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C'est avec plaisir que le lecteur retrouve Alexia et Lord Conall Maccon dans ces nouvelles aventures plutôt agitées voir trépidantes. Les couvertures de cette collection sont vraiment très réussies, associant avec efficacité une époque victorienne & steampunk, à des éléments donnant quelques indices sur l'histoire à venir.

C'est davantage pour l'atmosphère que pour la profondeur de l'intrigue que j'apprécie cette série. Son univers victorien steampunk, un brin différent du notre, est délectable, plein de vampires, de loups garous, de paranaturels et d'inventions plus étranges les unes que les autres, comme les verribles, l'éthérographe (qui remplace le télégraphe) et bien sûr l'invention la plus remarquable: l'indispensable ombrelle d'Alexia.

L'intrigue est assez secondaire. le récit quitte rapidement Londres pour se dérouler dans la froide et humide Écosse. Dans ce tome, on s'intéresse davantage à la vie des meutes qu'à celle des ruches de vampires. Mais le point fort de cette série est les personnages, tous hauts en couleur, auxquels le lecteur s'attache facilement car Gail Carriger se débrouille pour que chacun d'eux est un objectif ou un désir à atteindre. le lecteur retrouve avec plaisir la plupart des protagonistes du premier tome. Il y a quelques nouvelles têtes: le Gamma du Comte de Woosley au nom à rallonge, la meute de Kingair en kilt (miam), etc. Mais le personnage qui m'a le plus intrigué est la mystérieuse Madame Lefoux, l'inventrice française, au style vestimentaire si particulier (mais de meilleur goût que celui de Mlle Hisselpenny). le personnage de cette dernière s'épaissit, et malgré ses chapeaux immondes et son côté tête de linotte, elle est le centre d'une intrigue secondaire tout à fait "palpitante". ^^

Le coeur du roman reste néanmoins les relations volcaniques mais tendres entre Alexia et son musculeux mari, Conall. Les tirades de Lady Maccon (et sa langue bien pendue) sont toujours aussi savoureuses de même que les réparties piquantes qu'elle échange avec son mari. le récit est parsemé des pointes d'humour caustiques qui feront sourire le lecteur. En ouvrant ce tome, j'ai eu peur que le couple soit moins souvent réuni, mais c'était sans compter sur le côté aventureux et curieux d'Alexia. ^^ (...)
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Un deuxième tome à la hauteur du premier.

Mlle Tarabotti est devenue Lady Maccon et si elle est désormais une femme respectable (au grand dam de ses soeurs) avec une position et un job assez important (bien que secret), sa vie en est toujours aussi compliquée. Avoir comme mari l'Alpha de la plus importante meute d'Angleterre n'est pas chose aisée.
Nous en apprenons ainsi un peu plus sur la meute et son fonctionnement, découvrant de nouveaux membres et rentrant un peu plus dans leur "vie", mais surtout nous en apprenons plus sur Lord Maccon et son passé.

Tout comme dans le premier tome, l'auteure sais nous tenir en haleine avec une intrigue bien ficelée et pas mal de voyages. On se retrouve ainsi en Ecosse, bien loin de la société chic Londonienne et de ses étiquettes, mais on se retrouve aussi dans le passé de Lord Maccon et dans le présent qu'il a abandonné. Pour ma part j'ai adoré ce bol d'air qui fait pas mal de bien, même si la touche londonienne reste très présente à travers Alexia, ce qui est je dois dire assez drôle à lire ^^
Place aux nouveaux, là aussi j'ai adoré.
Que ce soit du coté de la meute d'Ecosse avec l'Alpha ou encore la française Mme Lefoux, aux goûts vestimentaires très atypiques pour l'époque et son penchant pour les jolies femmes, j'ai été très agréablement surprise par ces nouveaux aux caractères aussi forts que différents. Petite ombre au tableau, la présence d'une des demi-soeurs d'Alexia, celle la je la claquerai avec plaisir !
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Ca y est il est fini.
Après avoir lu le manga, j'appréhendais un peu la lecture de ce volume. Je me demandais, si je ne devais pas sauter au volume 3. Oui je sais c'est un sacrilège.
Mais, j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai été agréablement surprise. Ce livre est encore plus complet que le manga et plus détaillé.
Bon en résumé, il y a une épidémie humanisatne à Londres et Alexia en tant que mujah doit enquêter de Londres au Highlands. Divers thèmes sont abordés, la science, les traditions, l'homosexualité (de manière sous-entendu), la politique, les convenances sociales, le passé de Lord Maccon...
La fin est un cliffhanger et un déchirement. J'ai eu envie de pleurer et de tempêter.
Mais ne pouvant pas rester sur cette fin, je viens de commencer le volume 3. Je peux vous dire qu'il y a des coups de pieds aux fesses qui se perdent.
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(...) Gail Carriger signe un excellent second volume, d'un rythme toujours effréné, où les différents éléments de son univers sont toujours très bien dosés : du steampunk et du fantastique, une solide et réelle intrigue, les carcans bien ou mal supportés de la bonne société victorienne et une sensualité décomplexée, mais dont les conséquences inattendues retomberont lourdement sur les épaules de l'héroïne en fin de volume.
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Ce Tome 2 des aventures d'Alexia Tarabotti est du même calibre que le premier opus. Un vrai régal ! Un nouveau Tome plein de rebondissements, de complots et d'énigmes, avec notre héroïne à la langue bien pendue, toujours aussi.... pragmatique et insupportable ! Mais quelle joie de la retrouver !

