Je publie rarement une critique sur ce site mais je vais essayer de me rattraper dans les prochains mois. Pour ce livre de poésie, écrit par un grand académicien que j'admire, je dirais que je me suis arrêté de lire ses quatrains à la moitié du volume !? Ce n'est pas que je n'apprécie pas la poésie, bien au contraire, mais je n'ai pas compris pas la moitié des textes, je dirais même que je n'en ai compris qu'un sur cinq. Bien que la plupart des contributeurs babeliens semblent avoir été séduits par ce recueil, je mets en garde les futurs lecteurs pour leur dire que les quatrains de Cheng sont certainement de haut vol, et de ce fait me semble très difficile à appréhender. Pour illustrer mon propos, je vais publier cinq ou six quatrains - qui se succèdent dans le recueil - dans la partie "Citations" afin que les futurs lecteurs se fassent eux-mêmes une opinion. Je vous souhaite de bonnes lectures...
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