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"Comme la partie romance avec Alexia a lieu dans le tome 1, ici, on en a plus (hors un couple, qui se forme et c'est assez drôle de les voir/entendre). On se retrouve donc avec une aventure et une histoire palpitante et intéressante sans qu'elle soit entrecoupée toutes les minutes par des moments chiants et sans cassure de rythme par des changements de scènes intempestives (romance, par exemple). J'ai apprécié les détails techniques et l'aspect steampunk que l'on retrouve plus dans ce tome, comparé au précédant, en plus de voyager et du cas présenter. J'ai donc tout apprécié.

Enfin, je ne m'y attendais pas à la fin, ainsi qu'à la révélation finale, qui laisse promettre un tome 3 bien plus qu'intéressant, car entre son rôle professionnel, sa vie personnelle et son caractère, ça risque d'être bon tome 3 en perspective, ce que j'espère."
Lien : http://helran.fr/lecture/boo..
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Après un premier tome très enlevé, je ne pouvais pas louper la suite des aventures d'Alexia. J'ai donc fait l'acquisition du coffret de la série, en VO s'il vous plait !

On repart donc en compagnie d'Alexia pour de nouvelles aventures. Si le premier tome était l'occasion pour notre Sans-âme et son loup-garou d'admettre leurs sentiments, ce tome-ci approfondit le passé le Lord Maccon. On découvre pourquoi il est venu à Londres en fuyant l'Ecosse, on en apprend un peu plus sur le fonctionnement d'une meute de loups (ses codes, ses rituels…).

Changeless approfondit donc certains personnages, Lord Maccon, le professeur Lyall, mais aussi Ivy, la grande amie d'Alexia, ainsi que Felicity, la soeur de cette dernière (mais qu'un vampire ou un loup-garou trucide donc cette pimbêche !).

Apparaissent aussi de nouveaux personnages : le très déplaisant major Channing (qui apprend à ses dépends qu'on ne plaisante pas avec Alexia), et Madame Lefoux, inventeur française à la tenue et aux moeurs particulières.

Côté écriture, je me suis régalée, c'est savoureux, bien écrit, avec des tournures de phrases très XIXe. Je dois avouer que par moment, j'ai dû chercher la signification de certains mots dans un dico, ou relire une phrase plusieurs fois pour bien en comprendre le sens, mais je trouve que ça fait partie du charme de la lecture en VO.

J'ai moins rigolé avec ce tome (qui réserve pourtant de grands moments de bravoure), mais j'ai trouvé l'intrigue plus travaillée que dans Souless. L'histoire se termine sur un cliffhanger des plus frustrants. Impossible d'attendre avant d'attaquer le tome 3 du coup !

En conclusion : un bon tome qui approfondit les personnages et qui se termine sur un cliffhanger. Vivement la suite !

Lien : http://catherine-loiseau.fr/..
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Je ne me serai probablement pas orientée vers ce type de lecture si ce n'était pas pour ma participation à un certain challenge romantique et fut ravie de découvrir la délicieuse plume de Gail Carriger. Si tant est que l'on puisse oser faire la comparaison, cette écriture n'est pas sans rappeler celle de Jane Austen. On y retrouve cette floraison d'adjectifs et tournures de phrase très “bonne société anglaise”, à la fois très plaisante à la lecture et ayant l'art de donner une nouvelle dimension à n'importe quelle situation. Un exemple : “Qui souffre le plus, le gentleman dont la cravate est mal nouée, ou ceux qui sont forcés de le regarder ?”. Voici le type de question existentielles qui poursuivent les protagonistes. Personnellement, j'adore.
Lire la suite : http://www.bizzetmiel.com/2013/09/gail-carriger-le-protectorat-de.html
Lien : http://www.bizzetmiel.com/20..
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Ayant été surprise par le style de l'auteure et par l'intrigue du premier tome, j'ai décidé, dans le cadre du challenge mystère de Froggy, de découvrir la suite.

L'auteure a toujours un style d'écriture aussi dynamique et humoristique. Sa façon se raconter les événements fait en sorte qu'il est impossible de ne pas rire en lisant cet ouvrage. Il s'agit encore une fois d'un livre qui se lit rapidement, mais qui constitue un excellent moment de divertissement. Les titres sont toujours aussi originaux et je n'ai pas ressenti de longueurs au sein du roman.