Ce Tome 2 nous fait voyager en Écosse, lieu au ciel grisâtre, loin du confort londonien et surtout au style vestimentaire décalé. Alexia, qui a dorénavant le statut de Mujah auprès du conseil de la Reine Victoria, part à la recherche de son mari et de cette "humanisation" qui frappe la ville de Londres et semble se diriger dans les Highlands.

C'est avec un réel plaisir que nous retrouvons Alexia et son mari Conall Macon dans cette aventure qui nous permet de connaître un peu mieux ce dernier et son histoire. Nous retrouvons également avec un peu moins de plaisir Ivy Hisselpenny, qui peut irrémédiablement nous donner envie de la bâillonner au plus vite. Nous découvrons dans ce Tome un nouveau personnage, Madame Lefoux, inventrice française qui accompagnera Alexia dans son périple, afin de découvrir le fin mot de cette histoire "d'humanisation" de masse.

Avec sa nouvelle ombrelle (version James Bond), notre héroïne va devoir encore une fois, essayer d'échapper aux tentatives d'assassinat, d'empoisonnements et de découvrir, avec son aplomb habituel, ce qui se trame entre les murs du château écossais de Kingair.

Le petit bémol de ce Tome est dû aux petites longueurs concernant le début de ce Tome mais aussi aux descriptions scientifiques de certains appareils, qui ont été ... pénibles à digérer. Mis à part ce petit désagrément, on ne peut s'empêcher de vouloir lire la suite, surtout quand on est un auteur sadique et qu'on finit un Tome de cette façon !! Quelle fin les amis ! À lire de tout urgence le troisième Tome...
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"Une histoire de vampires, de loups-garous et de dirigeables."

Tout est résumé dans cette unique accroche. Dans le protectorat de l'ombrelle, que j'ai découvert au début de l'année avec le premier tome, Sans âme, Gail Carriger nous offre un savant mélange entre bit-lit, steampunk et humour anglais...

Rappelons-le, Alexia n'est pas un personnage ordinaire, puisqu'elle est la seule paranaturelle de Londres. Elle n'a pas d'âme, ce qui lui permet d'un seul contact d'ôter tout pouvoir surnaturel à un vampire ou un loup-garou, ou encore d'exorciser définitivement un fantôme. Dans ce tome, elle est amenée à enquêter sur un phénomène très étrange qui supprimerait les pouvoirs des êtres surnaturels dans un périmètre précis, et qui se déplace vers l'Écosse. Virus ? Arme ? Il y a là de quoi piquer la curiosité d'Alexia, toujours aussi intelligente et intrépide que dans le premier tome.

J'ai retrouvé dans cette suite la fraîcheur, la folie et l'humour anglais collé-monté qui m'ont tant plus dans Sans âme. Sans être la série du siècle, le protectorat de l'ombrelle n'en est pas moins très distrayant. le temps passe vite à sa lecture, on rigole, on s'interroge, il y a de l'action et aucun temps mort. Une parfaite lecture de vacances pour qui ne souhaite pas se triturer les méninges.

Si vous pensez le lire, prenez bien soin d'avoir le tome 3, Sans forme, sous la main. Vous ne pourrez pas ne pas enchaîner les deux tomes ! D'ailleurs je m'y mets tout de suite.
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Ce fut un plaisir de retrouver l'héroïne, Alexia Tarabotti, moitié Anglaise moitié Italienne au tempérament excentrique et fougueux, à une époque revisitée pour en faire le lieu de résidence de plusieurs surnaturels. Cette nouvelle intrigue est intéressante et le ton est aussi amusant que dans le premier tome. Impossible de ne pas sourire en s'imaginant les scènes décrites dans le roman tellement elles sont loufoques. C'est également un bonheur de retrouver toute une panoplie de personnages plus délicieux les uns que les autres: l'exubérant Lord Akeldama, l'explosif Lord Maccon, la bizarroïde meilleure amie d'Alexia, sans compter les nouveaux personnages qui sont également dignes d'intérêt.
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Je ne me lasse pas des aventures d'Alexia Tarabotti,maintenant Lady Maccon. Si bien que j'ai déjà commandé les tomes trois et quatre, et je vais attendre avec impatience que le dernier tome sorte en livre de poche (prix et couverture beaucoup plus attractifs !). Cela faisait longtemps que je n'avais pas autant apprécié une série de la sorte. J'adore le style de Gail Carriger, toujours piquant, dynamique, drôle et malicieux. Cela donne encore plus vie à notre héroïne qui a les mêmes qualités. Et je l'avoue, j'aime les héroïnes comme Alexia, des femmes fortes et débrouillardes qui ne vous laissent pas indifférents.

