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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Andrea Cort, tome 3. Je l'espérais, celui-là, sans trop y croire, tant Gilles Dumay, le directeur de la collection Albin Michel Imaginaire disait que les ventes des deux premiers tomes semblaient insuffisantes pour espérer sa parution. Et puis voilà quelques mois, miracle, La Guerre des Marionnettes est apparue dans la liste « À paraître » du catalogue. Tout cela pour dire que je l'attendais de pied ferme et que je m'y suis mis dès que je l'ai reçu. Alors, mon attente a-t-elle été récompensée ?
Une fois encore, ce livre est un assemblage de plusieurs textes : deux nouvelles et un roman éponyme. Une fois encore, la parution originale de ces textes révèle des surprises. le roman n'existe pas autrement que sous forme audio en langue anglaise et il est paru pour la première fois en Allemagne. Surprenant, non ? À présent, prenons les histoires les unes après les autres.

Les Lames qui sculptent les marionnettes (The Knifes that Carve the Marionettes, 2019)
Ce récit, qui a été écrit près de dix ans après le roman qui donne son nom à ce livre, réussit le tour de force de nous préparer à suivre les aventures d'Andrea Cort. Mais sans elle ! Nous sommes sur Vlhan, la planète que l'on découvrira dans le roman et nous sommes confrontés à ses habitants étranges qui, chaque année, se prêtent à une danse mystique. Un massacre rituel en fait : des centaines, des milliers d'entre eux se suicident lors d'une cérémonie dont personne ne comprend le but ni la signification. Qui sont-elles, ces créatures ? Elles ressemblent à de gigantesques sphères sombres et très dures (en chitine) juchées sur des bras-jambes, fouets immenses qui servent aussi bien à marcher qu'à attraper, à toucher qu'à tuer. L'illustration de Manchu (très belle au demeurant) correspond bien à ce que je pouvais m'imaginer. Et donnent une idée possible de leur aspect physique, fascinant et effrayant à la fois.
Si elle ne nous offre pas la joie de revoir Andrea Cort, la nouvelle met en scène un personnage croisé dans La Troisième Griffe de Dieu, Jason Bettelhine. On y avait eu un aperçu de son passé : il est ici détaillé davantage. Surtout son passage sur Deriflys, là où le jeune homme issu d'une famille terriblement riche et puissante avait failli mourir et là où il avait vécu des moments traumatisants. Il vient sur Vlhan pour rechercher Harille, une jeune femme avec qui il avait survécu dans cet enfer. Or, elle fait partie de ces quelques pèlerins, de plus en plus nombreux chaque année, qui se sentent appelés par la danse mortelle de Vlhan. Ces « élus » sont persuadés qu'ils peuvent apporter quelque chose à la chorégraphie. Tellement persuadés qu'ils sont prêts à subir des modifications physiques extrêmes nécessitant de très longues et douloureuses opérations. Un vrai acte de foi. Tout cela, pour finir massacrés lors de la danse. Étrange et déroutant, surtout quand on tient à une de ces personnes. D'où les nombreuses tentatives de Jason de faire renoncer Harille. Et c'est là le côté attachant et terrible de cette histoire. Comment une relation peut être faussée dès le départ par des désirs, des buts différents. Même si j'ai été un peu déçu de ne pas trouvé dès le début Andrea Cort, ce texte m'a plu car il offrait un bon aperçu de la planète Vlhan, toile de fond de la Guerre des Marionnettes. Mais il m'a surtout touché par la force des sentiments évoqués, même si la tonalité est plutôt sombre.

