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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ayant adoré le Protectorat de l'ombrelle, je n'avais qu'une hâte : que Prudence sorte. Ou devrais-je dire le protocole de la crème anglaise ! Et même si je savais que les personnages de la première série ne serait pas tellement présent, j'avais très envie de découvrir les aventures de notre petite métanaturelle.

Sans grande surprise, j'ai adoré. On retrouve la même ambiance, le même style avec des petits changements qui rendent unique cette suite. J'aime toujours autant le côté ironique, piquant et drôle de Gail Carriger. Elle a su se réinventer avec ce roman tout en gardant, ce qui à mon avis, a fait le succès des péripéties d'Alexia.

Prudence, la fille d'Alexia et Maccon, a bien grandi. Nous l'avions quitté alors qu'elle était une toute petite fille dans le dernier tome du Protectorat, et là, je dirais qu'elle a une vingtaine d'année. Ce n'est pas dit clairement, ou alors l'information m'est passé sous le nez, mais cela importe peu. Rue, de son petit nom, a hérité des beaucoup de « qualités » de ses parents et je parle des trois. Cela en fait un petit bout de femme pétillante qui ne se laisse pas marcher sur les pieds mais qui reste tout de même un lady. Je l'ai beaucoup apprécié dès le départ.

Notre jeune héroïne est entourée de pas mal de personnages, et je dois dire que là aussi, j'ai adhéré. Les jumeaux de Ivy sont justes parfaits. Primerose et Percy n'ont rien à voir avec leur mère (dieu soit loué) et leur relation avec Rue est très mignonne. Ils forment tous les trois une vraie fratrie, allant de la tendresse aux piques, toujours avec style. Ils sont aussi dégourdis. Dans leur genre bien à eux, mais on est loin de leurs parents et ce n'est franchement pas plus mal. Quesnel fait aussi sont retour. Oui, tous les enfants de nos anciens héros sont là ! Il n'avait pas été très développé dans la première saga, c'est donc une découverte en quelque sorte. Charmeur comme sa mère, débrouillard et insolent. Une bonne combinaison. Spoo et Virgile, deux petits nouveaux, m'ont aussi tapé dans l'oeil. J'espère qu'ils seront présents dans les prochains tomes.

Nous avons aussi la chance de revoir, brièvement, certains des personnages du Protectorat de l'Ombrelle. Alexia, Maccon, Dama, Biffy, Lyall… apparitions trop courtes mais qui nous laissent au moins un petit aperçu de ce qu'ils sont devenus. Et c'est un vrai plaisir de les revoir. J'adorerai tout de même quelques scènes entre Maccon et sa fille ! Cela devrait être assez tordant.

Côté histoire, impossible de s'ennuyer. Non, franchement, dès le départ, Rue nous entraîne comme sa mère dans des aventures qui vont de péripéties en péripéties. A bord de sa coccinelle volante, Rue et son équipage parte en Inde pour faire des rencontres des plus extraordinaires. D'une part, cela donne une très bonne dynamique à l'histoire, mais cela permet aussi d'étendre l'univers imaginé par l'auteur. Un changement de décor était un choix judicieux pour éviter une redondance. Il y a déjà des petits mystères qui se mettent en place, de l'action, des évanouissements, des répliques acerbes, de l'humour encore et toujours. Je regrette juste qu'une partie de l'histoire soit restée un peu floue à mon goût. Nous aurons peut-être des réponses dans les prochains tomes mais j'avoue que certains événements manqués de précision, surtout arrivé à la fin.

