personnel, les paranaturels continuent d'intriguer aussi bien les humains que les créatures extraordinaires.

Pragmatique, culottée, et parfois même insensible, nous retrouvons une Alexia plus dévouée que jamais à son poste de Muhjah. Elle occupe désormais une place importante dans la société londonienne. Femme d'un éminent lord anglais, elle représente également l'élément neutre au cabinet fantôme de Sa Majesté. Bien décidée à régler elle-même les problèmes que rencontre la communauté magique, Alexia n'a pas peur de salir ses innombrables jupons lorsqu'il s'agit de résoudre une affaire extrêmement importante. Et maintenant qu'elle a toutes les autorisations du monde grâce à son poste de Muhjah, elle peut enfreindre sans regret la bienséance que lui impose son statut de femme, au grand damne de sa meilleure amie Ivy et de son mari.

L'exorcisme de masse va pousser Alexia jusque dans ses derniers retranchements. Comment est-il possible de rendre humain de si nombreuses créatures sans même les toucher ? Qui d'autre qu'Alexia semble avoir cette capacité ? Et qui cherche à la tuer ? Armée de sa fidèle ombrelle, Lady Maccon aura bien besoin de tout son sang froid pour régler cette incroyable affaire. Heureusement, l'inexistence de son âme lui donne du sang froid à revendre. Ce qui promet de nombreuses situations aussi drôles et cocasses les unes que les autres.

Quant à Lord Maccon, il n'est pas en reste non plus. Touché lui aussi par la malédiction qui semble peser sur les créatures magiques de Londres, il aura bien besoin de sa femme pour se sortir du pétrin dans lequel il s'est encore une fois fourré. Dans Sans forme, le passé de Conall est remis au goût du jour. N'étant pas le dernier Maccon, sa femme et lui vont devoir régler des problèmes liés à la famille du Lord, laissés en suspens depuis bien trop longtemps.


Des retournements de situation comme on les aime !

Vous l'aurez donc compris, ce deuxième tome est extrêmement instructif, à la fois sur l'univers de Gail Carriger, mais également sur ses personnages.

Mais je pense que l'élément le plus intéressant de cette histoire, réside dans le dernier chapitre. Une nouvelle découverte va chambouler l'univers entier de nos personnages préférés, les laissant dans de grands tourments. Nous ne pouvons que saluer la ruse de l'auteure, qui ponctue ce deuxième tome par une fin des plus lourdes de conséquences. Une fin qui ouvre et oriente déjà ce que sera l'une des intrigues les plus trépidantes du troisième livre : Sans Honte.
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Un début pas super, super entrainant, mais heureusement la deuxième moitié du tome compense totalement
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Me plonger dans l'histoire de ce second tome a été une entreprise plutot laborieuse au départ ! J'ai beaucoup aimé le tome 1 mais le résumé de celui ci ne m'attirait pas des masses. Je me suis plongée dans le livre pour ensuite faire une pause en lisant le tome 1 de Fruits basket, et je me suis un peu" forcée " à continuer cette lecture car il fallait bientot le rendre à la bibliothèque ^^

Et heureusement qu'il fallait le rendre car je pense que je l'aurai laissé de côté : Une erreur ^^ Oui, car finalement quand on s'y met entièrement, on passe un super bon moment :D



Alexia qui est devenue Lady Maccon ne perd en rien de sa superbe et reste toujours aussi électrique. Ses manières restent inchangées et elle continue à bien nous faire rire.

Lord Maccon est un peu moins présent au début mais c'est pour mieux l'apprécier par la suite ( je l'aime bien ce loup garou :D ) même si je dois dire que son côté bourru, moins prononcé dans ce tome m'a quand même manqué ^^

Mme Lefoux, le nouveau personnage de ce tome est mystérieuse, on ne sait pas vraiment quoi en penser même si sur le fin elle m'apparait comme sympathique et au vue du dernier chapitre, elle risque d'avoir de l'importance dans les prochains tomes.



En ce qui concerne l'intrigue, et je pense que c'est ce qui m'a un peu frainée au début,elle a du mal à se mettre en route. Il faut passer un certain nombre de pages pour qu'elle devienne très interessante, car plusieurs péripéties lui font échos et ca devient plutôt pas mal du tout ;)

En fait, j'ai commencé à vraiment entrer dans l'histoire dans la seconde partie, et je l'ai alors très vite terminé. Jusqu'à ce final qui est plutot whaouuu quoi ^^ J'ai maintenant hâte de savoir comment l'auteur va se débrouiller avec tout ça, et ça promet d'être plutot grandiose !!



En somme, l'histoire m'a parue plutot plate comparée au premier tome ( tout en rebondissements) mais au final on passe un très bon moment et l'auteur parvient à donner un second souffle dans les toutes dernières pages :D
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J'ai adoré ce second tome, je le trouve encore meilleur que le premier. Ici nous retrouvons Alexia qui est devenue lady Maccon par son mariage avec Conall. Elle est devenue « muhjah » (on ne sait pas trop comment) auprès de la reine Victoria qui l'oblige à découvrir pourquoi, dans certaines conditions, les êtres surnaturels semblent perdre tous leurs pouvoirs et redevenir simples humains. Leur entourage se voit agrémenté d'un nouveau visage, celui de Mme Lefoux, une française mystérieuse qui tient un magasin de chapeau et qui a confectionné à Alexia une ombrelle d'un genre tout nouveau.

