Le protectorat de l'ombrelle, tome 2 : Sans forme

"Comme la partie romance avec Alexia a lieu dans le tome 1, ici, on en a plus (hors un couple, qui se forme et c'est assez drôle de les voir/entendre). On se retrouve donc avec une aventure et une histoire palpitante et intéressante sans qu'elle soit entrecoupée toutes les minutes par des moments chiants et sans cassure de rythme par des changements de scènes intempestives (romance, par exemple). J'ai apprécié les détails techniques et l'aspect steampunk que l'on retrouve plus dans ce tome, comparé au précédant, en plus de voyager et du cas présenter. J'ai donc tout apprécié.

Enfin, je ne m'y attendais pas à la fin, ainsi qu'à la révélation finale, qui laisse promettre un tome 3 bien plus qu'intéressant, car entre son rôle professionnel, sa vie personnelle et son caractère, ça risque d'être bon tome 3 en perspective, ce que j'espère."
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L'Angleterre à l'époque victorienne : un mélange de raffinement et d'avancées technologiques et scientifiques. Ajoutez à cela quelques grammes de surnaturel - des loups-garous, des vampires et des fantômes par exemple - et vous aurez une idée du petit monde dans lequel évolue Alexia Tarabotti, notre héroïne. Dans ce deuxième tome, elle va tâcher de découvrir pourquoi les êtres surnaturels sont soudain privés de pouvoir...

J'ai eu du mal à rentrer dans ce deuxième volume des aventures de notre jolie enquêtrice, car depuis ma dernière lecture, j'avais oublié pas mal de termes "surnaturels" propres à la série, ce qui fait que j'avais du mal à comprendre ce que je lisais, tout simplement. Heureusement, c'est assez vite revenu et j'ai rapidement été conquise une nouvelle fois par le ton élégant et drôle de l'auteure. Ça donne un coup de fouet bienvenu à la bit-lit ! Et la fin de ce tome, surprenante, donne irrésistiblement envie de s'attaquer à la suite...
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J'avais aimé le premier tome, sans toutefois être subjuguée par l'histoire. Je me souviens que j'avais eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire, m'attachant toutefois petit à petit à Alexia et Lord Maccon. Cette fois-ci, pas de difficultés à entrer dans le roman, j'ai tout de suite adoré chaque ligne et j'ai grand hâte d'en lire la suite !

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AAAAAAAAAAAAAAH ! Non mais c'est QUOI cette fin, là ? Obligée je suis de sauter sur le tome 3, non mais c'est pas croyable, ça ! Madame Carriger, vous devriez avoir honte de nous laisser dans cet état !

Je ne vais pas cracher dans la souplette, je me suis régalé. Je trouve ces histoires originales, l'ambiance steampunk est omniprésente (alala la nouvelle ombrelle d'Alexia, trop Tatie Gadget elle, j'ai adoré !), et même si les explications sont un peu emberlificotées et fumeuses, ce n'est pas très grave.

Conall est un affreux macho maladroit, c'est assez dingue comment il n'est pas sûr de lui (et plutôt bien écrit par G. Carriger), après c'est vrai qu'après des siècles de célibat, s'adapter à vivre à deux ne doit pas être très facile !
Les aventures de Tunstell et Ivy sont réjouissantes, cela apporte des moments de délire très amusants dans une ambiance somme toute assez glauque, puisque les tentatives d'assassinats sont légions dans ce tome.

Il y a parfois des coquilles étranges dans mon exemplaire, et à un moment je me suis posé des questions sur une tournure de phrase, où il m'a semblé qu'un mot était mal employé (mais je ne me souviens plus lequel).
Par ailleurs je n'ai pas compris l'intérêt de la présence de Félicité (la demi-soeur d'Alexia dans tout ça), elle sert à rien, vraiment.
A part ça, c'est quand même que du bonheur !
Et puis il faut voir comment ça finit, c'est pas possible de rester sur cette fin, on est obligés de sauter sur le tome 3 !

Un peu moins accrochant que le premier tome, ce livre annonce un tome 3 palpitant. On retrouve avec plaisir Alexia Tarabotti, Lord Maccon et tous les autres. Comme pour le précédent, l'écriture est très agréable et il va être difficile d'attendre la sortie du tome 3 en poche

Il n'a pas fallu longtemps, moins d'une dizaine de pages, pour que je retrouve cet ambiance pleine d'humour que j'apprécie tant dans cette série. C'est très rafraîchissant d'avoir affaire à notre belle et excentrique Alexia.

Enfin mariée à son ombrageux loup-garou, Alexia voit sa vie bien chamboulée. A présent Lady, travaillant pour le Cabinet Fantôme et sans âme, notre nouvelle comtesse a bien de quoi s'occuper. Surtout quand son mari alpha et très indépendant s'en va sans cesse sans rien lui dire, et que débarque l'entièreté de sa meute, que les surnaturels perdent leur pouvoir dans un certain périmètre et que le passé de Maccon réapparaît brusquement et de manière qui plus est relativement dangereuse.