Les personnages sont toujours fidèles à eux même. Alexia a toujours son fort caractère et son bon sens, son mari son caractère bougon et son amie Ivy son innocence maladive. Cependant, deux nouveaux personnages importants apparaissent et jouent un rôle clé dans l'intrigue. Il s'agit de Mme Lefoux, l'inventrice française qui accompagnera Alexia dans son voyage en Écosse pour aller retrouver son mari et Angélique, la femme de chambre d'Alexia. La première s'habille comme un homme et agit bizarrement. On ne sait pas trop sur quel pied danser face à son rôle dans l'histoire. Angélique, quant à elle, est discrète et veille aux bons soins de sa maîtresse, Alexia.

L'intrigue tourne autour d'un fléau qui a suivit les militaires à leur arrivée à Londres. Les surnaturels ne peuvent plus se métamorphoser. Ils sont condamnés à conserver leur aspect humain et sont donc à risque de vieillir. Alexia et son mari tenteront donc de découvrir la source de ce problème et feront face à de nombreuses incertitudes au cours de leur enquête. J'ai trouvé que ce deuxième volume avait plus d'action que le premier. On centrait moins l'histoire sur la description des personnages, mais davantage sur une quête qui dirige leurs actions. Des alliances se forment alors que d'autres sont plutôt incertaines. Connall retrouve son ancienne meute à Kingair et doit faire face à leurs accusations d'abandon. Il devra donc tenter de passer quelque temps avec eux sans avoir de problèmes. Ce deuxième volume se termine sur une note triste et une réaction à laquelle je ne m'attendais vraiment pas d'un des personnages. J'ai hâte de voir comment les choses vont se dérouler dans le prochain volume! La fin marque un tournant important dans l'histoire!

Je persiste à dire que cette saga mérite d'être lue. Il s'agit d'un bon divertissement qui soulève quelques éclats de rire. Certes, ce deuxième tome possède un passage vraiment macabre et dégoutant, mais ce n'est rien d'insurmontable pour le lecteur!
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Si j'avais adoré « Sans Âme », le premier tome de cette série, je dois bien avouer que j'ai été assez déçu par cette suite. Manque d'action, manque d'originalité. Bref, « Sans Forme » m'a fait l'effet d'un pétard mouillé.



Pour commencer, je dirai que je me suis ennuyée à la lecture de ce récit. Je me suis vraiment fait chier sur les 150 premières pages où pour moi, il ne se passe rien ! C'est un peu genre « les événements de la vie courante », mais qui ne sont en aucun cas intéressants. Pourtant, il se passe un truc incroyable au début. Cependant, j'ai jamais vraiment eu l'impression que c'était si grave que ça. Ça manquait d'intensité, je pense. Est-ce que cela vient de l'écriture ou au fait que le côté guindé des personnages fait que cela est minimisé ? J'en sais rien, mais c'était chiant.

Même le personnage de madame Lefoux, une Française fort sympathique et très ambigüe durant tout le roman ne permet pas de faire remonter le niveau.

Passer la moitié du livre, les choses devient plus intéressante (heureusement). Malheureusement, la seconde partie pourrait s'intituler (pour moi) « beaucoup de bruit pour rien ». Et c'est là qu'on retrouve le côté pétard mouillé, surtout concernant les relations entre Lord Maccon et son ancienne meute de Kingsair. Pendant tout le roman, l'auteure insiste sur le « problème », mais quand Lord Maccon lâche enfin le morceau j'ai été super déçue. Tout ce patacaisse pour ça ? Surtout que j'ai pas ressenti tant de malaise, de gêne et de colère chez dans la meute de Kingsair, sauf si on exclu l'arrière-arrière-arrière-arrière-petite-fille de Lord Maccon. Bref, déçu à ce niveau.

Seconde déception concernant « l'intrigue » principale. On comprend trop vite qui est « l'espion », encore une fois on se tape un « beaucoup de bruit pour rien » vu l'allure à laquelle Alexia est capable de résoudre l'énigme ! Non, mais sérieux, c'est super mal fait cette histoire de ce côté-là. Parfois je me suis même demandé si l'auteure savait où elle allait !



Mais mes déceptions ne viennent pas que de l'intrigue. Il y aussi tout le côté « guindé » du premier tome qui à disparut. Les longues descriptions de vêtements ont aussi disparu et c'est dommage même si cela avait fini par me casser les pieds dans « Sans Âme ».

J'ai aussi été déçu par la relation Alexia-Conall qui fait « très convenue ». Leurs échanges sont assez fades, manque de dynamisme. Je n'ai pas beaucoup retrouvé le petit côté piquant d'Alexia.