J'aimerai vous parler de la couv de cet opus, elle est tout simplement magnifique et reflète tout à fait l'histoire, le dirigeable en arrière font représente une partie que j'ai beaucoup aimé, ce coté steampunk que j'adore, les descriptions sont sublimes et réalistes... Quant à la tenue d'Alexia, elle est tout simplement merveilleuse.
Gail Carriger a un vrai don pour créer tout un monde, qui se tient, avec des objets bizarres comme divers instruments à vapeurs rythment la vie des londoniens, mais surtout les descriptions de ceux-ci, on y croirait parfaitement, rien n'est en décalage, il n'y a rien de trop, ni de pas assez.
Nous sommes toujours au 19e siècle et le télégraphe sur lequel on portait de si grands espoirs ne fonctionne pas et c'est l'éthérographe qui va permettre de porter des messages à de grandes distances et ce grâce aux particules magnétiques contenu dans l'éther, l'éther qui est l'espace dans lequel vole les dirigeables.

J'ai tout spécialement adoré le personnage de Mme Lefoux, c'est une femme qui s'habille comme un homme et qui a des attirances toutes spéciales envers les êtres de son sexe. J'ai aimé son carractère et le suspens qu'elle laisse tout au long du livre.

Je suis heureuse que cette LC pour ce second soit programmée aussi près de la lecture du premier que j'avais organisé et c'est avec impatience que j'ai ouvert « Sans Formes »... et dire que le tome 3 sort très prochainement puisqu'il est programmé le 18 avril !!!

Alexia dans toute sa splendeur, cette héroïne d'un autre temps, d'un autre âge, n'a pas fini de nous surprendre et de nous donner un bon moment de lecture. C'est clair que la fin est affreuse, elle nous laisse dans une espèce d'angoisse, personnellement j'ai vraiment hâte de lire la suite, il faut que je sache se qu'il va se passer !!!

Quel bonheur de retrouver Alexia Tarabotti !! Oh pardon, je voulais dire ... Lady Maccon !
Dans ce second volume, nous la suivons en Ecosse où elle en apprendra un peu plus sur son mari et les moeurs de la meute.

[Extrait]
"Sans forme" est le second tome de la saga "Le protectorat de l'ombrelle" de Gail Carriger. Je vous avais déjà présenté son tome 1 "Sans âme" en juin dernier, il sortira en Livre de Poche en avril prochain, le même jour que le déjà-très-attendu tome 3 de cette série!

Alexia Tarabotti, l'héroïne de cette saga, c'était une vieille fille célibataire de moins de 30 ans, ayant le pouvoir de désactiver les pouvoirs magiques des créatures fantastiques (vampires, loups-garous...) et qui, à la fin du premier tome devient Lady Alexia Woolsey (alors que son mari s'appelle Lord Maccon, ne me demandez pas de comprendre l'aristocratie anglaise!). Croyez-vous que cette nouvelle mariée va s'assagir ? Pensez-vous que l'appât d'un nouveau mystère va la refroidir ? Non, évidemment!
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Quel bonheur ce fut pour moi de retrouver la plume de Gail Carriger dans ce second opus de la saga « le protectorat de l'ombrelle ». Sans nul doute Sans Forme est l'une des sorties de 2011 que j'attendais le plus tant j'avais hâte de retrouver Alexia dans une nouvelle aventure. Autant vous le dire de suite, j'ai tout simplement adoré et dévoré ce tome.

Miss Alexia Tarabotti est devenue Lady Alexia Woolsey, et oui elle a réussi à mettre le grappin sur le séduisant Lord Maccon. Ils forment un duo aussi improbable qu'explosif et il ne leur faudra pas longtemps avant de repartir dans l'une des enquêtes dont eux seuls ont le secret. Une nouvelle aventure qui les entrainera dans le pays de naissance de Lord Maccon : l'Ecosse.

Durant ma longue attente de cette suite, je me demandais sans cesse, quelle serait la tournure que prendrait cet opus, et surtout si j'allais aimer les choix de l'auteure. Bref, je ne fus absolument pas déçue, bien au contraire, celui-ci à dépassé mes espérances. Si l'intrigue me semblait un poil trop facile dans le premier opus, ce ne fut pas le cas ici : le suspense est plus que présent et le dénouement n'arrive qu'à la fin. J'ai par contre avec une très forte envie d'étriper l'auteure, car cette dernière nous offre une fin à la limite du soutenable. Si le niveau n'était pas si élevé en VO je me serai jetée dessus sans attendre… Malheureusement, je vais devoir, comme tout le monde, attendre. L'humour est bien entendu toujours au rendez-vous et les joutes verbales d'Alexia et Lord Maccon sont plus que jamais savoureuses.

Que dire des personnages ? Ah oui que ce fut un bonheur de les retrouver et d'en apprendre un peu plus sur eux. Certains se révéleront encore plus attachants, d'autres tout aussi détestables. Nous faisons aussi la connaissance de nouveaux intervenants tout aussi hauts en couleurs. Quoi qu'il en soit, ils sont plus que réussis et recherchés tant par leurs descriptions physiques que par leurs caractères.

Pour lire l'intégralité de mon avis, je vous invite à vous rendre sur le blog !
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