Alexia ne se laisse pas faire, de loin pas. Accompagnée de cette charmante mais fatigante Ivy, en proie à l'amour fou et aux doutes qui vont avec, sa soeur Félicité, au caractère tout simplement épouvantable sans oublier le porte-clef, le cher Mr. Tunstell et Mme Lefoux, française et secrète, Alexia décide de prendre les choses en main, même si cela consiste à s'envoler dans les airs, ou à aller se perdre dans les tréfonds de l'Ecosse profonde de Conall.

Si j'ai un peu moins apprécié l'intrigue elle-même, en comparaison au 1er tome, j'ai tout de même adoré passer du temps avec Alexia, passer du temps en dirigeable, soupçonner tout le monde, en apprendre plus sur le passé de ce cher Maccon, faire la connaissance de nouveaux personnages avec tous les clichés qui vont avec... On reste également dans cette ambiance steampunk avec les dirigeables, les inventions de Mme Lefoux et cette étrange machine dont je ne me souviens plus le nom. En tout cas, une sacrée petite invention qui nous réservera d'agréables surprises... Et dans ce tome, nous faisons aussi une très surprenante incursion en Egypte, particulièrement avec la fréquentation de momies...

En bref, une chronique courte je l'avoue, mais je ne veux pas trop vous en dire. Vous l'aurez deviné, nous restons dans une lecture délirante!

Vous passerez un excellent moment avec ce livre!






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Après un premier tome très enlevé, je ne pouvais pas louper la suite des aventures d'Alexia. J'ai donc fait l'acquisition du coffret de la série, en VO s'il vous plait !

On repart donc en compagnie d'Alexia pour de nouvelles aventures. Si le premier tome était l'occasion pour notre Sans-âme et son loup-garou d'admettre leurs sentiments, ce tome-ci approfondit le passé le Lord Maccon. On découvre pourquoi il est venu à Londres en fuyant l'Ecosse, on en apprend un peu plus sur le fonctionnement d'une meute de loups (ses codes, ses rituels…).

Changeless approfondit donc certains personnages, Lord Maccon, le professeur Lyall, mais aussi Ivy, la grande amie d'Alexia, ainsi que Felicity, la soeur de cette dernière (mais qu'un vampire ou un loup-garou trucide donc cette pimbêche !).

Apparaissent aussi de nouveaux personnages : le très déplaisant major Channing (qui apprend à ses dépends qu'on ne plaisante pas avec Alexia), et Madame Lefoux, inventeur française à la tenue et aux moeurs particulières.

Côté écriture, je me suis régalée, c'est savoureux, bien écrit, avec des tournures de phrases très XIXe. Je dois avouer que par moment, j'ai dû chercher la signification de certains mots dans un dico, ou relire une phrase plusieurs fois pour bien en comprendre le sens, mais je trouve que ça fait partie du charme de la lecture en VO.

J'ai moins rigolé avec ce tome (qui réserve pourtant de grands moments de bravoure), mais j'ai trouvé l'intrigue plus travaillée que dans Souless. L'histoire se termine sur un cliffhanger des plus frustrants. Impossible d'attendre avant d'attaquer le tome 3 du coup !

En conclusion : un bon tome qui approfondit les personnages et qui se termine sur un cliffhanger. Vivement la suite !

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Oh la la ! Je viens de terminer ce 2e tome de la série le Protectorat de l'Ombrelle et c'est tout simplement machiavélique : la fin se termine en jus de boudin et oblige le lecteur (oui oblige carrément) à enchaîner avec le 3e tome dans la foulée.
C'est toujours aussi bien mené : un rythme soutenu, de l'aventure, des éléments bien connus du fantastique introduits avec originalité et finesse. Par contre, un bémol pour la version française : la traduction ne semble pas avoir été remaniée en français. On a l'impression de lire une traduction littérale à la "Google" et c'est franchement dommage car la lecture en est freinée. Certains pourraient même l'arrêter, et l'on ne pourrait leur en tenir rigueur. Mais pourquoi donc avoir fait ça à ce roman ?
Ce n'est pas parce qu'il s'agit d'une littérature plutôt adolescente que la qualité doit en pâtir et je déplore vraiment le manque de rigueur dans la transcription en français. Si je m'en sentais capable (et si ma bibliothèque les avait) je lirais la série en langue originale.

À lire donc, en mettant de côté ce gros défaut, car la série le mérite quand même !!!

J'avais passé un excellent moment avec le tome 1 de cette saga : l'époque, le personnage principal, l'histoire, tout m'avait plu. J'ai rapidement acheté le tome 2 à sa sortie poche mais depuis il patientait dans ma PAL. Et puis il y a quelques semaines, en faisant mon petit tour des blogs, j'ai lu une chronique sur cette saga qui m'a donné envie de m'y replonger. Ce que j'ai fait...