Nous reprenons l'histoire peu de temps après le mariage de Conall et d'Alexia. Les deux époux ont trouvé leurs marques et la vie semble se dérouler sans accroche. C'était sans compter, bien entendu, sur un événement inattendu. Les vampires, loups-garous et fantômes se trouvent dans une situation assez "humanisante", ce qui bien entendu fait du ramdam. Alexia se jette bien évidemment dans l'enquête. On ne peut pas dire que l'action tarde à arriver (elle est là dès les premières pages), et elle continue tout au long de l'histoire. On ne s'ennuie pas une seconde car il arrive une multitude de choses à notre héroïne. Entre les nouvelles rencontres et les événements fâcheux, on ne sait pas où donner de la tête. Mais ce n'est pas dérangeant, bien au contraire. J'apprécie vraiment ce dynamisme, même si du coup, l'enquête d'Alexia passe un peu en second plan, en quelque sorte, vu toutes les intrigues qui se développent.

La vague d'humanisation nous permet d'en savoir un peu plus sur Alexia, et en particulier sur les sans âmes. C'est une trame de fond que j'apprécie car nous ne savons, en fin de compte, pas grand chose sur son état de paranaturelle, elle-même étant assez dans le flou. Je pense que ce sera une intrigue qui se poursuivra dans les prochains tomes, car décidément tout semble tourner autour d'Alexia ! Indirectement, nous en apprenons aussi beaucoup sur Conall. Ce dernier se rend en Écosse, pour régler un problème de famille. Alexia le suivant, cela nous permet de mieux appréhender son mari et de comprendre tout son histoire. Une bonne chose, d'autant plus, que cela nous permet aussi de voir une nouvelle facette de la relation Alexia/Conall. Les voir en tant que mari et femme est différent mais toujours aussi réjouissant. Ils n'ont pas cessé leurs joutes verbales à mon plus grand plaisir.

L'enquête en elle-même est bien menée et je suis restée dans le flou pratiquement jusqu'à la fin ! Encore un autre bon point, car généralement j'arrive à deviner très rapidement le pourquoi du comment. Je ne m'attendais pas à ce que ce mystère soit lié à une certaine chose (oui, je ne vous spoile pas quand même !) et le "coupable" était assez inattendu... Ou bien plutôt tellement évident qu'on n'y pensait pas. Il y a par contre certains événements qui étaient très faciles à décrypter même si les personnages ne s'en rendent compte qu'à la fin...

Un nouveau personnage fait son entrée dans ce second tome : Mme Lefoux. Il y en a d'autres, mais c'est elle qui m'a le plus marquée. Cette inventrice de génie a quelque chose d'assez inexplicable. Elle est fascinante (pas autant qu'Alexia). Sûrement parce qu'elle reste un mystère même si on apprend à la connaître tout le long du roman. J'espère qu'elle sera présente dans d'autres tomes. Au contraire, je n'ai pas apprécié la présence de l'une des demi-soeur d'Alexia, Félicité... Mon dieu qu'elle est énervante (et je reste polie). Elle n'a aucun intérêt... vraiment aucun... Je ne sais pas si cela va changer (je me demande si Gail Carriger ne l'a pas mise en avant pour qu'elle prenne de l'importance par la suite), mais si elle continue comme cela, je préférerai ne plus la revoir... Ivy, elle, même si elle est enquiquinante, apporte au moins une dose de dérision et de situations très cocasses. le personnage ne casse pas trois pattes à un canard, mais elle a au moins le mérite d'être un apport de drôles de situations.

La fin ne nous laisse pas sur une note très gaie par contre... C'est assez brutale et j'avoue que je suis contente d'avoir assez rapidement la suite du Protectorat de l'ombrelle, car rester sur une touche aussi désagréable n'est pas très plaisant. Je ne doute pas qu'Alexia va rebondir très rapidement, mais il n'en reste pas moins que je trouve la situation très peu engageante... Affaire à suivre.
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Il y a plus d'un an, j'ai découvert Gail Carriger et Alexia Tarabotti, son héroïne au caractère bien trempé. Depuis je n'ai eu qu'une envie : lire la suite. Mais comme souvent, les lectures, les envies et les obligations se succèdent. Ce n'est donc que maintenant que j'ai pu la découvrir et me replonger dans cet univers. Je ne sais pas si l'attente à décupler mon bonheur de lecture mais toujours est-il que j'ai encore une fois été sous le charme.

