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Le protocole de la crème anglaise tome 1 sur 4
EAN : 9782253083061
544 pages
Le Livre de Poche (26/10/2016)
3.78/5   91 notes
Résumé :
Prudence, surnommée Rue, hérite d'un dirigeable qu'elle baptise La crème anglaise mouchetée. Elle s'envole pour les Indes et se retrouve au milieu d'un complot mené par des dissidents locaux, du kidnapping d'une femme de brigadier et d'une famille de loups-garous écossais qu'elle connaît. Elle utilise sa bonne éducation et ses aptitudes surnaturelles pour s'en sortir.
Que lire après Le protocole de la crème anglaise, tome 1 : PrudenceVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (36) Voir plus Ajouter une critique
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Ayant adoré le Protectorat de l'ombrelle, je n'avais qu'une hâte : que Prudence sorte. Ou devrais-je dire le protocole de la crème anglaise ! Et même si je savais que les personnages de la première série ne serait pas tellement présent, j'avais très envie de découvrir les aventures de notre petite métanaturelle.

Sans grande surprise, j'ai adoré. On retrouve la même ambiance, le même style avec des petits changements qui rendent unique cette suite. J'aime toujours autant le côté ironique, piquant et drôle de Gail Carriger. Elle a su se réinventer avec ce roman tout en gardant, ce qui à mon avis, a fait le succès des péripéties d'Alexia.

Prudence, la fille d'Alexia et Maccon, a bien grandi. Nous l'avions quitté alors qu'elle était une toute petite fille dans le dernier tome du Protectorat, et là, je dirais qu'elle a une vingtaine d'année. Ce n'est pas dit clairement, ou alors l'information m'est passé sous le nez, mais cela importe peu. Rue, de son petit nom, a hérité des beaucoup de « qualités » de ses parents et je parle des trois. Cela en fait un petit bout de femme pétillante qui ne se laisse pas marcher sur les pieds mais qui reste tout de même un lady. Je l'ai beaucoup apprécié dès le départ.

Notre jeune héroïne est entourée de pas mal de personnages, et je dois dire que là aussi, j'ai adhéré. Les jumeaux de Ivy sont justes parfaits. Primerose et Percy n'ont rien à voir avec leur mère (dieu soit loué) et leur relation avec Rue est très mignonne. Ils forment tous les trois une vraie fratrie, allant de la tendresse aux piques, toujours avec style. Ils sont aussi dégourdis. Dans leur genre bien à eux, mais on est loin de leurs parents et ce n'est franchement pas plus mal. Quesnel fait aussi sont retour. Oui, tous les enfants de nos anciens héros sont là ! Il n'avait pas été très développé dans la première saga, c'est donc une découverte en quelque sorte. Charmeur comme sa mère, débrouillard et insolent. Une bonne combinaison. Spoo et Virgile, deux petits nouveaux, m'ont aussi tapé dans l'oeil. J'espère qu'ils seront présents dans les prochains tomes.

Nous avons aussi la chance de revoir, brièvement, certains des personnages du Protectorat de l'Ombrelle. Alexia, Maccon, Dama, Biffy, Lyall… apparitions trop courtes mais qui nous laissent au moins un petit aperçu de ce qu'ils sont devenus. Et c'est un vrai plaisir de les revoir. J'adorerai tout de même quelques scènes entre Maccon et sa fille ! Cela devrait être assez tordant.

Côté histoire, impossible de s'ennuyer. Non, franchement, dès le départ, Rue nous entraîne comme sa mère dans des aventures qui vont de péripéties en péripéties. A bord de sa coccinelle volante, Rue et son équipage parte en Inde pour faire des rencontres des plus extraordinaires. D'une part, cela donne une très bonne dynamique à l'histoire, mais cela permet aussi d'étendre l'univers imaginé par l'auteur. Un changement de décor était un choix judicieux pour éviter une redondance. Il y a déjà des petits mystères qui se mettent en place, de l'action, des évanouissements, des répliques acerbes, de l'humour encore et toujours. Je regrette juste qu'une partie de l'histoire soit restée un peu floue à mon goût. Nous aurons peut-être des réponses dans les prochains tomes mais j'avoue que certains événements manqués de précision, surtout arrivé à la fin.