Un premier tome réussi qui a su me plaire d'autant plus par ses différences. le ton est pour moi plus jeune, mais cela correspond très bien à notre héroïne, et le récit ne perd pas en piquant pour autant. Quesnel va de toute façon nous pimenter un peu cela, je lui fais confiance.
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Ayant beaucoup aimé "le Protectorat de l'ombrelle" j'ai été ravie d'apprendre qu'il y avait une nouvelle série.
Je ne suis pas déçue, c'est frais, marrant.
Il y a aussi sous jacente une critique de l'époque coloniale à l'ere victorienne assez intéressante.
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Bien sûr, tout est stéréotypé, exagéré, extravagant, théâtral voire démesuré dans cette aventure, mais c'est exactement ce que l'on attend de Gail Carriger non? Si Prim ne s'évanouissait pas parce qu'elle a oublié de retirer son chapeau de soleil, si Percy ne crisait pas parce qu'il a perdu son livre ou si Rue ne se demandait pas si elle a bien fait de mettre une robe de promenade alors que finalement elle ne va pas marcher mais monter dans une calèche, le récit n'aurait pas ce petit goût acidulé si caractéristique.


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Vingt ans après la fin du Protectorat de l'Ombrelle, Prudence Akeldama Maccon - fille de Lord et Lady Maccon, fille adoptive de Lord Akeldama, élevée entre une meute de loups-garous et la demeure d'un vampire amateur de jolis garçons - vient d'atteindre sa majorité. Pour l'occasion, son père (le vampire) lui offre un superbe dirigeable et une mission de confiance aux Indes, où il s'agit d'organiser discrètement un commerce de thé susceptible de piétiner les plates-bandes de l'East India Company.
Bon gré mal gré, l'équipage est bientôt au complet. A l'intendance, l'exquise Primrose, inséparable amie d'enfance de Prudence, fille de l'extravagante Ivy Tunstell. Au pilotage, son frère jumeau, l'insupportable Percy, rouquin condescendant qui ne vit que dans les livres. Comme chef ingénieur, le très charmant Quesnel Lefoux, digne fils de sa mère adoptive et séducteur réputé. L'heure est venue de décoller, un peu en avance sur l'agenda à cause d'une sombre histoire de chapeau.
Mais aux Indes, rien ne se passe comme prévu. Les négociations qui s'engagent ressemblent à un dialogue de sourds, où les deux partis ne parlent pas du tout de la même chose et Rue se retrouve embarquée dans une mystérieuse affaire impliquant le kidnapping de l'épouse d'un officier britannique et une bande de dissidents indiens aux motivations assez fumeuses. Cela sans compter que l'arrivée d'une voleuse d'âme sur le territoire n'est pas au goût de tout le monde, loin de là.
Pour démêler tout cela, Rue pourra heureusement compter sur ses pouvoirs paranormaux, son excellent sens de l'improvisation, l'aide précieuse (quoique parfois un brin maladroite) de ses amis... et l'assistance d'une meute de loups-garous écossais bien connue du lecteur !

Si le Protectorat de l'Ombrelle a su vous plaire, cette suite next generation devrait aussi vous régaler. Les ingrédients, grosso-modo, sont les mêmes, ceux qui font la marque de fabrique et tout le charme de l'auteur : des personnages hauts en couleurs et attachants, de l'aventure, de la fantaisie, de l'humour, un brin de romance, une plume spirituelle qui ne se prend jamais au sérieux mais joue joliment avec la langue anglaise... et sous un ton très léger, une imagination foisonnante, un univers construit avec intelligence.
Un univers qui s'enrichit ici de manière très plaisante. La nouvelle génération donne inévitablement un nouveau relief à l'ancienne, la montre sous un autre jour - mais le plus intéressant dans ce premier tome est peut-être l'ouverture de l'univers fantastique vers une autre culture, la remise en perspective du modèle anglais par la découverte d'un monde peu ou prou inconnu, la manière dont l'histoire se nourrit des ambiguïtés de l'ambition coloniale.
Encore un fort bon millésime, en somme, qui donne envie d'enchaîner sans attendre sur la suite !
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3ème série dans l'Angleterre victorienne steampunk de Gail Carriger. Nous retrouvons Prudence, la fille métanaturelle de Lord Macoon et d'Alexia mais aussi fille adoptive de Lord Akeldama. Comment peut on être une jeune fille normale lorsqu'en plus d'être douée de la capacité de voler les propriétés surnaturelle des immortels, on possède 3 parents aussi distincts qu'un loup-garou, une sans âme et un vampire isolé formant le cabinet fantôme de la reine? Evidemment Rue traîne les scandales dans son sillage aussi sûrement que sa cousine Prim.
Afin de lui donner une "occupation" tout en l'éloignant de Londres et de ses dernières frasques, Dama lui offre un dirigeable afin de rallier l'Inde pour négocier l'achat d'une nouvelle variété de thé. Une entreprise périlleuse et particulièrement primordiale. Il n'en faut pas plus pour que Rue s'embarque accompagnée de Prim, de Percy le jumeau de cette dernière et de Quesnel Lefoux. Mais cette aventure commerciale va se transformer en conflit politique... Pas de quoi arrêter Rue.
J'aime beaucoup cet univers steampunk rempli de métamorphes et de vampires mais avec un petit côté loufoque où le flegme et la bienséance britannique sont poussé à l'extrême: soucis des convenances, le thé comme panacée et des toilettes extravagantes...Tout cela donne une côté burlesque à l'aventure déjà bien exotique.
Une lecture jubilatoire.
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Rue, petit nom de Prudence est la fille d'Alexia dont les aventures nous sont contées dans la série le protectorat de l'ombrelle (du même auteur, bien sûr!).
J'y ai retrouvé la même légèreté bitlit – steampunk à la mode victorienne que j'avais appréciée dans cette série!