La Guerre des marionnettes (War of the Marionettes, 2010)
Retour d'Andrea, donc. La voilà sur Vlhan peu de temps avant la danse rituelle. Elle est venue là pour continuer à jouer son rôle dans la guerre qui oppose les deux groupes d'IA : celui qui l'a engagée et souhaite qu'elle l'aide à mourir ; celui qui veut continuer à exister, résiste, et est à l'origine de nombreux massacres, dont celui qui a fait d'Andrea Cort ce qu'elle est aujourd'hui : une femme à l'intellect brillant et craint dans le monde entier, mais une femme détruite, qui ne tient que grâce à des bouts de scotch glanés de-ci de-là. Et à l'amour des Porrinyard, ces inseps au calme légendaire et aux prouesses physiques remarquables (dans tous les domaines). Une piste l'a conduite sur Vlhan dans un climat tendu : chaque année, les pèlerins sont plus nombreux à venir mourir pour la danse et les gouvernements des différents peuples (surtout les Homsaps, dont les représentants sont parmi les plus nombreux à venir rejoindre le spectacle : pourquoi ?) s'inquiètent. D'autant plus que des accidents ont déjà eu lieu. Voilà plusieurs années, un groupe de Vlhanis a attaqué des humains en dehors du rituel de la danse et les ont tués. Les causes ont été comprises, mais la confiance n'est plus là. À juste titre. Car, on s'en doutait un peu, tout va partir de travers et Andrea va se retrouver au centre d'un gigantesque maelström de violence.
Pas de véritable enquête dans ce roman. On quitte les sentiers balisés au profit d'une fuite à travers Vlhan. Andrea est rapidement prise pour cible et doit sauver sa peau par tous les moyens. Or, elle ignore les tenants et aboutissants de cette situation. Pas facile, dans ces conditions, de savoir quoi faire. Là est le mystère : comprendre ce que tout cela signifie. Ce n'est donc pas réellement une enquête, mais la tentative de résolution d'un mystère vieux de plusieurs centaines d'années qui aura des conséquences bien réelles sur le présent. Et sur Andrea. Car une fois de plus, tout repose sur ses épaules. Adam-Troy Castro se montre bien cruel avec son personnage qu'il secoue, blesse, maltraite aussi bien physiquement que moralement. Andrea Cort reçoit des coups de partout et ne doit sa survie qu'à une force mentale exceptionnelle. Dont on approche les limites. Je disais plus haut que le premier texte, Les Lames qui sculptent les marionnettes, était sombre. Que dire alors de celui-là ? Pourtant, sa lecture n'est pas une chute sans fond vers un abîme de désespoir. Mais il ne faut pas s'attendre à un feu d'artifice final, avec départ des héros sur un coucher de soleil et une musique joyeuse en arrière-plan. Andrea Cort est un personnage martyr et ne peut échapper à son destin. Qu'il soit décidé par une divinité ou des IA sans coeur. La Guerre des marionnettes est un roman d'aventures de haute tenue qui promène son lecteur à travers des mondes et des idées fascinants et place régulièrement le personnage d'Andrea devant des choix dignes de Corneille. Glaçant.

La Cachette (Hiding Place, 2011)
Pour finir, une intrigue plus classique. Enfin, classique dans son déroulement : c'est une enquête où Andrea Cort va faire preuve de ses qualités de déduction exceptionnelles. Mais pas classique dans son enjeu car il traite d'inseps. Un homicide a été commis : le coupable a tout avoué. Il a été arrêté. Point barre ? Non. En effet, après avoir tué celui que tout le monde considérait comme un monstre, il s'est associé à un couple d'inseps, formant ainsi un trio. Vous voyez le dilemme ? Si seul une personne du trio est coupable, comment enfermer les trois ? Et si l'on n'en enferme qu'un seul, grâce aux deux autres qui sont libres, le coupable, même en prison, se sentira comme en liberté. Cornélien, tout cela. Encore. Sauf que, Andrea est là. Et qu'elle est capable de résoudre ce véritable salmigondis. Mais quel prix va-t-elle payer ? Car, on le sait bien maintenant qu'on la suit depuis tant de pages, les aventures dans lesquelles elle est plongée servent de révélateurs à ses besoins ou orientent sa vie. de façon souvent terrible. Andrea Cort est l'héroïne d'une tragédie. Un point c'est tout.

La Guerre des Marionnettes met le point final aux aventures d'Andrea Cort puisque, avec les deux autres volumes, il propose l'ensemble des textes qui tournent autour de ce personnage. Mais il semblerait que l'auteur, Adam-Troy Castro, ait signalé récemment son envie de se pencher à nouveau sur ce personnage. Ce n'est pas moi qui m'en plaindrais. Car, même si ce troisième tome n'est pas mon préféré, il m'a permis de voyager à nouveau avec Andrea et de plonger davantage encore dans ses pensées. Leur richesse et leur complexité (il faut bien être les Porrinyard pour la supporter au quotidien – et même eux ont parfois du mal) font le sel de ces histoires. Car, bien que l'intrigue soit essentielle pour le plaisir de lecture, on est tout de même surtout attentif à l'évolution du personnage d'Andrea Cort, à ses sentiments et à sa capacité à s'en sortir malgré l'accumulation dantesque de problèmes qu'Adam-Troy Castro fait pleuvoir sur elle. Et avec La Guerre des Marionnettes, il offre un final grandiose à son héroïne, digne de son énergie et de son courage.
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Andrea Cort, dernier tome! Je l'avais attendu car j'avais plutôt bien accroché les premiers, et je n'ai pas été déçue.
On retrouvera tous les ingrédients qui ont fait la qualité des deux tomes précédents, avec quelques trouvailles narratives très intéressantes : la présence de nouvelles, en début et fin de roman, très utile pour se mettre dedans ou mettre en perspective. Une alternance des narrateurs ensuite, bienvenue.
Vlhan est une planète merveilleusement décrite, avec un worlbuilding où l'on sent que l'auteur s'est fait plaisir. On ne s'ennuie pas, c'est plutôt bien rythmé. C'est épique et grandiose par moments, plus intimiste et inquiétant à d'autres. Bref c'est un très bon roman de SF, dans la lignée (voire meilleur) que les précédents.
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C'est pour l'instant le dernier tome des aventures d'Andrea Cort ! La procureure sombre et badass était déjà dans Émissaires des morts et La griffe de Dieu. Deux histoires prenantes, deux super lectures. Autant vous dire que j'avais hâte de découvrir la suite avec La guerre des marionnettes, toujours d'Adam-Troy Castro. Merci à Gilles Dumay de la collection Albin Michel Imaginaire pour l'envoi. Vous pouvez lire le roman à part mais je vous conseille de suivre toute l'histoire depuis le début.