Un premier tome réussi qui a su me plaire d'autant plus par ses différences. le ton est pour moi plus jeune, mais cela correspond très bien à notre héroïne, et le récit ne perd pas en piquant pour autant. Quesnel va de toute façon nous pimenter un peu cela, je lui fais confiance.
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Ayant vivement apprécié la série du Protectorat de l'ombrelle, il est évident que cette deuxième série, sur la fille d'Alexia ne pouvait que me tenter.

Nous retrouvons donc Rue, (Prudence parait tellement antinomique), extravagante et fougueuse, mais surtout éprise d'aventure. Son père adoptif, lord Akeldama, lui en offre la possibilité : aller en Inde ( donc loin de ses trois parents surprotecteurs) pour l'impérieuse mission qu'est la recherche d'un thé de qualité ( qu'y a-t-il de plus crucial, n'est-ce pas) et ce, à bord d'un dirigeable qui ne manque pas de personnalité ( La Coccinelle à la crème, rien que ça!). L'équipage se compose en outre des jumeaux Tunstell (enfants d'Ivy, devenue Reine d'une ruche à la fin du tome ) à savoir Percy (un universitaire pédant) et Primrose (la parfaite jeune fille anglaise et meilleure amie de Rue) et de Quesnel Lefoux, fils de la si particulière Mme Lefoux, qui entretient un badinage régulier et fort plaisant avec notre protagoniste.

Ainsi l'autrice fait un pari génial : de nouveaux personnages, une nouvelle série mais... sans pour autant éclipser l'ancienne. Elle donne une voix à la 2e génération, tandis que la 1ere est dans les coulisses, offrant ainsi aux lecteurs la possibilité de découvrir de nouvelles personnalités hautes en couleur ( les quatre sont vraiment excellents) tout comme celle de savourer les quelques épisodes où l'on voit les anciens...

J'ai attendu volontairement que la première série s'estompe dans mon esprit avant d'attaquer celle-ci. Je pense que j'ai fait le bon choix, sinon il y aurait peut-être eu trop de comparaison en sa défaveur, avec le souvenir de la première ( et donc son attachement) très chaud dans mon esprit.
Là, j'y retrouve ce que je cherchais, tout en étant heureuse de poursuivre cette nouvelle aventure. On a une intrigue truculente, avec des personnalités qu'on ne peut qu'apprécier et des rebondissements bien menés. L'humour parsème chacune des pages, nous faisant tour à tour sourire et éclater de rire. L'autrice nous rappelle cette bonne vieille Angleterre convenable, tout en lui faisant des pieds de nez réguliers.
Le dirigeable donne une touche steampunk des plus appréciables à ce récit. Enfin le cadre de l'Inde, permet d'aborder la question de l'Empire britannique, la colonisation, les relations des Européens face aux colonisés, ... de plus, elle insère dans son univers des créatures du folklore hindou ( que je ne connais pas du tout, donc je ne peux juger de si cela convient ou non) en les rattachant aux créatures surnaturelles de l'Occident, offrant ainsi une intrigue qui se déroule, se développe, s'étoffe pour devenir réellement trépidante sur la fin, avec de véritables enjeux. le tout en nous embarquant dans le postulat de base aussi simpliste : nous allons suivre une équipée dont la mission hautement cruciale est d'aller chercher des feuilles de thé! Si ce n'est pas du génie!



Un tome 1 qui m'a conquise. A très vite, la lecture du tome 2!
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Prudence est le premier tome de la toute dernière série de Gail Carriger. Cette dernière porte le doux nom "Le protocole de la crème anglaise", qui annonce fièrement un retour en force de son auteure. Il a été publié de manière inédite chez le livre de poche, dans leur collection Orbit.

Le protocole de la crème anglaise est une série qui se situe dans le temps après la toute première série de l'auteur "Le protectorat de l'ombrelle", série qui est (je vous le rappelle) une de mes séries favorites. Comme j'avais pu le remarquer dans sa série "Le pensionnat de Mlle Géraldine", Gail Carriger intègre dans ce roman des personnages qui ont déjà fait une apparition dans ces précédents romans (souvent comme personnages secondaires). Avant de commencer cette série, j'avais donc déjà rencontré une bonne partie des protagonistes qui voguent à l'aventure dans ce livre.