J'ai donc replongé dans l'univers d'Alexia Tarabotti avec plaisir. J'ai retrouvé dès les premières lignes le style qui m'avait conquise lors de ma découverte de cette saga. On est dans un roman steampunk qui mélange l'époque victorienne avec des inventions plus futuristes. Je ne suis pas une grande connaisseuse de ce genre littéraire mais jusqu'ici je dois dire que j'apprécie assez ce mélange, qui permet de créer des vraies intrigues avec de l'action dans une atmosphère très guindée et pleine de retenue, deux termes qui sont loin de pouvoir être associés à notre chère Alexia. Il faut dire que j'adore ce personnage, elle possède une répartie à toute épreuve qui m'a fait sourire à de nombreuses reprises. Elle est tellement décalée avec son époque, avec son mari, avec son ami Ivy! de quoi provoquer de nombreuses situations cocasses.

Une suite dans laquelle on ne s'ennuie pas - Pour ceux qui me suivent, vous avez peut-être vu que j'ai mis près de 2 semaines à lire ce tome. Pourtant je ne me suis pas ennuyée du tout, et je n'ai pas trouvé de longueurs ou autre, mais je crois que le style de cette saga est tellement " compact", qu'il me faut toujours du temps pour la lire et pour profiter de tous les échanges entre les différents personnages. Parce qu'en effet, si je dois choisir ce que je préfère dans ce roman, ce sont bien évidemment les joutes verbales d'Alexia et Maccon, Alexia et sa soeur, Alexia et Lady Kingair, Alexia et.... oui je suis fan de cette héroïne mais surtout de son caractère. Elle n'a pas sa langue dans sa poche et j'adore sa façon de dire des choses désagréables avec l'embelissement dû au langage de cette époque, comme on dit " on peut tout dire, tout dépend de la façon de le dire" et pour le coup c'est une professionnelle!

J'aurais aimé que la relation entre Alexia et Maccon soit un peu plus présente, qu'on puisse les suivre en tant que couple, mais cela arrive assez tard dans le roman. En même temps, on ne va pas changer un célibataire de plus de 200 ans en quelques mois, et Alexia est également habituée à faire sa vie sans rendre de compte alors finalement ils se retrouvent dans cette façon de fonctionner.

Quant à l'intrigue, elle est peu secondaire pour moi, parce qu'au final, rien que de suivre les aventures d'Alexia me suffit, et je dois dire que j'étais plus intéressée par l'intrigue secondaire, qui ne se dévoile que dans les dernières pages et qui m'a laissé un gros regret au moment de tourner la dernière page... Il ne me reste plus qu'à me procurer le tome 3 maintenant!

Encore un très bon moment passé en compagnie de la "briseuse de malédiction", avec un final qui ne laissera personne indifférent! Vite la suite!!!!!!

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Le Tome 1 m'aura vraiment malmené au tout début, pour finir sur un presque coups de coeur. Une fois, que le style de l'auteur bien appréhendé, on se retrouve happé par l'histoire. Je dois avouer que j'en ai même failli louper mes arrêts de trains avec ce tome 2.

Ce qui plait d'abords dans cette saga, c'est le personnage d'Alexia, nous la suivons la plupart du temps dans ses aventures quand elle ne nous laisse pas en plan à la place et avec les pensées d'un autre protagoniste. Pour autant, cela n'est pas toujours évident de suivre ce changement mais on y parvient, on l'apprécie à sa juste valeur. Gail Carriger a su créer son propre style dans un genre qui a souvent les même bases, elle n'a pas choisit la facilité et s'en sort avec brio.

Alexia est pleine de ressources et ne semble pas appartenir à cette époque. D'où le côté steampunk qui ressort un peu plus dans ce tome 2 avec l'arrivée d'un nouveau personnage haut en couleur... oui bien plus que son mari Lord Maccon ou son ami vampire Lord Akeldama. Je vous le laisse découvrir... Il y a aussi les voyages dans les aires avec les dirigeables, les chambres à ascensions, les ombrelles modifiées et autres artefacts des temps modernes ou anciens ! Un éventail de termes techniques viennent nous dérouter pour mieux se mêler à l'aventure et à l'enquête policière qu'Alexia, en tant que Mujha de la Reine, devra résoudre.

Et pour finir en beauté, ce tome se finit en OMGWTFBBQ ! Il est impossible d'attendre (de languir trop longtemps) pour lire la suite, ayez le tome 3 sous le coude où c'est la crise assurée ! Un excellent moment, je ne regrette pas de mettre accrochée après les quelques pages du tome 1. Un vrai régal cette italienne, sans âme et pragmatique ;)