Mais quelles originalités l'auteur va-t-il nous pondre ? J'aime la science-fiction quand elle nous entraîne dans des dimensions que nous n'aurions jamais imaginées. ici, cela se manifeste par un étrange peuple qui habite sur Vhlan, surnommé les marionnettes. Imaginez un peu : une sphère sombre et brillante, immense, avec un ensemble de tentacules luisantes. Leur mode de communication est étrange et consiste en des gestes que les autres espèces arrivent à peine à décrypter. Les habitants de Vhlan sont donc parmi les plus mystérieux de l'univers d'après les visiteurs. D'autant plus qu'ils ne semblent pas avoir de société si structurée.

Mais ce qui fascine le plus, c'est le Ballet, qui semble être le seul rite. C'est un acte culturel qui a lieu une fois par an. Des visiteurs d'autres planètes semblent hypnotisés par les danses étranges. Ils ont l'impression d'y décoder quelque chose d'incomplet, quelque chose qui nécessite d'y participer pour atteindre son plein potentiel, compléter la chorégraphie. le hic ? La plupart des participants meurent dans le processus. Régulièrement, c'est donc une danse mortelle qui tue des humains, appelés pèlerins, qui quittent leurs familles pour subir des modifications corporelles importantes et prendre part au spectacle. Un choix dangereux. Une fois de plus, nous sommes face à un monde étrange au peuple aussi fascinant que distinct.

Le rythme est tendu ! Adam-Troy Castro propose une histoire au cordeau. Nous avons l'impression d'être dans une course contre la montre. Andrea est envoyée sur Vhlan par les IA-sources pour enquêter sur le Ballet, qui pourrait avoir un rapport dans sa quête des Démons invisibles. Très vite, la tension monte sur la planète tandis que des scissions semblent apparaître. On ne s'ennuie pas une seconde tant l'auteur maîtrise la gradation de son oeuvre. le seul élément que je trouve dommage est que le déluge d'action pousse à mettre de côté l'enquête, que j'appréciais beaucoup dans les tomes précédents.

La dernière partie retrouve un peu des dons d'enquêtrice d'Andrea. C'est tout simplement une apothéose mêlant action, de l'horreur et de la déduction. Ce tome est de loin le plus sombre de la série et est peut-être même trop désespérant. On se retrouve au coeur des modifications corporelles opérées sur les pèlerins, dans une forme d'horror body. Il y a même une notion de fatalité omniprésente, le destin d'Andrea a forcément quelque chose de tragique. Elle est ballotée par des forces qui dépassent tout ce qui est connu dans l'univers, prise dans la lutte incompréhensible entre des entités invisibles.

Difficile de nier le talent d'Adam-Troy Castro ! Il nous présente avec ce dernier tome un récit captivant. Vhlan est une planète aussi dangereuse que fascinante. C'est grâce à ses habitants, créatures mystérieuses qui posent une énigme fascinante au reste de l'univers, mais aussi à Andréa et aux lecteurs ! Quel plaisir de retrouver notre procureure acerbe, qui en prend plein la poire dans ce tome. C'est une histoire sombre et violente, menée à un rythme soutenu, avec une dernière partie à couper le souffle. Mais j'avoue que l'enquête m'a manquée dans les deux premiers tiers du roman ! Ceci dit, on retrouve la légendaire perspicacité d'Andrea Cort à la fin.
Lien : https://lageekosophe.com/202..
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Aubaldévlhanis, aubaldévlhanis, ohé, ohé
Aubaldévlhanis, aubaldévlhanis, ohé, ohé
Aubaldévlhanis, aubaldévlhanis, ohé, ohé
Aubaldévlhanis, aubaldévlhanis, ohé, ohé

Au bal, au bal mortel, ohé, ohé
Elle danse, elle danse, elle danse au bal mortel
Elle ne peut pas s'arrêter, ohé, ohé
De danser, danser, danser au bal mortel
Au bal, au bal mortel, ohé, ohé
Au bal, au bal, au bal, au bal mortel
Elle ne peut pas s'arrêter, ohé, ohé
De danser, danser, danser, danser, danser