Je vous mentirais si je vous disais que je n'avais pas quelques appréhensions en commençant cette lecture. Les avis anglophones étaient loin d'être dithyrambiques et à force j'avais peur que l'auteur n'arrive pas à se renouveler. Cependant j'avais tout faux car une fois encore Gail Carriger nous embarque dans une aventure haut en couleurs et qui dévoile aux lecteurs un pan inédit de son univers.

Quel plaisir de retrouver l'univers fantastique et steampunk si particulier mis en place par l'auteur. Loup-garous, vampires viennent s'intégrer à la société victorienne du 19ème siècle avec une hiérarchie et une mythologique très rodées que j'avais eu l'occasion de découvrir dans ces précédentes séries de Gail Carriger. Et pourtant l'auteur innove car elle nous entraîne dans un pays étranger (plus précisément en Inde) et nous fait découvrir de nouvelles choses sur sa mythologie fantastique. J'ai particulièrement apprécié ce côté là de l'histoire. J'ai également adoré retrouver les dirigeables, et toutes les inventions qui ajoutent une touche de steampunk au roman. C'est tout cet ensemble qui fait que je ne me lasse pas de retrouver la plume de l'auteur dans d'autres aventures. Et que j'y retourne, encore et encore.

Et parlons un peu de l'aventure de ce livre, Prudence nous offre une aventure sous fond de thé. Au premier abord, notre héroïne va devoir partir négocier une commercialisation de thé pour l'Angleterre en Inde pour aider son père adoptif. Bien évidemment, ce qui paraissait assez simple au premier abord va se révéler bien plus compliqué. J'ai également apprécié l'intrigue mis en place même si les rebondissements ne m'ont pas forcément pris aux tripes, j'ai passé un bon moment à suivre les périphéries de Prudence et de ses amis.

Mais je trouve que ce qui fait que le charme de Prudence, c'est son humour décalé. Avec son côté très british, ce livre comprend une bonne dose de second degré, où l'héroïne (tout comme un Alexia du Protectorat de l'ombrelle) évolue dans le monde selon les convenances et avec une tenue toujours très adéquate et saillante.

En parlant de vêtements, si vous entamez cette lecture, sachez qu'il y aura de nombreuses descriptions de froufrous, de chapeaux et autres frivolités de la mode anglaise. Des descriptions en veux-tu en voila, et à certains moments j'ai même trouvé cela un peu lourd. C'est peut-être le seul point noir de ma lecture, mais qui ne me l'aura pas terni pour autant.
Tout comme j'appréhendais la lecture de ce nouveau roman, j'appréhendais un peu la rencontre avec le personnage de Prudence. Notre héroïne souffre forcément de la comparaison avec un autre grand personnage de l'univers de Gail Carriger. On ne peux pas s'en empêcher en tant que lecteur, et fidèle de l'auteur.
Au début de ma lecture, je n'ai pas éprouvé de sympathie pour Prudence. Elle était trop différente de ce que j'imaginais (J'avoue que son petit conflit familiale y a peut-être joué) Et puis petit à petit, j'ai appris à l'apprécier. J'ai énormément aimé sa particularité surnaturelle, qui ici aussi donne une touche de nouveauté. Cela la met dans des situations cocasses qui m'ont fait sourire à de nombreuses reprises.

Du côté des personnages secondaires, j'ai apprécié retrouver certains que j'avais déjà croiser dans la série "Le protectorat de l'ombrelle". L'auteur tise de nombreux liens entre ces séries faisant évoluer tous les personnages dans le même univers. Les nombreux personnages qui accompagnent Prudence sont tous différents et c'est ce qui fait qu'on s'attache plus à l'un ou l'autre. Dans l'ensemble, je les ai trouvé sympathique.

L'auteur met bien évidemment en place une romance dans ce tome. Je ne sais pas si c'est voulu de l'auteur mais cette romance même si elle est présente ne vous ferait pas battre le coeur. Elle est même assez maladroite et je me suis demandée si elle était faite pour perdurer. Affaire à suivre.

La plume de l'auteur est un vrai régale. Elle a une plume très cocasse avec de nombreuses métaphores toutes les plus loufoques les uns que les autres (comme vous pouvez le voir à l'extrait) L'humour est vraiment au rendez-vous de ce roman et c'est ce que j'ai apprécié.

