En fin de compte, cette survivance des poètes disparus, qui « refusent d’être tenus pour morts », souligne leur intégration à la société moderne. Cela passe par un travail appliqué des auteurs contemporains, qui produisent une lecture minutieuse des chefs-d'œuvre en s’appuyant sur un « important massif textuel et culturel exogène. »
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