Après quelques tergiversations pour savoir si la suite des aventures d'Andrea Cort allait se faire, la réponse est là : OUI (sûrement grâce à mon billet où je jouais avec les lecteurs comme avec des pantins). Pour celles et ceux qui n'ont pas suivi, vous n'aviez qu'à suivre en temps et en heure... Comme avec ce tome : Faut-il lire les autres tomes ? L'éditeur, dans son introduction au livre, répond non. Normal pour un éditeur. Mais je suis d'accord avec lui, à l'inverse de nombreux collègues blogueurs. de toute manière, tu fais comme tu veux, c'est à cause de toi, toi qui n'a pas lu les deux premiers tomes, que ce livre a failli ne pas voir le jour. Mais peu importe, la seule question qui vaille est : ce troisième tome vaut-il le coup ? On ouvre le bal avec la nouvelle

Les Lames qui sculptent les Marionnettes
Sur notre chère Terre a lieu chaque année un bal populaire avec en guise d'apothéose un feu d'artifice. Sur Vlhan, c'est le même principe, mais en version hardcore. Il s'agit d'un ballet dans un amphithéâtre où les participants meurent à la fin. Pourquoi ? Les us et coutumes...
On suit les pas de deux jeunes qui vont se trouver confronter à ce ballet funèbre. Même si on retrouve avec plaisir l'écriture d'Adam-Troy Castro, la surprise est dans l'absence d'Andrea et de sa personnalité. Une mise en bouche pas désagréable qui permet de prendre connaissance de l'histoire de certains protagonistes rencontrés dans les autres récits. Reste un goût d'inachevé que les autres textes devrait combler.
On continue avec le plat de résistance, le roman

La guerre des Marionnettes
Toujours sur Vlhan, mais Andréa fait cette fois son retour, crépusculaire. C'est comme avec le bal des fin d'année qui clôture une époque, un âge. Cela faisait deux tomes que nous la suivions, nous demandant si elle allait comprendre le pourquoi du carnage qui a fait d'elle ce qu'elle est devenue. La réponse est au bout du chemin, sanglant et sombre.
J'ai eu un peu de mal à rentrer dans le récit, l'arrivée d'Andrea sur cette planète étant à mon sens un peu fumeuse et il m'a manqué une vraie enquête comme elle m'avait habitué. Nous sommes ici dans la géopolitique avec les principales races rencontrées au cours de ses périples. Mais qu'importe cette légère déception, cela reste un roman offrant d'autres qualités, l'auteur arrivant à nous offrir autres choses que sa sempiternelle enquête.
L'ensemble ce clôt par la nouvelle

La Cachette
Un meurtre, un coupable, des aveux. L'enquête est close dès les premières lignes alors que vient faire Andreas là dedans ?
Une des particularités de ce cycle, c'est que l'un des protagonistes est un inseps. Késako ? Des personnes qui sont liés par leurs personnalités, souvenirs, sensations entre elles. Bref, pour faire simple, un cerveau, plusieurs personnes.
Dans notre problème, le coupable est devenu insep après son crime. Si on l'envoie en prison, on envoie avec qui il est lié. Dilemme moral...
Beaucoup plus linéaire, c'est le texte que j'ai le moins aimé bien qu'il nous mette dans la tête d'Andrea.

Ce troisième tome est donc celui que j'ai le moins apprécié, mais aussi celui qui m'a le plus marqué par ces images affreuses qu'il dégage. Si l'auteur, et l'éditeur, poursuit son chemin avec son personnage, nul doute que je ferai parti de l'aventure.
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Dans la trilogie d'Andrea Cort, ce troisième tome n'est pas mon préféré. La prépondérance des IAs-source, rebelles ou non, dans l'histoire devient lassante. Une meilleure connaissance des Vhlanis, réduits ici à de simples « marionnettes » manipulées par ces IAs, aurait permis d'enrichir le scénario. Heureusement, la qualité d'écriture de l'auteur permet de bien s'immerger dans ces aventures et dans la tête de ses personnages. À la fin, j'ai cherché et n'ai pas trouvé qui était la fille disparue de Tara Fox. L'écriture tout en subtilités d'Adam Troy-Castro nous force quelquefois à faire travailler nos méninges de pauvre solo. La nouvelle qui sert de prologue nous présente avec précision le thème sans la présence d'Andréa, dont l'arrivée dans le roman titre n'en est que plus appréciée. La nouvelle servant d'épilogue est une enquête d'Andrea concernant un trio d'inseps. Un prétexte non déguisé qui nous offre une ouverture vers le futur et peut-être un quatrième tome.
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