Cette ambiance aristocratique agrémentée de cette note « so british » mêlée d'insolence est rafraîchissante au possible!

Les protagonistes sont jeunes, ingénus et gâtés parfois, impétueux souvent, et cela donne une certaine ambiance légère, provoque des scènes cocasses. le tout en un joyeux cafouillage!
Nous retrouvons, bien évidemment, avec grand plaisir, les personnages du protectorat de l'ombrelle, Alexia, Dama, Maccon, entr'autres.
Mais Prudence est éprise de liberté et cherche à s'affranchir de ses parents par trop protecteurs! Elle s'entoure de Primerose et Percy, les jumeaux d'Ivy, fricote avec l'ingénieur français et dragueur, Quesnel. Bref, la relève de l'ancienne garde est assurée par une jeunesse qui manque un peu de profondeur mais nous ravit de ses bêtises!

La cohabitation n'est pas toujours aisée entre humains, vampires, loups-garous, autres métamorphes, sans âme ou métahumaine et ce n'est pas avec cette aventure qui nous entraîne en Inde que cela va s'arranger, avec la découverte d'êtres différents. Mais là, chuuttt… Ce voyage ne se soldera pas par un séjour d'agrément et ce n'est pas une simple tasse de thé qui apaisera les esprits!

Le ton est piquant, ironique. le badinage sied à merveille à l'époque et le dépaysement est total avec ces engrenages et autres inventions mêlant l'archaïsme et l'innovation propres au steampunk.

Comme prendre au sérieux une série intitulée « le protocole de la crème anglaise » ou un dirigeable peint comme un insecte de l'ordre des coléoptères, nommé « Coccinelle à la crème »?

La frivolité affichée et les descriptions nombreuses de la mode et des convenances d'un Londres d'un autre temps prêtent à sourire et c'est assurément une lecture des plus divertissantes, sans prise de tête!
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Le protocole de la crème anglaise fait suite à la saga du Protectorat de l'ombrelle que j'ai beaucoup aimé. (...)

C'est donc avec grand plaisir que j'ai pu me replonger dans l'univers de Gail Carriger qui est, pour moi, un incontournable de la littérature steampunk. Il a fallu cependant un petit temps d'adaptation car l'histoire se déroule environ une quinzaine d'années après la fin du dernier tome du protectorat. Nous suivons donc Rue et non plus Alessandra. le rapport avec les personnages que nous connaissons est donc très différent, parfois avec des surnoms différents également. de plus, Rue a un caractère assez particulier qu'il nous faut apprivoiser. (...)

Niveau scénario je dirais qu'il n'y a rien de totalement novateur mais la recette marche toujours autant: des créatures surnaturelles, un voyage, un enjeu. Tous les ingrédients pour réussir un récit d'aventures avec l'humour de Carriger, bien que j'ai pu noter quelques longueurs. (...)