Mais bon, il faut être honnête, il y a quand même des bonnes choses. Même si j'ai été déçu sur un point par Madame Lefoux, je trouve ce personnage très intéressant. J'ai hâte de voir ce que l'auteure va en faire par la suite. Mais surtout, c'est Ivy Hisselpenny qui nous offre les meilleurs moments du livre ! Cette fille, c'est une vraie gourde et une vraie potiche, mais elle est géniale ! Et je pense qu'elle offre une des meilleures répliques du roman « si j'étais morte, je n'aurai jamais pu revivre ça » ( et dit avec tout le sérieux du monde)… Sans commentaire.

Lady Kingsair est aussi un personnage de poigne que j'ai beaucoup apprécié, mais c'est un peu dommage qu'elle n'ait pas été plus exploitée.

Il y a d'ailleurs beaucoup de points comme ça : il y a de l'idée, mais pas assez exploité. C'est le cas pour le côté égyptisant du roman et le déshabillage de momie. Cette pratique était assez courante au XIXe siècle et l'égyptologie.



L'auteur met aussi en place des éléments qui appellent à la suite de l'aventure, un peu comme les fameuses « pieuvres » du premier roman.



Voilà donc pour « Sans Forme » qui ne m'a vraiment pas emballé. Heureusement que malgré cela, le livre se lit assez vite. Donc j'ai été déçue, car à défaut de nous offrir un livre égal au premier, pour ne pas dire mieux, ce second tome est un travail plus superficiel, moins dynamique et surtout avec des intrigues un peu flasques.
Lien : http://xian-moriarty.over-bl..
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J'ai beaucoup aimé ce deuxième tome ! L'aventure reste plus familiale diront nous, puisque Alexia se rend en Écosse, dans l'ancienne meute de son mari pour découvrir pourquoi la meute ne peut plus se transformer en loup-garou ! Une aventure dans un cadre plus intime donc, puisque l'on retrouve aussi dans l'affaire, Félicité, l'horrible soeur gnangnan d'Alexia, et sa meilleur amie Ivy Hisselpenny, dont on ne se lassera pas du coté très théâtrale qu'elle donne à sa vie.
Certes, beaucoup moins d'action que dans le premier tome, mais plus de mystères et de relations douteuses.
Indiquons quand même l'apparition d'un nouveau personnage très prometteur : Mme Lafoux. Personnage très ambigu dans tous les sens du terme : aussi bien vestimentaire, sexuelle (ou pas en fait) et sa place dans l'histoire !
On ne se lassera jamais des joutes verbales de Conall et Alexia, ni celle de la meute de Kingair d'ailleurs. Je dois aussi dire que Lord Maccon tombe bas dans mon estime à la fin du roman : cette quoi cette réaction de merde ! Typiquement masculin ! Lui qui me faisait rêvé d'un beau prince charmant désagréable, le voila replacé sur le banc des : justes un con de mec !
On peut aussi noter que ce roman est loin du complexe de la strouchmphette : une femme parmi une horde d'hommes. Non, il y a plein de personnages féminins et pas seulement pour faire joli !
J'avoue par contre être resté sur ma faim.... mais putain c'est quoi cette fin !! Il est scandaleux de nous laisser dans un tel suspense à la fin d'un livre !! Deux gros événements dans les dernières pages ! Je me tape à savoir si je commande le 3e tome en anglais, ou si je patiente.....
On notera quand même quelques problèmes de traduction de temps en temps... ce qui coupe un peu la lecture, car les phrases bancales doivent être relues.
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Dans ce deuxième tome, nous retrouvons Alexia à présent mariée à Lord Maccon. Elle doit ainsi composer avec sa nouvelle place dans la société en tant que comtesse, son statut de Mujha, son besoin de liberté et son franc parlé. Ce qui bien entendu la mettra dans des situations plus cocasses les unes que les autres. Mais c'est ce qu'il nous plait dans cette série.

Un tome légèrement en dessous du premier, mais qui reste toujours un trés bon roman. Avec une intrigue plus développée, des personnages que l'on découvre et d'autres que l'on retrouve avec plaisir, et un humour toujours présent même s'il se fait un peu plus rare.

