Je m’appelle Loire, voilà comment débutait le manuscrit déposé un matin aux bords du fleuve comme une bouteille à la mer, enfin à l’eau. Ecrit à la première personne dans la langue des fleuves, il était signé La Loire. Le fleuve royal y racontait au fil des pages, enfin au fil de l’eau, son histoire angevine, son parcours, ses coups de cœur, et laissait aussi la parole à ses affluents (La Maine, l’Evre, le Thouet, le Layon, l’Aubance, l’Authion). Une œuvre mystérieu...
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