En bref, c'est un univers toujours aussi plaisant à découvrir et redécouvrir. de nouveaux personnages que l'on adore et la promesse d'une plus grande intervention des anciens dans le deuxième tome qu'il me tarde de découvrir!

La chronique complète sur mon blog!
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Il est difficile de parler de ce livre tant il est riche. Rue est fille de loup-garou et d'une paranaturelle mais élevé par un vampire. Déjà les bases du « pas commun » sont posés mais après il faut savoir que son loup-garou de père est surnommé Papatte, que son vampire l'appelle choupinette et que Rue a pour capacité de piquer le pouvoir des autres. La frontière est mince entre le ridicule et le sérieux. Ce livre est précisément pile sur la frontière. Par certains côtés on est dans du fantastique sur fond d'Angleterre victorienne à la Orgueil et Préjugé. Sur d'autres aspects l'absurde prime et on se demande à quoi l'auteure a pensé en écrivant un univers où on appelle un dirigeable La coccinelle à la crème. D'ailleurs ce dernier aurait été plus judicieux comme choix de titre que le protocole de la crème anglaise. Après tout pratiquement toute l'histoire se passe à bord de ce dirigeable. Cela aurait été plus logique. Au début on a tendance à se perdre dans les divers personnages. La famille de Rue est assez compliqué et il faudrait presque un schéma en début de livre pour comprendre. Mais très vite l'action prend le pas et chaque personnage a ses caractéristiques propres. le personnage de Mr Lefoux est très « français », enfin le français vu par les anglais à savoir dragueur mais romantique aussi. Ce qui est très appréciable dans ce livre c'est son côté bit-lit mais sans la romance. Les livres de bit-lit vont généralement très vite en ce qui concerne les histoires d'amour. Ici ce n'est pas le but. On est vraiment dans un univers victorien à la sauce steampunk et à l'humour anglais. Un très bon livre qui se lit très facilement. On passe un bon moment malgré le fait que le personnage de Rue peut être agaçant par certain moment. de même que Primrose sort tout droit d'un roman de Jane Austen. Si vous aimez ce genre d'univers vous adorerez ce livre.
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On peut dire que je suis une grande fan de Gail Carriger qui m'avait totalement séduite avec sa saga le protectorat de l'ombrelle et son personnage haut en couleurs, à savoir Alexia Tarabotti. C'est donc sans surprises que j'étais impatience de découvrir la suite de cette série à l'annonce de sa sortie. le premier tome du Protocole de la crème anglaise se passe environ 20 ans après la fin de la saga principale et je vous conseille donc vivement de la lire avant au risque de ne pas tout comprendre ou carrément de vous spoiler. Bien que ce tome n'a pas été aussi addictif que son homologue du Protectorat, j'ai passé un bon moment de lecture et je ne me suis pas du tout ennuyée.

On retrouve donc Prudence Alessandra Maccon Akeldama, lady à la pointe de la mode, fille privilégiée de Lord Akeldama et seule métanaturelle connue dans le monde. Prudence, aussi surnommée Rue, va se retrouver embarquée dans une aventure improbable lorsque son père adoptif lui offre un dirigeable et lui demande, par la même occasion, de s'envoler pour l'Inde afin de lui rapporter une nouvelle variété de thé. Pour mener à bien cette mission de la plus haute importance, Rue va se constituer une équipe de choc, en sollicitant l'aide de sa meilleurs amie Primrose Tunstell, irréprochable en matière de convenances sociales, de Percy le frère jumeau de la précédente et scientifique chevronné et enfin, Quesnell Lefoux, talentueux ingénieur doublé d'un séducteur très insolent. le voyage s'annonce des plus mouvementés !