En Bref,


Prudence pose les bases d'une nouvelle série prometteuse. Gail Carriger reprend tous les codes qu'elle a utilisé auparavant pour nous proposer quelques choses de nouveau, au plus grand plaisir des ces lecteurs. Alors bien sur le protocole de la crème anglaise" n'est pas encore au niveau de sa série phare "Le protectorat de l'ombrelle" mais pour ma part je trouve que c'était un très bon tome d'introduction pour la suite. Prudence m'aura embarqué dans une aventure dépaysante et pleine d'humours au travers 500 pages de pur plaisir. Vivement la suite !
Lien : http://leblogduneblondinette..
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J'avais ce livre depuis longtemps dans ma PAL et j'ai enfin pris la décision de le lire et c'est une petite déception. Je pense que ce sera une chronique assez courte parce que je ne peux pas vous en dire trop sans spoiler et pour être tout à fait honnête avec vous, j'ai fini ce livre en biais.
En effet, j'ai apprécié l'univers du livre et ses personnages, cependant, ce n'est pas assez pour moi. Même si j'ai adoré Rue, Prim et Dama qui sont tout de même haut en couleurs, j'y ai trouvé quelques longueurs et ça m'a ralenti dans ma lecture. C'est dommage car j'aurais aimé être plus plongée dans cet univers qui, au début me laissait croire à un coup de coeur, j'étais tellement certaine d'aimer que j'avais acheté le tome 2 en même temps que le premier. Bien entendu je le lirais, mais je vais prendre mon temps pour ça en espérant que le tome 2 soit meilleur. J'ai également pour projet de lire le pensionnat de Melle Géraldine en VO afin de connaître la vraie plume de l'autrice.

J'ai bien aimé l'excentricité de Dama et la répartie de Rue ainsi que la timidité de la douce Primrose Tunstell la meilleure amie de Rue qui la tempère et la couvre quand il le faut.
On a aussi une belle critique de la société de cette époque, je ne vais pas vous spoiler le pourquoi, mais quand on s'y connaît un temps soit peu en histoire londonienne, on sait que derrière il y a une critique de cette haute société.

Mise à part certains ces personnages que j'ai adoré, les autres m'ont paru plats et parfois énervant, comme la mère de l'héroïne principale qui elle est très, très TRES agaçante avec ses phrases toutes faites ! C'est notamment à travers elle qu'on critique les gens riches de cette époque.
Le fait qu'on nous dise que les être surnaturelles sont intéressés par la dernière mode est intéressant. Rue casse aussi les codes du monde dans lequel elle évolue et acquière une place importante pour une pour une femme, on pourrait dire que l'autrice à voulu changer la condition de la féminine dans son oeuvre, cependant je ne peux affirmer qu'il y a une dimension féministe dans cet histoire.

Conclusion : Un univers riche, une belle traduction et des personnages hauts en couleurs, mais il y a quelques fois des longueurs et d'autres personnages agaçants. Je n'ai rien de spécial à dire sur ce livre qui, dans son ensemble, m'a semblé plat. J'espère vivre une meilleure expérience avec les autres livres que j'ai d'elle.
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Vingt ans après la fin du Protectorat de l'Ombrelle, Prudence Akeldama Maccon - fille de Lord et Lady Maccon, fille adoptive de Lord Akeldama, élevée entre une meute de loups-garous et la demeure d'un vampire amateur de jolis garçons - vient d'atteindre sa majorité. Pour l'occasion, son père (le vampire) lui offre un superbe dirigeable et une mission de confiance aux Indes, où il s'agit d'organiser discrètement un commerce de thé susceptible de piétiner les plates-bandes de l'East India Company.
Bon gré mal gré, l'équipage est bientôt au complet. A l'intendance, l'exquise Primrose, inséparable amie d'enfance de Prudence, fille de l'extravagante Ivy Tunstell. Au pilotage, son frère jumeau, l'insupportable Percy, rouquin condescendant qui ne vit que dans les livres. Comme chef ingénieur, le très charmant Quesnel Lefoux, digne fils de sa mère adoptive et séducteur réputé. L'heure est venue de décoller, un peu en avance sur l'agenda à cause d'une sombre histoire de chapeau.
Mais aux Indes, rien ne se passe comme prévu. Les négociations qui s'engagent ressemblent à un dialogue de sourds, où les deux partis ne parlent pas du tout de la même chose et Rue se retrouve embarquée dans une mystérieuse affaire impliquant le kidnapping de l'épouse d'un officier britannique et une bande de dissidents indiens aux motivations assez fumeuses. Cela sans compter que l'arrivée d'une voleuse d'âme sur le territoire n'est pas au goût de tout le monde, loin de là.
Pour démêler tout cela, Rue pourra heureusement compter sur ses pouvoirs paranormaux, son excellent sens de l'improvisation, l'aide précieuse (quoique parfois un brin maladroite) de ses amis... et l'assistance d'une meute de loups-garous écossais bien connue du lecteur !

