Super bouquin, rarement un deuxième tome dépasse le premier!
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D'habitude, dégager du temps pour lire une suite, c'est un supplice chinois. En temps normal, critiquer une suite, c'est idiot ( comme dirait Césarine). Mais là, hors de question de me passer d'Auguste, Césarine, Marc, Néné et les autres une semaine de plus. Les ingrédients magiques du premier tome sont encore présents : suspense, personnages fouilles, humour, etc. Et l'intrigue prend une tournure aussi intéressante qu'intelligente. Bref, une suite qui vaut la peine (même les 22 premières pages, si si). Qu'il va être long d'attendre jusqu'au printemps pour connaître le dénouement sous haute tension.
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J'ai beaucoup aimé le premier livre mais celui-là est encore mieux ! J'aime beaucoup le point de vue de la soeur d'Auguste, Césarine. Je peux rester parfois plus d'une minute à rire devant mon livre après avoir lu une phrase de son journal. Et elle discute de sujet graves sur le ton de la papote à propos de la météo. Son intelligence est incroyable également. Pour moi qui fait du karaté, c'était une super surprise d'apprendre qu'elle se mettait aux arts martiaux. Je trouve par contre dommage qu'elle ne porte pas le kimono, je l'imaginais bien avec. Ses raisonnements sont vraiment drôle, en plus d'être «logiques» ; ) ! Sinon, concernant Auguste, sa tenue pour le bal a l'air d'être vraiment classe ! Je ne sais pas si je suis la seule mais j'imagine de Verguy comme une sorte de Sirius Black. Je sais que c'est bizarre mais bon.
Voilà, sinon je vous recommande fortement ce livre
Moyenne d'âge : 10-14 ans
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Deuxième tome de la trilogie. Aussi addictif que le premier, c'est une vrai suite qui ne peux pas se lire indépendamment. Certaines scènes sont assez violentes, je me passerai volontiers de cet aspect mais l'humour est toujours bien présent grâce à Cesarine et son journal. Elle prend d'ailleurs un vrai rôle dans le combat mené contre les autodafeurs. J'attaque le dernier tome dans la foulée ....
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Excellent livre je l'ai même conseillé à tous mes proche.
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La première partie de ce tome 2 a légèrement déçu les attentes que le premier tome avait fait naitre. Auguste est perdu, il s'apitoie sur son sort, le bal de fin d'année tient une grande importance, il s'inquiète peu du sort de sa mère, j'ai donc moins accroché (même si Césarine parvient toujours à apporter cette touche de fantaisie au récit). Par contre, la deuxième partie est beaucoup plus intéressante, la lutte contre les Autodafeurs reprend de plus belle pour un final très bien imaginé. On sent bien que le dernier combat approche et en refermant le livre, il est impossible de dire qui des Autodafeurs ou de la Confrérie va l'emporter (bon, on s'en doute un peu quand même).
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Aussi bien que le premier voir même mieux! On apprends plus de chose sur cesarine mais le départ avec auguste annonce juste la couleur : fabuleux
Ma soeur est une artiste de guerre...le titre est écrit comme ça car : son frère ne lui a jamais dit qu elle était autiste mais toujours qu elle était artiste. Et puis ça soeur va apprendre toute seule a magnier les arts martiaux et va être plis forte que son frère et son prof !!! Un roman encore plein de rebondissement avec Auguste qui essaye encore de retrouver une vie d ado normale même si il sait que ce ne sera pas possible...
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Le concept est superbe, les personnages de plus en plus intéressants et il y a toujours beaucoup d'action.
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"Pendant que papi et mamie mourraient, que maman tombait dans le coma et que mon frère sauvait les archives de la Confrérie, moi j'étais chez Sara car maman n'avait pas voulu que je vienne avec eux. Évidemment, même si c'était gentil de leur part de ne pas vouloir que je meure, c'était aussi idiot vu que leur opération ne s'est pas bien passée.
Non pas que je pense que si j'avais été là, ça aurait changé quelque chose (enfin, si, je le pense) mais surtout j'aurais pu AGIR et essayer de sauver papi et mamie ; alors que maintenant qu'ils sont morts, je ne peux rien faire. J'ai été INUTILE et je n'aime pas ça. du tout.
Du coup, j'ai décidé de prendre les choses en main et de ne plus jamais me laisser mettre à l'écart."
Césarine Mars
P.-S. : Ce que ma soeur a oublié de vous dire, c'est que ce serait aussi plus simple si elle ne nous cachait pas sans arrêt des choses ; donc, en plus d'être une artiste, elle est aussi sacrément agaçante.
Auguste Mars
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