Dès les premières pages j'ai eu comme une impression de déjà-vu et pour cause, on retrouve sans mal l'univers du Protectorat de l'ombrelle, un bit-lit sur fond de steampunk victorien. On reconnait très vite la patte de l'auteur et son style à la fois décalé et so british. L'intrigue, bien que prenante dans l'ensemble, met un peu de temps à décoller mais, une fois que l'action pointe le bout de son nez, tout devient vraiment plus rythmé et intéressant. J'ai, par ailleurs, apprécié de retrouver la plume de Gail Carriger qui nous offre comme à son habitude des dialogues teintés d'ironie, de frivolités et autres non-sens, ainsi que de joutes verbales pour le moins amusantes. Ce spin-off se démarque aussi de son prédécesseur par une a la communauté surnaturelle du récit.

En ce qui concerne les personnages, Prudence est à la fois attachante et extrêmement agaçante. Je n'ai d'ailleurs pas pu m'empêcher de faire la comparaison avec sa mère car elles se ressemblent autant qu'elles sont différentes l'une de l'autre. Si d'un côté, j'ai bien aimé le franc parlé de Rue, son caractère intrépide et , j'ai été moins emballée par le fait qu'elle n'ait pas cette curiosité scientifique caractéristique d'Alexia ou encore son esprit d'analyse et de déduction, car je ne vais pas vous mentir mais Rue peut être affligeante par sa bêtise. Primrose et Percy sont quant à eux plutôt sympathiques et dieu merci n'ont pas hérité du caractère de leur mère. Ils forment avec Rue une drôle de fratrie ayant tous les trois grandi ensemble. Quesnell est un personnage que j'ai bien aimé malgré sa réputation de Don Juan et son arrogance non dissimulée. Sa relation avec Rue demeure assez ambiguë et il me tarde de voir comment elle va évoluer. de nouvelles têtes font leur apparition comme Spoo et Virgile, deux personnages qu'il me tarde de connaître davantage par la suite ou encore Mlle Sekhmet, qui est particulièrement mystérieuse. On retrouve également des personnages qu'on a eu l'occasion de côtoyer dans le Protectorat de l'ombrelle, même si j'aurai aimé qu'il y ait plus d'interactions avec la nouvelle génération, d'autant plus que j'ai été particulièrement déçue de la relation qu'entretient Rue avec Alexia dont la personnalité semble avoir changé depuis, ce qui est vraiment déstabilisant.

En bref, ce tome est principalement introductif et pose les bases de manière efficace. Gail Carriger nous entraîne à travers un voyage dépaysant mêlant étiquette et surnaturel et c'est avec plaisir qu'on se laisse transporter par sa plume aussi atypique qu'excentrique. Je n'ai pas eu de coup de coeur pour le premier opus du Protocole de la crème anglaise mais je suis curieuse de lire la suite qui me semble assez prometteuse.
Lien : https://serialbookineuse.wor..
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Nouvelle série de Gail Carriger mettant en scène la fille d'Alexia.

J'avais beaucoup aimé la série consacrée à Alexia. Un peu moins la série jeunesse qui se passait plusieurs années avant les aventures d'Alexia. Je me réjouissait de découvrir cette suite (qui n'en ai pas vraiment une) mais j'ai eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire. D'une part, mes souvenirs étaient un peu flous des évènements de la série précédente. Pas facile non plus de se souvenir de tous les personnages secondaires de la première saga qui font une apparition ici. Et il faut dire que le début du tome est un peu laborieux. Mais une fois nos personnages arrivés en Inde, le rythme s'accélère et on est pris par l'histoire.

Ce tome 1 est identique aux autres romans de l'auteur. le style particulier est là et il y a beaucoup d'humour. J'ai passé un bon moment et Rue est un personnage attachant (même si elle est horripilante par moment). C'est la digne fille de ses parents et c'est marrant de retrouver certains de leur aspects dans son comportement à elle. C'est drôle aussi de voir évoluer les enfants d'Ivy Tunstell. Avec une mère pareille, ils ne pouvaient pas être ternes.

Lecture sympathique et je lirai la suite avec plaisir. Surtout que à priori cette série sortira directement en poche. Pas de temps d'attente entre le grand et le petit format. Rendez-vous pour de nouvelles aventures en dirigeable très vite!
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