Critique complète dans le lien suivant
Lien : http://chronique-mademoisell..
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Sitôt paru, sitôt acheté. Car c'est peu dire que je l'attendais cette suite ! Et sitôt lu également. J'ai bien essayé au début de faire durer le plaisir, mais impossible de résister très longtemps. Encore une fois, les pages se dévorent littéralement. On retrouve beaucoup d'ingrédients du premier tome, mais un peu moins de fleur bleue. C'est que l'histoire d'amour n'est plus à écrire… même si on assiste toujours avec autant de plaisirs à leurs joutes verbales. On retrouve aussi les machines et autres engins bizarres, typiques du steampunk. le lecteur fait aussi un petit voyage en dirigeable, pour aller en Écosse, dans un château venteux et froid, gouverné par une meute de loups-garous sans chef à leur tête. Et si Alexia, devenue lady Maccon par son mariage avec Conall, s'envoie en l'air (façon de parler, hein !), c'est que son rôle de muhjah auprès de la reine Victoria l'oblige à découvrir pourquoi, dans certaines conditions, les êtres surnaturels semblent perdre tous leurs pouvoirs et redevenir simples humains. C'est l'occasion de faire prendre de l'ampleur à deux personnages, Ivy l'amie d'Alexia et Tunstell, le porte-clés de son mari. Tous deux sont aux mains d'un tendre sentiment qui leur fait perdre la tête et oublier leurs devoirs et leur position sociale. La meute et les principes qui la régissent sont davantage détaillés. Une partie de la lumière est aussi faite sur l'ancienne vie de lord Maccon.
Gail Carriger a un vrai don pour créer tout un monde, qui se tient, avec des objets bizarres et des créatures étranges. Pourtant, chacun semble vivre avec l'autre plutôt convenablement : des vampires, des loups-garous, des para-naturels, des lesbiennes, des gens plutôt collet-montés… même si il faut rester vigilant pour ne pas revenir aux âges sombres. Enfin, les dernières pages revêtent un caractère dramatique qui n'était absolument pas dans le ton du premier. Et qui donne terriblement envie de connaître la suite !
Lien : http://nourrituresentoutgenr..
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Un deuxième tome dans la lignée du premier : running gags récurrents, énormément d'humour, personnages hauts en couleur et une petite enquête sympathique pour couronner le tout. La relation entre Alexia et Lord Maccon est toujours parsemée d'énormement de piques et de dialogues savoureux, mais je trouve parfois les constantes allusions et discussions sur leurs envies sexuelles de trop.
L'ensemble est assez brouillon et donne une impression de vivacité mal contrôlée mais je passe un très bon moment
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MON AVIS

J'ADOOOORRRRREEE


❤❤❤❤❤


Non mais c'est frais, piquant, original. Alexia est juste l'héroïne dont je pourrais tomber amoureuse, son côté sans âme l'a rend pragmatique, logique, réfléchi, les émotions et les états d'âmes sont relégués au second rang.


Un bit-lit steampunk sur fond d'époque victorienne si je ne me trompe pas sur la concordances des dates, ça doit porter un nom spécifique si ça se trouve ce style mais bon il y a tellement de définition, de noms de genre ect de livre que je m'y perds !


En résumé, Londres, époque victorienne, belles robes encombrantes, manières à ne pas oublier, des loups-garous, des vampires et un univers tourné vers le steampunk, Octopus et inventions mécaniques sont bien présents.


Dans ce Londres bien différent, les êtres surnaturels ont fait leur coming-out. Il y a donc les surnaturels, ceux qui ont un excès d'âme (artistes, inventeurs, scientifiques ect) peuvent prétendre à l'immortalité soit en devenant un vampire après avoir reçu la morsure d'une reine, soit en devenant un loups-garous après s'être volontairement fait déchiqueté par un Alpha (autant dire que cette alternative à l'air moins glamour dans la transmission, mais il y a aussi une catégorie de personne bien différente… Alors qu'il y a les « normaux », les surnaturels, il existe les paranaturels, c'est-à-dire ceux qui sont nés sans âme ! Ils sont normaux, à quelques détails près, mais surtout très très rares ! Alexia Tarabotti fait partie de ces derniers.


Elle se retrouve, avec plaisir, mêlé à une affaire de vampires sans ruche ni reine qui ne connaissent pas les conventions d'usages de la bonne société londonienne. C'est alors qu'elle s'associe au BUR, la police surna disons, et surtout à Lord MacCon pour mener l'enquête, bien malgré lui qui aurait préféré qu'elle ne meleypas son ombrelle à ses affaires .


Je n'en dis pas plus mais après ayant lu les 4 premiers tomes je suis conquise. J'ai seulement peur d'ouvrir le dernier et 5e tome pour arriver sur la FIN que je n'ai pas envie de terminer en fait ! Je repousse l'échéance au maximum 😂
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