« Princesses déambulant le long des avenues, des canaux ou des sordides petites rues en retrait, elles illuminent ceux-ci de leur beauté. Or la finesse de leurs traits vient se figer dans votre mémoire, et vous voilà prisonnier et inconsolable. Quelle prison ! La détention vous paraît douce, aussi douce qu'une légère brise venue de la Baltique, elle vous berce. Vous les rêvez mais elles sont réalité. Je rêvais de Lara et elle me faisait face, fièrement, pas condesce... >Voir plus