Ce roman est rythmé. En effet, l'action est omniprésente tout comme l'humour propre à l'auteure. C'est frais, léger et agréable à lire. J'ai particulièrement aimé le voyage de Londres vers l'Écosse en dirigeable. Autant vous dire qu'Alexia et son entourage ne savent pas qu'il va leur arriver beaucoup d'aventures et d'évènements inattendus. Ils ne sont jamais au bout de leur surprise ! Les personnages sont d'ailleurs pétillants, explosifs et drôles bien souvent à leur insu.

J'aime le mélange réussi entre le XIXe siècle et les éléments fantastiques et steampunck insérés un peu partout. Nous rencontrons donc régulièrement des créatures telles que des loups garous et des vampires. J'apprécie également les machines extravagantes qu'utilisent les personnages. Gail Carriger fait preuve d'une vraie imagination et d'une belle créativité autant sur le contexte que sur l'intrigue. La fin laisse présager une suite qui, je l'espère, saura garder le rythme.

Il s'agit d'un second tome à la hauteur du précédent. Je me suis régalée de bout en bout. A mon avis, le protectorat de l'ombrelle est une bonne saga pour se vider la tête et s'amuser.
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Si je ne pense pas écrire de chronique sur le tome 1, car je l'ai lu il y a plus d'un an et n'aurais pas le temps de le relire sous peu, il faut quand même que je vous dise que je l'avais adoré. Tout m'avait charmée avec Sans Âme et j'attendais donc avec beaucoup d'inquiétudes le tome 2, puisque comme chacun le sait les tomes 2 sont souvent décevants. Sauf que un tome décevant mettant en scène Alexia, c'est tout bonnement inimaginable!

Et que je l'adore notre protagoniste principale ! C'est une héroïne remarquable, haute en couleur et au caractère bien affirmé. C'est un vrai délice de suivre ses péripéties et contrairement aux personnages principaux féminins qui ont tendance à m'agacer à un moment ou un autre, je suis toujours autant en osmose avec l'attitude, les décisions et les sentiments de celle-ci. Bref je l'ai trouvée totalement fidèle à elle-même, tout comme les autres personnages.

Sa relation avec Lord Maccon est toujours aussi explosive et me fait en majorité beaucoup rire (mis à part sur un certain point sur lequel je reviendrais plus tard). J'adore également toujours autant Lord Akeldama et j'ai été ravie de l'arrivée de Genevieve Lefoux, française et inventrice de son état. Non parce que franchement, si j'avais eu quelque chose à reprocher au tome 1, c'est bien la stupidité et superficialité des personnages féminins (notre héroïne mise à part bien sur). Les soeurs et la mère d'Alexia sont d'une bêtise affolante et d'une avidité presque grossière, quant à la meilleure amie d'Alexia, Ivy, elle en tient elle-même une bonne couche (même si elle en est très drôle et me fait criser avec ses fameux chapeaux). C'est donc très agréable de rencontrer enfin une autre lady à fort caractère et qui ne se contente pas de formuler des bêtises toutes plus grosses les unes que les autres.

De plus, j'ai une fois encore beaucoup apprécié l'intrigue qui détient un bon suspens. Nous nous posons bons nombres de questions et tout cela est ficelée de telle à façon à nous tenir en haleine jusqu'au bout. Il fut également très agréable d'en découvrir un peu plus sur les paranaturels et sur le passé de Lord Maccon, le mari d'Alexia, puisqu'une bonne partie se passe en Ecosse auprès de son ancienne meute (et j'espère qu'on les reverra tous par la suite d'ailleurs !)

La fin est quand à elle... indescriptible. J'étais complètement choquée et sur les fesses par le tout dernier chapitre et j'aurais bien étripé ce Conall Maccon de mes deux à mains nus. Franchement, il est sérieux avec cette attitude ?! C'est d'ailleurs une vraie torture pour moi de devoir attendre la sortie du tome 3 en poche car je suis impatiente de voir comment les choses vont tourner et si Monsieur le Lord finira sa petite crise (j'espère bien qu'Alexia lui en fera voir de toutes les couleurs quand même, non mais !)

Pour conclure je conseille et reconseille à tous de découvrir le Protectorat de l'Ombrelle si ce n'est pas déjà fait. Non seulement l'histoire et les personnages sont géniaux, mais en plus Gail Carriger est dotée d'une plume tout bonnement SUBLIME. Chapeau ! (Et puisque j'y suis, bravo à la traduction qui est remarquable). Puis une série qui ne souffre pas de Tome-Deux-ite aiguë, ça ne se refuse pas !
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