Si le Protectorat de l'Ombrelle a su vous plaire, cette suite next generation devrait aussi vous régaler. Les ingrédients, grosso-modo, sont les mêmes, ceux qui font la marque de fabrique et tout le charme de l'auteur : des personnages hauts en couleurs et attachants, de l'aventure, de la fantaisie, de l'humour, un brin de romance, une plume spirituelle qui ne se prend jamais au sérieux mais joue joliment avec la langue anglaise... et sous un ton très léger, une imagination foisonnante, un univers construit avec intelligence.
Un univers qui s'enrichit ici de manière très plaisante. La nouvelle génération donne inévitablement un nouveau relief à l'ancienne, la montre sous un autre jour - mais le plus intéressant dans ce premier tome est peut-être l'ouverture de l'univers fantastique vers une autre culture, la remise en perspective du modèle anglais par la découverte d'un monde peu ou prou inconnu, la manière dont l'histoire se nourrit des ambiguïtés de l'ambition coloniale.
Encore un fort bon millésime, en somme, qui donne envie d'enchaîner sans attendre sur la suite !
Lien : https://ys-melmoth.livejourn..
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critiques presse (1)
Elbakin.net
30 avril 2015
Gail Carriger nous offre un bon divertissement. Et si la voie du prochain tome semble toute tracée, l’auteur pourrait avoir plus d’un tour dans son réticule.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
- [...] Les Rakshasas sont honnis en Inde. La Couronne a tenté de les intégrer de façon plus progressiste et ordinaire en en faisant des collecteurs d'impôts.
- Oh, très logique, dit Rue. Tout le monde sait que nommer quelqu'un collecteur d'impôts est le plus sûr moyen de le faire accepter par la société.
- Le gouvernement, fidèle à lui-même, conclut Prim, philosophe.
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Rue renifla. Elle avait cessé de porter des bijoux plusieurs années auparavant – ils lui compliquaient la vie. Les gens toléraient les loups dans les rues de Londres mais, bizarrement, cela les bouleversait d’en rencontrer un ruisselant de diamants. Dama trouvait cela terriblement éprouvant pour Rue. « Mais, ma choupinette chérie, tu es riche, il faut absolument que tu portes quelque chose qui étincelle ! » Un compromis avait été trouvé avec, parfois, une tiare ou une couronne de fleurs de soie.
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- Ouille, mon petit chou. C'est vexant.
- C'est ce qui arrive parfois avec la vérité.
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Lady Prudence Alessandra Maccon Akeldama appréciait follement sa soirée. La soirée n'éprouvait malheureusement pas les mêmes sentiments envers lady Prudence.
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Ma fille est une sauvage vêtue d'une pelure d'orange !
- Mais, Mère, je suis perdue au milieux d'une forêt tropicale.
- Fadaise, dit sa mère imaginaire. Détail sans importance. Ta réputation est en jeu. Que va-t-on penser de toi ?
- Qui ? Les bons à rien du coin ?
- Comment sais-tu si les bons a rien n'ont pas une sensibilité délicate ? Couvre-toi tout de suite, bébé, répondit sa mère. sans la moindre logique.
- Oh, vraiment ! dit Rue imaginaire, exaspérée.
C'est étonnant que même en imagination je sorte vaincue de mes discussions avec ma mère.
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Videos de Gail Carriger (12) Voir plusAjouter une vidéo
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